La Cité de Dieu

Conclusion p.32 IX. Sources p.33 I. Introduction Il y a 2700 ans, au VIIIe siècle av. J-C, près des berges du Tibre, Rome fut fondée sur sept collines. D’après les légendes des historiens romains, la vestale Rhea Silvia, fille du roi d’albe, et le dieu Mars ont eu deux jumeaux. Le frère, nouveau roi d’Albe, obligea sa sœur Rhea Silvia à abandonner ses enfants dans le Tibre pour être sûr de ne pas se faire détrôner par la suite. Mais leur couffin s’échoua sur une rive où une louve les recueillit et

grecs est un mouvement, qui est organisé autour d’une cité mère au 6ème siècle. En vue de fonder un établissement stable, tel qu’une nouvelle cité, sur un territoire étranger à la cité de référence. Apoikia = établissement fonder par la maison mère, cité indépendante de la cité mère. - Ce mouvement est différent d’une migration, car ici c’est un groupe qui part fonder une nouvelle cité. La maison mère n’a aucune influence sur cette nouvelle cité. Lorsque la colonisation commence au 8ème siècle,

soleil venu de perse. Quelques dieux romains venu de Grèce : Vulcain (Héphaïstos) : Dieu du feu Vénus (Aphrodite) : Déesse de la beauté Apollon (Apollon) : Dieu du soleil et des arts

et la démocratie au V° siècle avant J.C 1-Citoyen : habitant de la cité qui participe à la vie politique à Athènes . 2-Démocratie : gouvernement pour le peuple et par le peuple . 3-Acropole : c'est l'espace en hauteur de la cité athénienne , on y trouve de nombreux temples comme le Panthénon , dédié à la déesse poliade Athéna . C'est l'espace religieux de la cité . 4-Le quartier du céramique : il se situe au Nord de la cité , c'est le quartier des potiers artisans , et il est très actif .

l’occasion de renforcer l’union de la cité et de renforcer la légitimité de la hiérarchie au sein de la cité. Mais les fêtes sont aussi l’occasion de se divertir un des soucis de Lycurgue est de restauré la vitalité folklorique d’Athènes. Ce décret donne donc le déroulement des panathénées il essaye a la fois de décrire dans les moindre détails pratiques l’organisation de cette fête et la hiérarchisation de ceux qui y participe cela pour montrer que l’ordre règne dans la cité mais c’est aussi comme pour

grec, polis, la cité. (cité-état caractérise la polis antique) la cité est un terme latin, romain. Civets. Quand on envisage le cadre politique, on envisage l'organisation du pouvoir. Le monde grec a connu une juxtaposition de positions: Rome est expansionniste, une myriade de cité grecques jusqu'à former un empire, ce basculement nous occupera dans un premier temps avant d'aborder la réflexion politique auquel ces cadres constitutionnels ont servi de support. §1 De la cité à l'empire

LATIUM ( Italie ) , va fonder et s'associer pour fonder une nouvelle cité. Cité d'Albe → roi : PROCA , fils : → Amulius et Numitor Amulius dètronne Numitor . Rhea Silvia ( fille de Numitor ) : fait enfants avec le dieu Mars ( elle avait pas le droit ) → exécuté , fils → Romulus et Remus : exposition des nouveaux nés dans fleuve , récupéré et nourrit par une loupe . Romulus détrone son oncle Amulius. R et R créent une cité ( là où fleuve les a jeté ) , qui va régner ? Recours à la prise

lieu privilégié des relations entre cités, et enfin, nous nous demanderons si l’amphictionie peut être considérée comme symbole de la notion de panhellénisme. I/ Structure du sanctuaire de Delphes. A) Organisation du culte. Le domaine du dieu, ce que nous appelons son sanctuaire (Hiéron) c’est toute m’aire que délimite, en la séparant du monde extérieur, l’enceinte sacrée (péribole). Au milieu, on trouve le Temple, maison divine et non lieu de réunion pour les fidèles ; il contient des

• Le bien immanent est ce que l’homme doit vouloir sous peine de manquer à sa propre nature et d’être naturellement malheureux. • Le bien transcendant est ce que l’homme doit vouloir sous peine de manquer à la volonté de Dieu et d’encourir les sanctions attachées par Dieu à ce manquement. I. Le problème du mal dans la philosophie antique Les morales de l’Antiquité envisageaient le bien et le mal relativement l’un à l’autre comme deux notions symétriques : le mal comme le contraire du bien

un très beau garçon qu'ils appela "Abdou el Ghaffar"( le serviteur du miséricordieux). Ses deux parents enveloppèrent cet enfant de leur amour et le laissèrent en retrait de cette vie de plaisir sexuel et de lutte fratricide que connaissait la cité. Lorsqu'il grandit et commença à fréquenter les jeunes de son âge, il fut écœuré par leur éducation. Alors il retourna à sa caverne et chercha la quiétude de l'âme. Il ne savait quoi faire pour changer ce monde. Un jour il rencontra un chien galeux