La Civilisation Africaine

 LA CIVILISATION NEGRO – AFRICAINE Introduction. Le monde négro-africain se caractérise par une grande diversité physique et humaine malgré l’unité de son espace géographique. Il s’étend du Sahara au Cap et abrite de brillantes civilisations. Pour justifier ses multiples agressions faites à l’Afrique (esclavage, colonisation), l’idéologie occidentale a longtemps nié l’existence d’une civilisation negro- Africain. L’Afrique noire était qualifiée de « sauvage » de « barbare » et tous ses traits

marqué par les caractéristiques suivantes : Un recentrage sur l’histoire du Sénégal des origines à l’indépendance. Cependant l’histoire africaine et extra africaine ne sera pas négligé. Tout en en négligeant pas la chronologie, le contenu matière sera articulé autour des thèmes judicieusement choisis; Une conception de l’histoire qui privilégie les faits de civilisation, le rôle des peuples, les données économiques, politiques, sociales et culturelles au détriment de l’événementiel. - - Nous

suivante : l’idée de colonisation est-il un délire contre l’humanité ? En quoi la colonisation apparait-elle préjudiciable a l’existence humaine ? Cependant n-a-t-elle pas été nécessaire ? La colonisation qui est le fait d’imposer une civilisation meilleure à un autre peuple est considérée comme un crime contre l’humanité. Considérée comme un crime parce qu’elle entrave la liberté des colonisés. Ils sont donc plus libre de faire ce qu’ils veulent .elle est même une forme de domination.

La civilisation des Ibos : 2. La civilisation blanche : Conclusion : Introduction : Le monde s’effondre, ou si vous préférez « Things fall apart », son titre en anglais, duquel il est une traduction, a cette année 2008, cinquante ans. Et le projet, le but de son auteur a toujours été de conservé dans ses textes une culture africaine vivace. La peur que les générations futures perdent cela est fort justifiée, aussi le titre met-t-il l’accent sur une possibilité que la culture africaine, du

l’UNESCO Longtemps, mythes et préjugés de toutes sortes ont caché au monde l’histoire réelle de l’Afrique. Les sociétés africaines passaient pour des sociétés qui ne pouvaient avoir d’histoire. Malgré d’importants travaux effectués, dès les premières décennies de ce siècle, par des pionniers comme Léo Frobenius, Maurice Delafosse, Arturo Labriola, bon nombre de spécialistes non africains, attachés à certains postulats soutenaient que ces sociétés ne pouvaient faire l’objet d’une étude scientifique, faute

'Afrique berceau de l'Humanité, de la civilisation,des sciences et des religions "Nous sommes des échangeurs et des brasseursde temps" Michel Serres L'Afrique : berceau de l'humanité et de la civilisation, des sciences et des religions En l'état actuel des connaissances scientifiques, on doit bien reconnaître que le continent africain a vu naître les premiers hommes, les premières grandes civilisations, les premières sciences ainsi que les premières croyances religieuses allant du polythéisme

marqué par les caractéristiques suivantes : un recentrage sur l’histoire du Sénégal des origines à l’indépendance. Cependant l’histoire africaine et extra africaine ne sera pas négligée. tout en ne négligeant pas la chronologie, le contenu matière sera articulé autour des thèmes judicieusement choisis ; une conception de l’histoire qui privilégie les faits de civilisation, le rôle des peuples, les données économiques, politiques, sociales et culturelles au détriment de l’événement. Nous insistons particulièrement

moyen de transférer leur civilisation dans les régions colonisées. Ce choc de cultures engendre un certain nombre de conflits qui interpellent les écrivains de l’époque. C’est dans ce contexte que Cheikh Hamidou Kane a édité son premier roman titré « l’Aventure Ambiguë ». Il évoque dans son ouvrage la fascination qu’exerce l’Occident sur la civilisation africaine dans le pays des Doallobé. Il traite de la pénétration de la culture moderne occidentale dans la culture africaine traditionnelle. C’est

l'orage, a été publié en 1957 (Ed. les Presses Universelles). Il sera suivi, dix ans plus tard, de deux romans : Le Sang des Masques (R. Laffont, 1976) et Noces Sacrées (Présence Africaine, 1977). Seydou Badian a également écrit une pièce de théâtre, La Mort de Chaka (Présence Africaine, 1963) et un essai, Les Dirigeants africains face à leur peuple (Maspero, 1964). Médecin du corps, Seydou Badian entreprend de soigner l'âme et cherche à résoudre le problème, pour lui fondamental de l'intégration au modernisme

l'UNICEF en Afrique, à Lagos et Abidjan, ce qui lui a donné l'occasion de parcourir pratiquement tous les pays de l'Afrique au sud du Sahara à l'exception de l'Afrique du Sud. Le passage de ce livre (L'aventure ambiguë) raconte l'histoire d'un jeune africain, nommé Le Fou, découvrant la société occidental. Il arrive dans une grande ville à ce qui est décris puis explique ce qu'il ressens et ce qu'il voit de son point de vue à lui, par rapport à sa culture et sa personne. Pour ce commentaire nous allons