La Bêtise Humaine

peu près les deux premières parties, pouvait se révéler tout à fait satisfaisante. I. Des personnages et un monde qui nous ressemblent 1. Des personnages proches de nous (héros de Flaubert, Maupassant ou Zola, par ex., qui incarnent par exemple la bêtise ou d’autres défauts des hommes) 2. Et un monde proche du nôtre (projet de Balzac : une représentation fidèle du réel ; cf le déterminisme social agissant comme une fatalité chez Zola). 3. À la différence près que les héros ont un destin à accomplir

considère comme son égal. L'auteur, en magnifiant l'ocelote, rusée et intelligente, magnifie du même coup l'homme qui le poursuit. De plus, Bolivar se pose des questions. Il ne regrette pas tous ces morts, légitime vengeance de la forêt face à la bêtise humaine. Il ne veut pas se venger des meurtres commis. Il ne tue pas non plus par gratitude, pour remercier quelqu'un d'un service rendu. Il n'est pas un chasseur sanguinaire qui tue pour vaincre sa peur. Il est donc honteux de devoir tuer pour rien,

représente une utopie : « Un paradis terrestre », l’abondance avec un grand château. Cependant, dans ce chapitre, l’auteur dénonce la hiérarchie très importante « un des plus puissants seigneurs », « respectable ». De plus, Voltaire montre la bêtise humaine avec les discours de Pangloss qui fait passer pour un idiot : « Pangloss enseignait la métaphysico−théologo−cosmolonigologie » Le second lieu est l’Eldorado au 18ème chapitre. Ce monde est parfait, correspondant à l’idéal de l’auteur. Cependant

Quelques mots d’esprit pour faire rougir la bêtise humaine Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru. | | [Pierre Dac] | | Le verbe aimer est difficile à conjuguer : son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif, et son futur est toujours conditionnel. | | [Jean Cocteau] | | Quelques talonnades du langage du grand Sacha Guitry : "Partir, c'est mourir un peu. - Oui, mais mourir, c'est partir beaucoup."

Il dénonce aussi le cercle infernal dans lequel est enfermé le soldat une fois envoyé sur le front. Il devient un homme-bête, dans le sens animal comme dans le sens de la bêtise : il tue les soldats adverses dans l'unique but de survivre (instinct de survie=sens animal), et obéit sans réfléchir, comme une machine (sens de la bêtise). Parallèles prévus : - C'était la guerre des tranchées, Jacques Tardi. - Les joueurs de Skat, Otto Dix. - L'homme que j'ai tué, film de Ernst Lubitsch. IV) Résumé :

folie De Paris malheureux C’est l’air pur c’est le feu C’est la beauté c’est la bonté De ses travailleurs affamés Ne crie pas au secours Paris Tu es vivant d’une vie sans égale Et derrière la nudité De ta pâleur de ta maigreur Tout ce qui est humain se révèle en tes yeux Paris ma belle ville Fine comme une aiguille forte comme une épée Ingénue et savante Tu ne supportes pas l’injustice Pour toi c’est le seul désordre Tu vas te libérer Paris Paris tremblant comme une étoile Notre espoir

o par bêtise : la bêtise est un concept philosophique à part entière et proche parent du précédent. Ce concept désigne le défaut de jugement qui relie la théorie à l'expérience, et la persistance de la volonté dans ce défaut. Pour quelques philosophes (cf. Schopenhauer par exemple), on peut supposer que c'est même la chose du monde la mieux partagée, et que la bêtise serait alors le seul aspect véritablement universel de la nature humaine. En tout temps et en tout lieu, la bêtise cause, aux

comme il est réellement avec à la ligne 8 du deuxième texte «je veux qu'on m'y voie dans ma façon d'être simple, naturelle et ordinaire sans artifice». Il veut partager avec le lecteur ses propres expériences et ses propres visions de la condition humaine. Par ailleurs, il se dit, je cite «être la matière de son livre» à la ligne 13 du deuxième texte. Montaigne nous fait également part de son état d'esprit et se confie à son lecteur ligne ½ avec «C'est une humeur mélancolique -et une humeur par conséquent

plus sensible à la souffrance physique qu'à la douleur spirituelle. HOMAIS : l'intellectuel d'Yoville. Homme content de soi, père de famille comblè, il ne cesse d'éntendre son influence sur la vie locale. Il personnifie la betise humaine et il incarne aussi la condition humaine dans sa recherche de l'élevation sociale. L'histoire à été un peu ennuyeuse et longue. Est aussi triste et déprimant parceque Emma n'est jamais contente de sa vie.

L'usage de la plume pour changer l'homme et sa société, c'est par ce principe que les écrivains opèrent à maintes reprises dans leurs œuvres, afin de proposer des alternatives, amener des solutions,ou critiquer la bêtise humaine, dénoncer les erreurs commises, les problèmes de société... La littérature relie le monde à des valeurs et à des principes dans plusieurs contextes, son écriture estprotéiforme, qu'il s'agisse de fables, de romans, de contes philosophiques ou encore de comédies sociales.