La Censure Au 17ème Siècle

_La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation Introduction – fables La première moitié du 17ème siècle voit l’avènement du style baroque, coincidant avec une instabilité politique, religieuse, la fronde… Le baroque fait preuve de goût pour l’illusion, les apparences, pour le mouvement, et rappelle la fragilité de la vie. On peut trouver dans le baroque un certain goût pour la métaphore, la préciosité(qui d’ailleurs au départ était un mouvement respectable avant d’être tourné en dérision

spirituelle . Avec Louis XV et Louis XVI plus de conflits majeures, le roi est parfaitement indépendant à l'égard du pape . B. Le roi et l'empereur. Même dynamique que pour roi et pape : dès 13éme siècle les rois souverains veulent être indépendants de l'empereur germanique . Jusqu'au 17éme les empereurs veulent contrôler les rois de France . Au Moyen Age conflit entre Philippe Auguste et Fréderic Barberousse est empereur de 1152 à 1190 se fonde sur droit romain et réunit une assemblée :

pense que le théâtre est le pays du vrai, il est un moyen grâce à sa partie irréelle de faire passer le message qui est: le pays du vrai. L’exemple est Hernani : sans ces artifices (pays irréel) il n’aurait pu faire passé le message –il aurait été censuré qui lui, représente le pays du vrai tout en sachant que cette manière de faire à ses limites. Le théâtre représente donc surtout le vrai grâce à ses pièce de théâtre qui donnent une morale, un message au spectateur présent, la pièce et rendu vivante

écrivains du 17ème siècle avaient été avant tout des psychologues et des moralistes, préoccupés seulement de l’amélioration des individus, ceux du 18ème siècle sont plutôt des sociologues, ayant en vue la rénovation de la société. Hommes d’action, ils délaissent la poésie pour la prose, dont l’utilité pratique leur paraît plus immédiate ; et dans leur style, ils préféreront à l’ample période oratoire la phrase courte, alerte, tout aiguisée d’esprit ... Tout en continuant la littérature du 17ème siècle

aussi à l'origine d'une théorie du Droit naturel religieux. Les Saintes Écritures inspireraient donc le Droit naturel et serait le fondement du caractère obligatoire de la Loi. Au 17ème siècle, un juriste hollandais, Crocius, dégage le Droit naturel de l'autorité divine. Il faut attendre le 18ème siècle et la Révolution, pour que la laïcité du Droit s'impose sous l'influence de Pludendorf. Par ailleurs, Hobs ne se contente pas de dire que « L'homme est un loup pour l'homme ». Il se

des principes de l’autorité publique. III) Les institutions des gouvernements. « Histoire des institutions et des faits sociaux ». Timbal. «  Histoire du droit et des institutions ». Garisson. Introduction: -La coutume: Coutume au 17eme siècle domine, en particulier en Angleterre. La France fait prévaloir la loi, elle va naturellement être contrôlée par le Roi. C’est le Roi qui est derrière les textes. Il aura tendance à privilégier les textes qu’il contrôle au détriment de la coutume

comme la poésie. Une pièce de théâtre se décompose en 3 grandes parties : scène d’exposition ou scène d'ouverture, nœud de l’action et dénouement. Une pièce de théâtre doit suivre un certain nombre de règles qui évolueront au fur et à mesure des siècles. Nous les énumérerons par la suite. Contrairement au roman, les personnages de théâtre sont destinés à être joués, en effet, l’acteur donne vie au personnage en changeant l’être de papier en être humain. Nous pouvons, d’autre part, rappeler quelques

l'ordre public. → Les droits naturels de l'homme ne sont pas applicables sans la complicité de la loi. B)La fin de non-recevoir positiviste 1.Les ambigüités de positivisme légaliste Après la rédaction du Code Civil, nous entrons au 5ème siècle dans l'ère du réductionnisme légaliste : le droit c'est la loi. Le réductionnisme légaliste aura une traduction dans l'enseignement du droit mais aussi dans les institutions. Des lois vont s'imposer, celles de protéger la rigueur de la loi de tous

particulières. Au 18ème siècle, des manuels de conversations dont celui de Pierre Ortigue de Vaumorière se diffusent. Ils développent l'idée que pour plaire et s'intégrer dans la société, il faut avant tout divertir ses interlocuteurs. Pour La Rochefoucauld, cette vision se complète de règles strictes de comportement à respecter lors de la conversation. Il faut alors savoir donner de l'importance à l'autre en l'écoutant et en se montrant intéressé. Toutefois, dès le 17ème siècle, certains auteurs (Molière

même, le type de l’hypocrite mis en scène dans le Tartuffe n’atteint-il pas une portée universelle ? Le spectateur a beau rire encore aujourd’hui, il peut y voir un portrait, certes grossi, mais vrai de lui-même. Cf : l’idéal de l’honnête homme au 17ème Le rire, s’il est ressenti pour lui-même, n’en est pas moins le véhicule d’ambitions plus sérieuses, même si, ne l’oublions pas, Molière prendra, à la fin de sa carrière, le parti de faire voir, de rire, mais plus de corriger. - Au XIXème, l’œuvre