La Chrétienté Médiévale Xi Xiii

du roi, va s'occuper de l'échange du roi avec ses comtes. Le « secrétaire » du roi va se retrouver à la charge des archives. Le roi règne sur son royaume comme un père sur sa demeure. Le pouvoir est patriarcal. A l'époque des derniers mérovingiens, XI-XII e siècles, la succession est mal gérée (rois mineurs, certains fous.) Le chef du palais (maior domus : qui deviendra plus tard étymologiquement major d'homme), le maire du palais va avoir tendance à gouverner à la place du roi. Du coup la période

les tables claudiennes. – L’extension de la citoyenneté à l’ensemble de l’empire : l’édit de Caracalla. Thème 3 – Sociétés et cultures de l’Europe médiévale du xie au xiiie siècles (8–9 h) Question obligatoire La chrétienté médiévale Mise en œuvre La question traite de la place fondamentale de la chrétienté dans l’Europe médiévale en prenant appui sur deux études : – un élément de patrimoine religieux au choix (église, cathédrale, abbaye, œuvre d’art…), replacé dans son contexte historique;

pas l’État et l’Église, puisque ces deux pouvoirs on le même but, d'assurer le salut des âmes, et il n'y a plus qu'une seule société, ou église et Etat sont étroitement unis pour faire triompher la justice de Dieu. C'est le point de départ de la chrétienté, c'est à dire une société où être sujet est aussi être chrétien. Quelles vont être les modalités de coopération entre l'Eglise et l'Etat, quel pouvoir va primer sur l'autre? On distingue 2 périodes, sous les premiers

mise en valeur de nouvelles terres. Réchauffement de la tempèrature. -XI e = 1er grand défraichissement parce que territoire est recouvert de forets donc bouleversement des cadres, découvertes intellectuelles (gouvernail) et comme chacun veut sa part, augmentation des guerres et vols. La ville devient un partenaire politique ,social ,une personne morale avec laquelle on va discuter. A) Organisation juridique. XI e = révolution urbaine violente donc besoin de pacifier les choses. -siècle

songer à l’Occupation. La guerre mondiale laisse une empreinte comparable aux troubles que connaissait Montaigne et qui lui faisaient écrire : « Or, tournons les yeux partout ; tout croule autour de nous ; en tous les grands États, soit de la chrétienté soit d’ailleurs, que nous connaissons, regardez-y : vous y trouverez une évidente menace de changement et de ruine [78]. » Ce malheur du temps, plus que la valeur du retrait et du repli sur soi, nourrit l’affinité que Brunschvicg se découvre

Enseignants responsables de la mobilité internationale : Katerina CHRYSSANTHAKI-NAGLE, Christian JOSCHKE et Natacha PERNAC > Les enseignants titulaires Chrystèle BLONDEAU, MCF d’histoire de l’art médiéval Brigitte BOISSAVIT-CAMUS, PR d’histoire de l’art médiéval Véronique BOUCHERAT, MCF d’histoire de l’art médiéval Marianne COJANNOT-LE BLANC, PR d’histoire de l’art moderne Katerina CHRYSSANTHAKI-NAGLE, MCF d'histoire de l'art et d’archéologie du monde grec Thierry DUFRÊNE, PR d’histoire de l’art contemporain

trouver en situation de monopole. Paragraphe III : La décadence progressive de l’empire romain A) La chrétienté 1) Les débuts A l’avant du XIXe siècle, on a exigé du pape le « remboursement » de ses pouvoirs. La chrétienté va devenir peu à peu une institution qui va aboutir à la reconnaissance de la primauté pontificale. La chrétienté a fixé un système uniforme, surtout de par le territoire romain. Les règles d’organisation de cette Église seront arrêtées

des poètes romantiques (Hugo, Notre dame de Paris, 1831) ou au grand historien, Jules Michelet (l’un des plus grands historiens français), dont l’œuvre Histoire de France compte une grande partie consacré au Moyen Age, des origines à la mort de Louis XI, 6 volumes qu’il compose de 1833 à 1844. C’est une vraie réhabilitation de cette période. Le Moyen Age qui apparaît dès lors non plus comme une période sombre, mais comme un Moyen Age lumineux, Moyen Age vivant et un Moyen Age spirituel. Cette forme

[pic] Introduction En 1614, sous Louis XIII, les états généraux furent pour la dernière fois réunis avant la crise qui allait provoquer en 1789 la disparition de l’ancien régime. Ces états généraux de 1614, à la différence de ceux qui avaient précédés, se sont déroulés dans la plus grande confusion. Les ordres ne purent pas s’entendre. De plus, c’est aussi le problème de la Paulette : vénalité et pénalité des offices. On parle aussi de l’autonomie de l’Eglise française par rapport à Rome qui

héritages Le MA a était façonné par l'héritage direct de droit romain, par l'apport du christianisme et dans une moindre mesure par les rois barbares. Ces influences ce sont mélangés et le MA est l'héritière de ces 3 sources. 1) L'héritage médiéval : le gouvernement des âmes Pendant longtemps, la conduite des âmes est essentielle (allé au paradis), parvenir à conduire les âmes collectives vers le Salut au milieu d'un chemin plein d'embuche. a) L'influence de Saint Augustin Un évêque