La Cité de la peur

fait-elle pas peur à Antigone ?Antigone sait qu’en désobéissant à Créon et à son interdiction de rendre hommage à son frère défunt, elle s’expose à la sanction fatale.Pourtant, non seulement elle prend le risque de désobéir mais en plus, elle n’a pas peur de le payer de sa vie. Ce qui est le plus mystérieux ici est cette absence de peur. Son attitude est très ambiguë. Est-elle courageuse ? Si elle a seulement le courage d’aller enterrer son frère, elle peut être malgré tout envahie par la peur. Le vrai

« La Peur en Occident » de Jean DelumeauLa Peur en Occident, XIVe-XVIIIe siècle. Une cité assiégée, 1978, Jean Delumeau Vers le milieu du XIVè siècle l’Europe connaît un retournement de la conjoncture : épidémie de peste, puis multiplication des mauvaises récoltes, révoltes rurales et urbaines, guerres civiles et étrangères, menace de plus en plus précise des Turcs et divisions religieuses entre les chrétiens (shisme orthodoxe puis protestant). Cette accumulation aboutit à créer

prévenu de tout hypocrite savant [qui sait détourner les gens et occulter la vérité] ». (Mosnad Bazar numéro 3514) 3 1 - VOUS DITES DANS VOTRE LIVRE A LA PAGE 15 JE CITE : Un exemple : Oui, il existe des Textes (un verset et, par incidence, des traditions prophétiques) qui réfèrent au fait de frapper son épouse ; je les cite puisque ce sont les textes que les musulmans lisent et citent. Voici quelles sont les interprétations qui ont été proposées, des plus littéralistes, qui justifient le fait

les autres dormaient ; telle fut la première esquisse de la cité. La cité fut militaire avant d'être économique. Je crois que la Société est fille de la peur, et non pas de la faim. Bien mieux, je dirais que le premier effet de la faim a dû être de disperser les hommes plutôt que de les rassembler, tous allant chercher leur nourriture justement dans les régions les moins explorées. Seulement, tandis que le désir les dispersait, la peur les rassemblait. Le matin, ils sentaient la faim et devenaient

d'enfance. . Tropismes écrit plus tôt en 1939, nous permet de définir le réel projet d'écriture de l'auteur . Sarraute dans ce dernier explique son travail qui analyse les réactions physiques spontanées imperceptibles, très ténues à une stimulation , je cite l'auteur : « mouvements indéfinissables qui glissent très rapidement aux limites de la conscience ; ils sont à l'origine de nos gestes, de nos paroles, des sentiments que nous manifestons, que nous croyons éprouver et qu'il est possible de définir

2. Le plan détailléPour mieux comprendre cette étape, il s’agira de constituer deux tableaux dans lesquels apparaîtra le plan détaillé. Chaque tableau correspond à un centre d’intérêt.*Centre d’intérêt 1 : La peinture réaliste de la cite des milliardaires.Sous-thèmes/sous titres Indices textuels/repérages(Que dit l’auteur ?) Analyses(Comment le dit-il ?) Interprétations(Pourquoi le dit-il ?)1-La beauté du cadre de vie.- « Somptuosité de ses villas »- « Le charme, combien

d’abord, nous constatons au début du texte, que le père Sorel arrive tardivement chez Mr. Le maire. En effet, je cite : « Sorel qui s’être fait attendre une heure ou deux » Cette temporalité montre que le paysan ne semble pas être pressé, et souhaite faire perdre du temps au Maire. De plus ,le père Sorel alterne entre le lexique de la politesse, de la courtoisie et celui de l’arrogance, je cite : « cent excuses, entremêlées d’autant de révérence » puis « toutes sorte d’objections » ; « Toujours plus disposé

personnage, car il est incapable de se lever comme s’il y avait un réel être vivant qui lui en empêchait. Il y a également la litote qui consiste à dire moins pour en laisser entendre davantage[footnoteRef:2] tel que dans l’extrait où le narrateur cite qu’il aimerait être maître de soi. Le protagoniste souhaite pouvoir être maître de son corps, ses choix et de ses agissements tel qu’être capable de se lever par lui-même et non rester angoissé et dominé par l’être fantastique. À cette époque, l’utilisation

de Maupassant) Texte : Une vie (1883) , Maupassant 5 10 15 2025 Jeanne découvre que son époux et sa sœur de lait sont amants. (…) Et comme Julien éperdu avait appelé " Jeanne ! ", une peur atroce la saisit de le voir, d'entendre sa voix, de l'écouter s'expliquer, mentir, de rencontrer son regard face à face ; et elle se précipita de nouveau dans l'escalier qu'elle descendit. Elle courait maintenant dans l'obscurité au risque de rouler

n’utilise pas la peur pour parvenir à ses fins. Il faut plutôt la considérer comme une stratégie visant l’amélioration de la société en matière d’égalité. Ensuite, la principale objection à cette argumentation est que la désobéissance civile mènerait à l’anarchie dans la société, jusqu’à la destruction de celle-ci. Cette objection peut être soutenue par les dires de Socrate : « Cette action […], est-ce autre chose que le projet de nous détruire, nous, les Lois, et toute la cité? Crois-tu vraiment