La Bruyère Et La Religion

Veut se contruire un château- Vaux-le-Vicomte (fais une grande fête pour la fin des travaux, le roi l’emprisonne et saisit tous ses biens) Louis XIV-le roi soleil- tout tourne autour de lui, il contrôle tout (politique,guerre, économie, religion-la sienne). Fils de Louis XIII qui mourut et laissa sa place au jeune héritier que la France attendait. Louis Dieudonné a quatre ans et demi. s’installe à Versailles (fait construire le château de Versailles- durera plus de 40

multiplication des universités ; les pouvoirs de l’Eglise et de l’Etat sont complémentaires ; la plupart des érudits sont clercs pour pouvoir toucher des revenus réguliers ; après 1550, les publications en français dépassent celles en latin. Mais guerres de religion -la Réforme- qui déchirent la France et l’Europe (massacre de la Saint –Barthélemy, le 24 août 1572), et auxquelles l’Edit de Nantes (1598) mettra fin. C’est aussi l’époque de grandes découvertes géographiques (Magellan, Vasco de Gama) et scientifiques

-solitude (tête-à-tête avec soi) -nature (forêt, mer) -mythologie populaire (tritons, ...) -rêverie -amour -liberté d’inspiration -émotion, sentimants, spontanéité -monde renversé Le classicisme La Fontaine, Bossuet, La Rochefoucauld, La Bruyère, Molière, Racine Principes du mouvement -plaire et instruire : émotion (rire, larmes). Rien ne doit laisser froid. Agréable et réel mais agréable doit être pris du vrai. -rechercher le naturel : refuse les effets gratuits, l’abondance verbale,

lorsqu’Isangrin porte plainte pour le viol d’Hersent, il préfère affirmer son viol plutôt qu’accepter d’avoir été trompé. Noble le Lion est prompt à perdre patience face à ses plaignants. Leur plus grande hypocrisie est sans aucun doute vis-à-vis de la religion : ils sont les premiers à jurer sur le nom de Dieu mais pardonnent à Renart du moment où il fait mine de prendre la croix et de se faire pèlerin. La véritable immoralité du Roman de Renart ne se situe pas dans la malice de Renart, mais dans la galerie

dévalorisante. Il accuse ainsi [= il met nettement en évidence], par l’exagération littéraire propre au genre de la satire, la faiblesse de la nature humaine et la vanité des prétentions de l’Homme. Texte 3 : Dans Les Caractères (1691), Jean de La Bruyère, auteur du XVIIème siècle, a pour projet de « peindre l’homme en général ». Le double portrait de Giton et Phédon termine le chapitre intitulé « Des biens de fortune ». La question de l’Homme, c’est : qu’est-ce que l’Homme ? Qu’est-ce qu’être un Homme

français sur la question de l’altérité. La première forme qui apparait et que Todorov choisit d’analyser dès le début est celle de l’ethnocentrisme. En effet, c’est a travers l’esprit classique du 17e siècle que La Rochefoucauld dans ses Maximes et La Bruyère dans le « Discours sur Théophraste » analysaient le type social en France et proclamaient les valeurs françaises qu’elles sont a portée universelle. Dès lors on voit que l’autre n’est pas perçu par les deux auteurs. Pour eux, ceux qui ne sont pas

écrivains de la Pléiade veulent retrouver l’inspiration qui a fait la grandeur de la culture antique. Ils rejettent les formes de la littérature médiévale et cherchent à développer et à enrichir la langue française. Marqués par les guerres de religion, convaincus de l’incertitude du devenir de l’homme, les écrivains baroques défendent l’exubérance des formes. Ils témoignent de la fantaisie et de la virtuosité de l’artiste. En réaction contre l’exubé- rance du Baroque, le classi- cisme

Nous pouvons avancer que, sur le plan historique, « le siècle des précurseurs » commence en France en 1610 avec l'assassinat du Roi Henri IV, pour prendre fin en 1715 avec le ème décès de Louis XIV. Le XVI​ siècle est secoué par des guerres de religions qui opposent catholiques et protestants. Elles débutent dans les années 1560 et prennent fin en 1598 avec l'Édit de Nantes. La France est alors marquée par l'apogée du pouvoir royal, qui devient absolu sous Louis XIII et plus encore sous Louis XIV

(1685). Intellectuel: Le XVIIième siècle a vu apparaître différents mouvements intellectuels: Le libertinage: Il s’agit d’une tendance de certains intellectuels de se libérer de la religion pour donner à la vie (l’existence humaine) un sens uniquement terrestre. Des poètes libertins, comme de Vian, vont critiquer la religion et pratiquer le non-conformisme. Le libertinage est d’abord philosophique. On refuse le dogmatisme religieux, pense que le progrès des sciences permettra d’expliquer tout sur l’Homme

de la dynastie capétienne. Contemporain d'un siècle ravagé par les guerres de religion, il y fut d'abord lourdement impliqué en tant que prince de sang et chef protestant avant d'accéder au trône de France. Pour être accepté comme roi, il se convertit au catholicisme, et signa l'Édit de Nantes, traité de paix autorisant la liberté de culte pour les protestants, qui mit fin pendant deux décennies aux guerres de religion. Il fut assassiné le 14 mai 1610 par un fanatique charentais, François Ravaillac