La Cité de Dieu

Histoire des idées politiques Chap 1 : La Genèse antique de la pensée politique On s’intéresse au pilier de la civilisation qui est la Grèce antique, la Rome antique et le monothéisme Section 1 : la Cité grecque Elles sont fondées entre le VIII et le VI siècle avant JC. Elles sont un ensemble de communauté dispersée qui partage plus ou moins une même langue et une même culture mais qui ont des cultures et un mode politique variable. Elles sont au début basé sur une sorte

vie siècle avant Jésus-Christ, avec l'affirmation définitive de la cité comme mode d'organisation de la société, que la pensée poli­tique prend son ampleur. En effet, la vie politique des Grecs et, à travers eux, de toute l'Antiquité classique, est conditionnée par l'existence de la cité : pour eux, il n'y a de civilisation que de cité; c'est elle qui fonde la distinction entre Hellènes et Barbares. C'est dans le cadre de la cité qu'évolué la pensée poli­tique grecque, et celle-ci ne peut guère être

toujours le droit naturel et que je n’accorde dans une cité quelconque de droit au souverain sur les sujets que dans la mesure où, par la puissance, il l’emporte sur eux ; c’est la continuation de l’état de nature. » « L’homme que conduit la raison est plus libre dans la cité où il vit selon le décret commun, que dans la solitude où il n’obéit qu’à lui-même. » L’Ethique IV. « C’est à ceci que nous connaissons que nous demeurons en Dieu, et que Dieu demeure en nous : qu’il nous a donné son propre Esprit

nom d’État est une forme de pouvoir politique apparue à la fin du 15ème siècle et qui perdure jusqu’à nos jours. La forme « État » a une histoire… et elle a une « pré-histoire » qu’il convient dans un premier temps d’étudier. Avant l’État (1) – la cité « Un citoyen au sens plein ne peut pas être mieux défini que par la participation à une fonction judiciaire et à une magistrature. Or parmi les magistratures certaines sont limitées dans le temps, en sorte que pour les unes il est absolument

nom d’État est une forme de pouvoir politique apparue à la fin du 15ème siècle et qui perdure jusqu’à nos jours. La forme « État » a une histoire… et elle a une « pré-histoire » qu’il convient dans un premier temps d’étudier. Avant l’État (1) – la cité « Un citoyen au sens plein ne peut pas être mieux défini que par la participation à une fonction judiciaire et à une magistrature. Or parmi les magistratures certaines sont limitées dans le temps, en sorte que pour les unes il est absolument interdit

PREMIERE PARTIE : Les idées politiques des temps antiques CHAPITRE I : La cité grecque matrice de la pensés politique Section 1 : Les origines Le monde grecque se caractérise à la fois par son unité et ses divisions, celle-ci vont le conduire à son déclin. A_ Le cadre politique 1. L’unité Les grecques ont consciences de former une collectivité, d’appartenir à un ensemble qui les opposent au monde extérieur. Ce sentiment remonte aux « guerre médiques » (499-449 av JC) où tous les grecs

Chapitre 1 et 2GF trad. Pellegrin Communauté(Animal) PolitiqueLangageNature Comment l’homme perd sa fonction d’homme lorsqu’il n’appartient plus au tout que forme la cité ? Le pouvoir politique et les autres pouvoirs La communauté politique vise un bien suprême L’homme agit pour un bien. Donc chaque communauté vise un bien. Chaque Cité, qu’on peut aussi appeler communauté politique, communauté la plus importante de toutes et qui contient les autres, vise un bien qui est supérieur aux autres, absolu

pour la foi et la vie pratique. Le noyau primitif de la législation hébraïque est LE DECALOGUE OU LES DIX COMMANDEMENTS, droit révélé à Moïse sur le mont Sinaï « des lois de Dieu sur les tables de pierre ». Ce récit nous le retrouvons dans l’Exode et le Deutéronome. Ces 10 commandements enseignent la puissance de Dieu et son unicité, les devoirs de son peuple envers lui, quelques prescriptions d’ordres familiales « Honore ton père et ta mère » « Tu ne commettras pas l’adultère » ou d’ordres sociales

signifiant « relier ». Ces étymologies se trouvent dans les œuvres de Cicéron qui cite l'étymologie relegere1 (en l'ayant peut-être tirée d'une œuvre disparue de Varron), Servius qui cite l'étymologie religare2, Lactance qui défend l'étymologie religare contre celle donnée par Cicéron3, et Augustin qui propose des interprétations de l'une et de l'autre4. Plus tard, Isidore de Séville5 puis Thomas d'Aquin6 ont cité et repris les interprétations d'Augustin. Les idées de « lien » ou de « relecture

athénien et de reconnaître ses dieux, de les prier pour la sécurité de la cité (car les villes sont sous la protection des dieux.) c’est une des raison pour laquelle Socrate est condamné à mort, il nie la dimension religieuse, il a, en vrai, introduit la dimension de la spiritualité, une intériorité qu’il présent et qui va s‘appliquer dans le monde occident (mais pas grec). L’impiété (de Socrate) est considérée comme trahison de la cité. -La raison, recherche de la vérité qui permet de prendre du recul