La Cité de la peur

Gaborn Val Orden est donc dans la cité de Sylvaressta, une ville marchande et de chasse, il est accompagné par Borenson, Un colosse qui à 15 dons de force … Gaborn est à Sylvaressta pour demander la main de Iomé, La princesse du domaine Sylvaressta. Mais son père l’interdit de la voir car une menace s’approche de la cité … La cité de Sylvaressta est une cité bien défendue, elle a de très grand rempart qui protège la cité. Sylvaressta n’est pas une simple cité de marchand … elle est aussi réputait

avaient la réputation d'être pensifs, ceux qui pensaient et étaient convaincus de posséder le savoir. Socrate dut interroger bien des personnes afin de montrer à la population d'Athènes que les paroles de l'oracle étaient irréfutables. Il parcourut la cité à la rencontre des individus ayant la réputation d'être sage soit: les hommes politiques, les poètes, les artisans et les gens de métier. À la afin de chaque rencontre, il semblait à Socrate que ces gens qui semblaient savants aux yeux de tous ne

des outils de la clinique. Il procède à des enquêtes quasi sociologiques et fait preuve d’empirisme à la différence de Platon qui imagine une société idéale voire utopique. Aristote est soucieux de respecter une certaine diversité à l’intérieur de la cité. Ce lien avec la clinique me semble donc particulièrement intéressant à approfondir en s’appuyant sur les textes d’Aristote et plus particulièrement sur le texte d’Ethique à Eudème qui est un traité de philosophie pratique qui a pour objet l’investigation

malhonnête. Les hommes s’obligent à respecter ces lois par peur d’un châtiment divin, Mais comme il est écrit, n’est-il pas mal de vivre comme tel? N’y a-t-il pas de châtiments infligés par les dieux? Si oui, pourquoi ne les infligent-ils donc pas? Ou alors, il n’y a pas de dieux et dans ce cas, nous pouvons vivre malhonnêtement comme bon nous semble sans avoir peur d’une intervention divine, mais pour ceux qui vivent honnêtement, la peur règne car ils ne savent point que les dieux ne châtient pas

sur la société et sur son mal-être dans Frankestein ou le Prométhée moderne (doc 3). Claire Caillaud nous montre ce que suscite en nous l’imagination du monstre et les réactions contradictoires qu’il nous procure dans l’article « les délices de la peur » (doc 2) de la revue Texte et documents pour la classe. Enfin, dans l’article « Monstres (Esthétique) » (doc 4) de l’encyclopaedia universalis, Gilbert Lascault, évoque le monstre dans l’art. Qui sont les monstres et quel regard porte t’on sur eux

prétend parfois à l’ambivalence de l’être et à une sorte de dédoublement de la personnalité. C’est une morale qui est secrète et par conséquent ne s’affiche pas. La première éthique relève en quelque sorte de la cité du renom et la seconde de la cité domestique ou inspirée. Dans la cité du renom, on doit donc s’attacher à l’éthique de la grandeur et de l’honneur dans la société traditionnelle. On a un préjugé pour ce qui est bas. La pratique de l’honneur s’associe à la pratique de la stigmatisation

BOUCHARD Julien La Cité selon Thucydide, La Guerre du Péloponnèse, Livre II, 35-42 Avant de démarrer l'exposé, il est important de restituer quelques mots sur l'auteur et le contexte d'écriture de son oeuvre, La Guerre du Péloponnèse. Thucydide, un peu moins connu du grand public que Hérodote, est un historien grec qui a vécu au Ve siècle avant J-C. On estime plus précisément qu'il est né vers 460 avant J-C et mort, assassiné selon certains hellénistes, entre 400 et 395 avant J-C. Dans La Guerre

définition de l'homme : "l'homme est par nature un animal politique" '1252). Pour Aristote, donner une définition c'est dire la nature d'un être, et la nature de quelque chose (= sa fin). La finalité de l'homme est de vivre en societé politique (polis = cité donc ~citoyenneté). On va pouvoir définir chez Aristote l'espèce : Aristote = fils de medecin, cela va l'interesser d'analyser les choses d'une facon matérialiste (symptomes). Il va s'interesser aux causes (Etiologie : étude des causes des maladies)

ai sucées, à cause du sucre. Je ne savais pas faire la manche. Les jambes flageolantes, à bout de forces, j'ai eu bien du mal à me traîner aux limites de la ville. Je savais que je me ferais arrêter si je passais une nuit de plus sur place. Maudite cité! Fichu matin! Où étaient-ils les matins de mes visions d'enfant ? Que faire ici-bas ? »  Page 310 du rouleau original édition Folio. Le narrateur veut faire comprendre aux lecteurs en disant « qu'il ne savait pas faire la manche », premièrement

deux pierres qui équilibraient la lumière et l’obscurité sur le monde, furent cachées dans les tréfonds, loin de tout regard. Cette époque se nomma l’Origine. L ’Homme se développa en même temps que son environnement, il créa Tyralia, une cité, et y voua un culte aux Dieux créateurs. L’un des Archanges nommé Cimériel commença à nourrir une jalousie à propos de l’amour que possédaient ses pères pour les hommes. Avide d’attention, il tenta de corrompre les hommes et essaya de les détourner