La Civilisation Africaine

Conclusion : 3pts Contenu et méthode : 8 points Expression : 4 points Soin : 2 pts INTRODUCTION * Partir du contexte historique (Traite négrière et colonisation) ou littéraire (Négritude) ou de la fonction des premiers écrivains africains ou encore du thème * Situer le texte (titre de l’œuvre, date de parution, auteur, nationalité), identifier le type du texte et dégager l’idée générale * Annonce les centres d’intérêt * DEVELOPPEMENT C.I N°1 : Une entreprise de déstabilisation

caractère philosophique qu'il pourront nommer philosophie africaine. La problématique de l'ethnophilosophie africaine a vu le jour avec la publication en janvier 1945[->2] de « La philosophie bantoue [1]» par Placide Frans Tempels[->3] (1906[->4]-1977[->5]). Cet ouvrage retentissant correspondait à son époque, à une réhabilitation des valeurs nègres[->6] fort ambigüe. Ironiquement, Tempels n'etait pas un philosophe. Et il n'était pas africain. C'était un moine[->7] franciscain[->8] belge et missionnaire

LA SOCIÉTÉ NÉGRO-AFRICAINE. La définition de société se base sur des faits sociologiques bien précis : croyance, coutume, mœurs, langues, institutions politiques, sociales, économiques. C’est-à-dire que pour être civilisé il faut avoir une organisation politique, une forme de société, un type d’économie et un système de valeur (morale, croyance, mentalité, sensibilité, écriture). L’Afrique noire n’a rien à envier aux autres pays puisqu’il s’agit d’une civilisation caractérisée d’une part, par

le seul pays qui subit un sort tragique. Malgré tout, peut-on remarquer la splendeur de l’Afrique dans son courage face à la souffrance ? C’est une civilisation (non à l’ethnocentrisme), l’humanité procure de l’aide comme une dépendance, et la concurrence économique rend les pays hostiles. Chapitre I : Il existe un réel mystère des peuples africain. Il eut un écrit : mission civilisatrice qui est contre l’exploitation. Les considérations sont en baisses alors que leurs terrains sont riches. C’est

qu’ils bâtissent eux même entourées d’une petite couronne de terre. Civilisation urbaine. D villes portuaires, société coloniale centrée autour des marchands avec une famille au sens patriarcal du terme incorporant la domesticité indigène ( proche esclavage) è trafic d’esclaves en direction de l’Europe méditerranéenne essentiellement C esclaves sont christianisés, reçoivent un prénom chrétien et un patronyme portugais, civilisation bicarrée. Faible influence de la colonisation portugaise au XVIe

perte de la langue caractérise notre temps. La civilisation scientifique et technologique, celle de l'image en particulier, participe à sa façon à une forme de destruction culturelle. La maîtrise de la langue française et de son écriture a toujours contribué à l'intégration nationale. Est-ce encore vrai ? C'est devenu un vecteur d'intégration culturelle plutôt que nationale. Parce que la langue française est devenue aussi celle de populations africaines, antillaises ou mauricienne notamment. 1

Philosophie africaine L'expression peut sembler problématique. D'un côté, l'expression désigne l'ethnophilosophie de l'Afrique: exposition et analyse de la sagesse ou mieux encore de sagesses africaines. La problématique de l'ethnophilosophie africaine a vu le jour avec la publication en Janvier 1945 de « La philosophie bantou[1]» par Placide Frans Tempels (1906/1977). Cet ouvrage retentissant correspondait à son époque, à une réhabilitation des valeurs nègres fort ambigüe. Ironiquement, Tempels

RAPPORT DE LA CIVILISATION EGYPTIENNE AVEC LE RESTE DE L’AFRIQUE Dieu tutélaire du panthéisme égyptien, mythe fondateur de la civilisation égyptienne, Khnoum est le dieu potier, celui qui façonnedans l'argile les hommes, les femmes, les animaux et leur insuffle la vie. Khnoum pourrait nous mettre sur la voie de cette filiation directe entre l'Egypte ancienne et certaines sociétés africainessubsahariennes. Cheikh Anta Diop a étudié consciencieusement cette piste. Les liens et influences de la civilisation

disposition de l'Homme. Puis il donne des lignes 3 à 8 un exemple : Si l'on prend uniquement ce critère de jugement, la civilisation nord américaine et la civilisation européenne peuvent être dites supérieures puis sont loin derrière « une masse de sociétés asiatiques et africaines qui deviendront vite indistinctes », c'est-à-dire que selon lui des sociétes asiatiques et africaines ont tellement de retard sur le critère du developpement techniques qu'elles disparaitront presque en une masse de société

(484-420 av J. C). Selon lui l’histoire est nécessaire « pour empêcher que les actions accomplies par les hommes ne s’effacent avec le temps. » Sans histoire il n’y a donc pas de mémoire collective et par ricochet il n’y a pas de culture ni de civilisation. D’autre part, elle est, selon les historiens positivistes, une véritable science car elle s’appuie sur des méthodes rigoureuses (critique historique, carbone 14…) et des sciences auxiliaires (paléontologie, archéologie…) en vue d’établir une