La Certitude Est Elle Une Pensée Morte

vont en guerre et dont le destine est déjà écrit. Mais il ne se réfère peut-être pas seulement eux, mais plutôt à tous. Nous sommes tous comme des feuilles, ne connaissons pas nos futur. Nous avons une seule certitude… la morte. Seulement un grand comme Ungaretti pouvait renfermer la pensée de beaucoup dans peu moins qu'un vers.

de se poser des questions avant d’agir ou de prendre des décisions.A l’opposé, avoir sans cesse des certitudes empêche d’avancer, de progresser « Le doute est le début de la sagesse » est une citation d’Aristote. Que penser de cette citation ?Le doute permet de se remettre en question, de se poser des questions avant d’agir ou de prendre des décisions.A l’opposé, avoir sans cesse des certitudes empêche d’avancer, de progresser. Mais si vous pensez que vous avez raison, que vous détenez la science

aisément… jamais aucune marque. »Présentation du texte :La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, 1678, Mouvement littéraire : roman classiqueParcours associé : Individu, morale et sociétéDébut deuxième partie :Mme de Chartres est morte > PC partie à la campagne pour son deuil et afin de fuir de Nemours. Se croit guérie de son amour quand elle revient, mais dès son retour la reine dauphine lui confie que de N. a changé et qu’il est passionnément amoureux. On ignore de qui. PC troublée

d’abord « Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. » Il emploie une appellation familliale mais un ton apathique. Dans l’asile, il vistie à la morgue( Meursault refuse de voir le corps de sa mère), il accept le café au lait dont le concierge lui offre, même qu’il fume dans la morgue. Après les funérailles dans une chaleur qui lui fait en extase, il retourne chez soi, « ma joie quand l’autobus est entré dans le nid de lumières d’Alger et que j’ai pensé que j’allais me coucher et

aveuglé, ôta ses lunettes, les essuya. Son cœur battait à grands coups, il ne sentait plus le froid. Mais, brusquement, la pensée lui vint d'une tranchée profonde, qui se trouvait à trois cents mètres environ de la Croix-de-Maufras : elle s'ouvrait dans la direction du vent, la neige devait s'y être accumulée en quantité considérable ; et, tout de suite, il eut la certitude que c'était là l'écueil marqué où il naufragerait. Il se pencha. Au loin, après une dernière courbe, la tranchée lui apparut

tout d’un coup en lisant un catalogue de mode combien il été étranger à sa vie Le nom de sin héros était Meursault « mer-soleil » mer et soleil précisera plus tard camus nous invitant peut- être à lire meursault comme meurt soleil. Système de pensée: Réduire Meursault à un être de pure sensation, réduisant à l’absurde les repères socio-abstrait et quelque part métaphysique idées de justice, idée de couple idées de familles. Conduit à une position certes existentialiste mais hélas de l’ordre

peut il travailler à sa propre liberté de pensée Cette question engendre 2 orientations de réflexion. Comment, question directe signifiant quels peuvent être les moyens mis a disposition du F :.M :. Pour travailler à…., qu’entend on par moyens ?. Travailler à sa propre liberté de pensée, cela suppose que le F :.M :. ait appréhendé le sens de sa liberté de pensée, et en quoi cette liberté de pensée serait elle différente de celle du profane ? Je pense qu’il y a lieu d’examiner cette dernière

représentation dans le domaine de la connaissance, qu’en est -il de la place de la représentation dans l’Art ? On a longtemps pensé que l’art produisait une beauté adhérente conforme à l’idée que l’on se fait de la beauté mais que penser d’une œuvre d’art qui aliène la liberté créatrice au profit de la forme ? N’est pas parce que l’artiste doté d’un don naturel (le génie) pense que l’œuvre manifeste l’absolu et donc la liberté qu’il se délivre de la représentation ? 2° problématique de la représentation

attribue à des causes sexuelles. C'est l'occasion pour lui de proposer une méthode d'analyse nouvelle qui deviendra bientôt « la psychanalyse ». Je l'interrogeai donc sur les circonstances et les causes de la première apparition des douleurs. 1 Ses pensées s'attachèrent alors à des vacances dans la ville d'eaux où elle était allée avant son voyage à Gastein et certaines scènes surgirent, que nous avions déjà plus superficiellement traitées auparavant. Elle parla de son état d'âme à cette époque, de

comme la condition de touteconnaissance? I. Le doute sceptique Certains usages du doute s'apparentent à un renoncement à la recherche de la vérité, mêmeà un refus de la voir. Le doute peut passer à première vue pour une faiblesse, une défaite dela pensée. Douter, c'est reconnaître que l'on ne sait pas et que l'on ne parvient pas àatteindre la vérité. Douter, c'est avouer que l'on ne sait pas. Lorsque le doute prend la formed'une conclusion, il témoigne alors d'un renoncement. On renonce, devant la