La Cité de la peur

Le Clézio, Désert Lalla, née dans le désert, a vécu une enfance heureuse dans le bidonville d’une grande cité marocaine. Adolescente, elle est obligée de fuir et se rend à Marseille. Elle y découvre la misère et la faim, « la vie chez les esclaves ». Lalla continue à marcher, en respirant avec peine. La sueur coule toujours sur son front, le long de son dos, mouille ses reins, pique ses aisselles. Il n’y a personne dans les rues à cette heure-là, seulement quelques chiens au poil hérissé, qui

Sylvie Kinigi n° 14 6T2                                                              24/10/2014  cours de français              ​ Compte rendu de ​ “ Notre peur de n’ être ”​ , Fabrice Murgia      Mercredi 8 octobre 2014, j’ ai assisté à la pièce de théâtre  ​ “ Notre peur de n’ être ” ​ de Fabrice  Murgia ​  ​ au Théâtre National , théâtre de type contemporain​ .​  Celle­ci se déroulait dans la grande  salle et était interprétée ce soir­là par Clara Bonnet, Nicolas Buysse, Anthony Foladore, Cécile 

de la société. Cette question n'est pas qu'historique : en y répondant, on répond aussi à la question du lien social, autrement dit de la force qui maintient les hommes entre eux malgré la haine et la désunion. La thèse d'Alain est simple : c'est la peur, et non le besoin (ici le besoin de se nourrir) qui est à l'origine de la société. Pour Alain, l'enjeu est de montrer les priorités qui s'imposent à l'homme et le conduisent à former un groupe social homogène et stable. Pour ce faire le texte va

les autres dormaient ; telle fut la première esquisse de la cité. La cité fut militaire avant d'être économique. Je crois que la Société est fille de la peur, et non pas de la faim. Bien mieux, je dirais que le premier effet de la faim a dû être de disperser les hommes plutôt que de les rassembler, tous allant chercher leur nourriture justement dans les régions les moins explorées. Seulement, tandis que le désir les dispersait, la peur les rassemblait. Le matin, ils sentaient la faim et devenaient

était aussi la place des bâtiments politique (Bouleterion: Conseil des Cinq-Cent) et abritait aussi des bâtiments religieux comme le temple d'Héphaïstos . 2)L'acropole: Une acropole est une citadelle construite sur la partie la plus haute d'une cité grecque servant de refuge en dernier recours aux population lors d'attaques. Elle est entourée de fortification et abrite des autels en l'honneur des principaux dieux de la ville. 3)Sanctuaires panhelléniques Un sanctuaire panhellénique est un

ressentir : émerveillement, peur, hâte, accomplissement, rêve, grandeur… et la liste pourrait être bien plus longue. En effet, en arrivant à « Saint Pancras International », la célèbre station où arrive le train assurant la liaison entre Paris et Londres, je fus abasourdie devant la grandeur et la devanture de celle-ci : Outre l’architecture, des habitations et des centres d’affaires, particulière qui jongle entre le moderne et l’ancien, Londres est une cité qui regorge d’endroits magnifiques

 Les peurs ataviques de Lalla Lalla, en fille du désert habituée aux grands espaces où le regard peut se déployer, éprouve très vite une peur irrépressible. Les origines physiques La chaleur étouffante réverbérée par les murs et l’asphalte : « La sueur coule toujours sur son front, le long de son dos, mouille ses reins, pique ses aisselles. » Allitération de S qui renforce l’agressivité de l’air surchauffé. Paradoxalement, cette chaleur fait ressortir le froid mortel des sous-sols. C’est

Lecture analytique : « La nuit est une grande cité endormie... » de Philippe Jaccottet L’effraie est le premier recueil de Philippe Jaccottet parut en 1953. Le poème liminaire (= le premier poème du recueil ) « La nuit est une grande cité endormie » est emblématique du recueil dans lequel la nuit et l'angoisse de la mort sont des thèmes récurrents. Le titre du recueil est à cet égard révélateur puisqu'il désigne un rapace nocturne et l'on y entend aussi le verbe « effrayer » et le nom « effroi

question qu'il pose est: QUE NOUS APPORTE LA NATURE ? La nature représente le bonheur et le bien-être comparé au monde créé par les Athéniens qui représentent l'inutile,la richesse,les honneurs tout ce qui est faux pour Diogène. Le rôle de Diogène dans la cité est de faire réagir, de réveiller les gens pour qu'ils réfléchissent et deviennent plus sages. Pour Diogène, un philosophe est une personne comme lui qui recherche la sagesse, la vérité, la liberté et qui défend ces valeurs. Sa philosophie lui sert

de la société. Cette question n'est pas qu'historique : en y répondant, on répond aussi à la question du lien social, autrement dit de la force qui maintient les hommes entre eux malgré la haine et la désunion. La thèse d'Alain est simple : c'est la peur, et non le besoin (ici le besoin de se nourrir) qui est à l'origine de la société. Pour Alain, l'enjeu est de montrer les priorités qui s'imposent à l'homme et le conduisent à former un groupe social homogène et stable. Pour ce faire le texte va