La Chrétienté Médiévale Composition

particulières. Au moment du procès, la question est posée aux prévenus et ils doivent répondre à la question : sous quelle loi vis-tu ? La loi franque, salique prend le dessus. Cette justice est laissée à l’appréciation du comte. Mais il est libre dans la composition de sa juridiction (conseillers). Cette procédure devant le malus est orale et formaliste, elle porte une grande empreinte de superstition. Ces juridictions ne distinguent pas une procédure civile et pénale. Dans le procès franc la preuve appartient

façons déviantes de vivre la foi chrétienne). Il intervient en suscitant des normes de droit, il fait évoluer la législation de l’Église. Cette attitude se traduit en 325 par la réunion du concile de Nicée, Constantin assemble les évêques de la chrétienté pour déterminer le dogme de l’Église. Ce concile condamne une hérésie en particulier : l’arianisme. Selon cette hérésie, dans la Sainte Trinité, le père, le fils et le Saint Esprit n’étaient pas qu’un. Cette vision du christianisme avait beaucoup

française, nous pensons qu'elle est un ensemble des œuvres littéraires de langue française produites en France depuis le XIIe siècle, date à partir de laquelle se développe la littérature en langue vulgaire.(4) Le premier texte connu de la littérature médiévale française est la Séquence ou Cantilène de sainte Eulalie, probablement écrite entre 881 et 882. C'est en fait, une adaptation en 29 vers d'un poème latin, à vocation religieuse et pédagogique. Les premiers grands textes de la littérature française

française, nous pensons qu'elle est un ensemble des œuvres littéraires de langue française produites en France depuis le XIIe siècle, date à partir de laquelle se développe la littérature en langue vulgaire.(4) Le premier texte connu de la littérature médiévale française est la Séquence ou Cantilène de sainte Eulalie, probablement écrite entre 881 et 882. C'est en fait, une adaptation en 29 vers d'un poème latin, à vocation religieuse et pédagogique. Les premiers grands textes de la littérature française

sociale, p. 4.— Dans la société primitive, p. 5.—Tradition africaine, p. 5.— Naissance de l’école, p 6.—Tradition littérale, p. 6.—Maîtres et élèves p. 7.—Tradition asiatique, p 7.—Tradition gréco-romaine, p. 8.—L’école et la Chrétienté, p. 8.—Éducation islamique, p. 9.—Modèle médiéval de l’Université, p. 9.—Avènement des temps modernes, p. 10.—La révolution industrielle, p. 10.—Exportation des modèles, p. 11.—Aux portes du temps présent, p. 12. Répères actuels Trois phénomènes nouveaux, p. 14.—L’éducation

marché sans passer par un autre principe. Les individus ont des rapports grâce aux échanges. I/ Les grandes idées Etape 1: réflexion sur l'économie Elle se déroule sur une grande période allant de l'antiquité grecque au Moyen-âge (réflexion médiévale) Ces deux grandes époques ont une chose en commun : la réflexion sur l'économie n'est pas autonome. Les auteurs n'ont pas l'objectif de fonder une science économique. Dans l'antiquité grecque, ce qui prévaut c'est la réflexion sur l'éthique

redécouverte du droit romain font renaître le pouvoir royal. TITRE PREMIER – Les droits savants C’est le droit romain des compilations justinienne 6e siècle. C’est aussi le droit canon. Ces deux droits sont interprétés par les juristes médiévaux. Ils sont appelés droit savant car ils sont les seul dignes d’une manifestation théoriques. C’est une révolution intellectuelle. Si cette redécouverte du droit romain et canonique n’avait pas eu lieu, le développement du droit européen se serait

juridique ne vaut pas que pour la France mais pour toute l'Europe continentale. Pourquoi ? → Car les romains avaient conquis les terres européennes, d'où la répartition du droit romain. I) L'héritage de l'antiquité romaine II) L'héritage médiéval III) Vers la naissance du Droit Français IV) Vers la naissance du Droit contemporain Première partie - L'héritage de l'antiquité Romaine Chapitre 1 : Les sources du Droit Romain et leur contexte politique • La Royauté de 753 avant

prolonge la diagonale qui part du haut de l’accoudoir, se prolonge avec les mains de la vierge et passe entre son visage et celui de Jésus. C’est un paysage idéalisé. A noter : le ciel qui n’est plus aussi présent que dans les tableaux de l’époque médiévale : l’homme prend toute sa place, il n’est plus écrasé par le ciel. Autre originalité, l’aile de l’ange au premier plan qui sort du cadre du tableau. La vierge a tout d’une jeune femme italienne, ses traits sont gracieux, elle porte des bijoux, et

Constantinople sera même la plus grande ville du monde entre 361 et 800. Elle va survivre à la Rome païenne, qui en l’an 700 n’a plus que cinquante mille habitants et moins de vingt mille en 1377, tout en cherchant à rivaliser avec cette dernière, la chrétienté en plus. Elle se complait dans les plaisirs (cent soixante-dix-neuf jours sont fériés) et fait état de sa magnificence en arborant monuments et statues. Mais aussi au nom du Christ, elle confine les juifs dans des quartiers à part. Elle conçoit