La Cité de la peur

pousse, sous une forme ou sous une autre, à le soutenir. C’est contradictoire, embarrassant et assez terrible. Ce moteur inlassable, inusable, jusqu’ici en tout cas, j’ai proposé de l’appeler, d’un terme qu’il m’a fallu forger : l’hétérophobie ou la peur agressive d’autrui. Ce malaise diffus devant les autres, il est aussi difficile d’en rendre compte que de l’amour d’autrui, avec lequel, heureusement, il coexiste. C’est un fait aussi dense, aussi inesquivable, complémentaire, comme s’il n’y avait

Sujet : « La peur est la source la plus importante de la superstition et la principale source de la cruauté. Surmonter la peur est le commencement de la sagesse. » (B. Russel) Une des expressions que les enfants entendent le plus de la bouche de leurs parents, c’est bien la fameuse : « N’est pas peur… ». Que cela soit lors d’une rentrée des classes, ou en haut d’un toboggan trop long, cette phrase accompagne toute notre enfance. Pourtant, la peur est une émotion qui accompagne la prise de conscience

Invictus : poème de William Ernest Henley I. Présentation : (source : Wikipedia) Invictus est un court poème de l'écrivain William Ernest Henley qui fut cité à de très nombreuses reprises dans la culture populaire, ce qui contribua à le rendre célèbre. C'était le poème préféré de Nelson Mandela. Il est notamment repris dans le film Invictus de Clint Eastwood. Le titre latin signifie « invaincu, dont on ne triomphe pas, invincible » et se fonde sur la propre expérience de l'auteur puisque ce poème

territoriale : Philippe II de Macédoine. Celui-ci veut s’emparer d’Olynthe ; cette cité fondée en 432 avant JC par synœcisme (c'est-à-dire par regroupement d’habitats et de populations). Olynthe est la principale cité de Chalcidique au nord de la Grèce. Devant une telle menace, Olynthe demande donc de l’aide auprès d’Athènes. Ardent défenseur de la démocratie et de la liberté, Démosthène prend à cœur cette requête venant de la cité d’Olynthe. Il souhaite que les Athéniens aillent aider les Olynthiens. C’est

événements humains les plus graves : dans les familles, le meurtre ; dans les cités, la guerre. Un des premiers traits originaux de ce théâtre est, en effet, de ne point se situer au niveau des individus. Et tout commence avec la guerre et le destin de la cité. En vérité, la grande expérience de la vie d'Eschyle avait bien été la guerre deux fois victorieuse contre l'envahisseur venu d'Asie. Et le fait est qu'elle gronde un peu partout dans son théâtre. On la trouve, à peine transposée, dans cette tragédie

base de cette nouvelle génération. Tout porte sur le paraître, au point que les adolescents ne pensent qu’à leurs copains, qu’à leurs codes de conduite, de valeur, vestimentaires…Souvent, cette description de l’adolescence est corrélée aux jeunes de cité. La banlieue est souvent mise en avant dans les médias négativement. En effet, tout ce qu’on peut entendre là-dessus concerne la violence ou la délinquance et les jeunes de banlieue deviennent des sujets à connotation négative. Ce qui se passe en

les interactions entre les jeunes jusqu’au-boutistes potentiellement violents, ou considérés comme tels, et la diversité des acteurs de la « socialisation des risques » (Boucher, 2007) présents dans une cité d’habitat social caractéristique des quartiers périphériques populaires qui font peur : la Cité des enfants perdus. • 1 Le renouvellement contemporain de la police des villes (traduction de l’expression anglaise urban (...) 2Au-delà des polémiques idéologiques (sécuritaires/antisécuritaires)

d’argent pour organiser un concours d’architecture dans le but de reconstruire les habitations manquantes sur le modèle des cités jardins anglaises d’Howard. Comment s’est dévelloppé le concept de « cité-jardin » en Belgique durant l’entre-deux guerre ? Dans une première partie, nous verrons qu’est-ce qu’une cité-jardin d’après le concept d’Howard ; puis nous verrons les critères imposés par le gouvernement ; pour finir, la présence de la liberté artistique des architectes . Le concept d’Howard était

cible. Mais si elle parcourt l'infini elle n'arrivera jamais à la cible. 2- Socrate et Platon: Socrate vis à Athènes, à une époque où l'état s'est déjà constitué (il y a une culture grecque) sous forme de cité-états*. Chaque ville a son état, gouvernement mais une culture commune *Cité=polis=>politique. Athènes est le berceau des philosophes grecques. Socrate meurt en -399 av JC. Tandis que Platon à cette époque a 20 ans, il était son disciple (élève). Socrate n'a jamais rien écrit c'est

déclare lui-même que cet homme sera condamné à l'exil. En menant l'enquête, il va découvrir qu'il s'est condamné lui-même, qu'il est coupable d'inceste en ayant fait des enfants à sa propre mère, Jocaste, et a tué son père, Laïos, l'ancien roi de la cité. Tout commence quand il décide de quitter ses parents après avoir été traité d'enfant supposé et être allé voir l'oracle de Delphes qui lui a annoncé qu'il tuerait son père et aurait des enfants avec sa mère. Il quitte donc sa ville et ses parents