La Cité de la joie

« La Peur en Occident » de Jean DelumeauLa Peur en Occident, XIVe-XVIIIe siècle. Une cité assiégée, 1978, Jean Delumeau Vers le milieu du XIVè siècle l’Europe connaît un retournement de la conjoncture : épidémie de peste, puis multiplication des mauvaises récoltes, révoltes rurales et urbaines, guerres civiles et étrangères, menace de plus en plus précise des Turcs et divisions religieuses entre les chrétiens (shisme orthodoxe puis protestant). Cette accumulation aboutit à créer

évoquant la présence de l’eau (« ruisselante » , v. 3, et « Sous la pluie », v. 4) s’associent aux termes qui marquent le bonheur de Barbara (« souriante / Epanouie, ravie », v. 3-4). La présence de Barbara transforme cette grisaille brestoise. Sa joie illumine la pluie, qui se charge alors d’adjectifs destinés à qualifier le visage de Barbara : « Cette pluie sage et heureuse / Sur ton visage heureux », v. 31-32). Transition : le bonheur et l’harmonie du couple font ressortir, par contraste, l’horreur

Introduction : Les Frères Karamazov est une intrigue policière mais celle – ci possède tant de profondeur, qu’elle fait de ce livre un roman pneumatologique. Définition de pneumatologique : C. Motchoulski considérait même ce roman comme je cite «  la biographie spirituelle de l’auteur ». En suivant Louis Allain qui stipule dans Dostoïevski et Dieu: « Dostoïevski pose la question de la foi dans sa dimension à la fois individuelle, sociale et historique » nous nous sommes demandés en quoi le

Domination de l’ennui qui mène à la maladie, à la mort La joie est impossible Les distractions sont vaines Il n’y a pas de guérison possible (v. 13-14) L’oubli l’emporte sur le réconfort du souvenir (v. 15 à 18) Procédés Comparaison : poète / roi d’un pays pluvieux Antithèses : riche / impuissant ; jeune / très-vieux Accumulation d’activités distrayantes : gibier, faucon, peuple, bouffon, dames d’atour = impossibilité de joie, de distraction Comparaison : lit / tombeau Métaphore et oxymore

de méditer la vérité à partir surtout du premier principe et de disserter sur les autres, il lui appartient aussi de combattre l'erreur contraire. Ce double office du sage est donc parfaitement exposé par la Sagesse, dans les paroles que nous avons citées plus haut: dire la vérité divine, qui est la vérité par antonomase, et la dire après l'avoir méditée, tel est le sens de ce verset: Ma bouche méditera la vérité; combattre l'erreur qui s'oppose à la vérité, tel est le sens de cet autre verset: et

besoin de se poser cette question, tant la réponse est évidente. Scinder, en quelque sorte, le texte en deux, laisse apparaître, par le biais des comédiennes, deux personnalités bien distinctes de l’auteur. D’une part se trouve la femme symbolisant sa joie et sa gaieté, et d’autre part, voici la femme traduisant son pessimisme et sa mélancolie. Partant alors de cette affirmation, l’étude des costumes se fait logiquement la prochaine étape à aborder. Les costumes diffèrent autant entre eux que les deux

romans tels que celui-ci, ce qui le rend d’autant plus intéressant. J’avais eu un aperçu du livre avant de le choisir définitivement, et sa forme me paraissait agréable. Pour toutes les raisons citées ci-dessus, c’est le roman Neige que j’ai choisi. Ambiance du roman L’ambiance du roman est comparable à un haïku : simple mais belle. L’auteur a réussi à transmettre toute la beauté de l’univers dans lequel évolue Yuko, le personnage

Lecture analytique n°5 Germinal, E.ZOLA L'expicit Phénomène d'écho, de symétrie, de miroir incipit-excipit Personnage principal => Milieu géographique et social : Nord de la France – Cité Minière PERSONNAGE Les deux passages sont en focalisation interne (dominante) ≠ dans l'incipit, alterné avec l'omniscient et l'externe On est dans la tête du personnage, on va donc mieux comprendre ce que le perso pense et ressent. On le connait mieux. On a du discours indirect libre On

prendre soin de son âme intellectuelle est différent de prendre soin de son corps. Par exemple, bien s’alimenter, se laver ou s’entraîner ne permettra pas d’atteindre un état plus durable, un équilibre, mais seulement un état passager de plaisir, de joie. Prendre soin de son corps est donc négligeable comparativement au soin de son intellect. Par conséquent, on peut dire que l’intellect est nécessaire au bonheur. D’autre part, suivant cet argument de Platon, il est possible de démontrer

montrant une absence de personnalité et d’originalité de cette ville et l’inexistence de joie de vivre au sein de cette cité. Le cadre spatio-temporel est aussi exploré par Camus au travers de son jeu sur les quatre saisons, le « printemps » (l9), « l’été » (l12), « l’automne » (l13) et l’ « hivers » (l14) : ces repères temporels montrent l’appartenance au réalisme de cet incipit. Camus décrit aussi l’aspect de la cité, en qualifiant Oran de ville brulée, où « le soleil incendie les maisons trop sèches »