La Clarté Du Dehors Contemplations

et unifiante. Au pragmatisme et à l’utilitarisme, elle rappelle que l’homme vit aussi par ses rêves. “Le rêve est une seconde vie” (Nerval). Vie sans doute plus profonde et plus révélatrice que la vie diurne. La poésie nous incite plus à la contemplation du monde qu’à son analyse, et à le vivre plus qu’à le connaître. Georges Perros a mélangé poésie et éthique en “poéthique”. Le lecteur est aussi amené à vivre cet état poétique. “La poésie doit être faite par tous et pour tous” (Lautréamont)

Nouvelle-Calédonie en 1853 ; l’Algérie est acquise en 1857 ; Sénégal est conquis en 1854. Au même temps que ces expéditions militaires ont lieu, la production d’œuvres littéraire commence à augmenter rapidement, racontant des histoires situées en dehors de la France et de l’Europe comme Un Voyage en Orient de Gérard de Nerval et le Roman de la Momie de Théophile Gautier. Dans le champ artistique, les peintres voyagent physique ou mentalement pour trouver l’inspiration et peindre de lieus éloignés

ouvrage L’érotisme : Son essence est la substitution d’une continuité merveilleuse entre deux êtres à leur discontinuité persistante. […] Car il y a, pour les amants, plus de chance de ne pouvoir longuement se rencontrer que de jouir d’une contemplation éperdue de la continuité intime qui les unit.[5] L’essence, qui pour Bataille représente la passion amoureuse entre amants est, pour Hélène B., substituée par l’essence de la pornographie, mais le discours n’en demeure pas moins le même ; rejoindre

des géants de la littérature française. Entre 1827 et 1830, il s'affirme comme le chef de file du courant romantique. Son œuvre a largement renouvelé la poésie. Son recueil Les Châtiments publié en 1853 dénonce les crimes de Napoléon III, Les Contemplations est empli d'un lyrisme certain. Les Orientales est publié en 1829 et offre une série tableaux de l'Orient méditerranéen. Dans ce poème, Hugo use de ses moyens de virtuose dans un effet crescendo puis decrescendo marquant l'arrivée et le départ

[stylistique] répétition d'un mot ou d'un groupe de mots à la fin de plusieurs phrases ou de plusieurs segments de phrase. « Dans ce réduit obscur comme la nuit, le temps s’écoulait avec une lenteur désespérante et on ne savait déjà plus si c'était le jour dehors, ou la nuit. » l'épiphrase [rhétorique] pensée de portée générale ajoutée après un développement, mais inséparable de l'argumentation. « Vous avez voulu une république; si vous ne vouliez point ce qui la constitue, elle ensevelirait le peuple

en recourant à « l’inépuisable fonds de l’universelle analogie » dans Réflexions sur quelques uns de mes contemporains 1869 Hugo très spécifiquement entend donner la parole à un monde où tout communique avec tout. Cf. V. Hugo Les contemplations Pleurs dans la nuit. Et Baudelaire lui-même se fait le « déchiffreur » de l’ »universelle analogie ». Pour lui tout correspond à tout dans la « forêt de symboles » et la poésie devient expérience de la rencontre des signes sacrés

[stylistique] répétition d'un mot ou d'un groupe de mots à la fin de plusieurs phrases ou de plusieurs segments de phrase. « Dans ce réduit obscur comme la nuit, le temps s’écoulait avec une lenteur désespérante et on ne savait déjà plus si c'était le jour dehors, ou la nuit. » l'épiphrase [rhétorique] pensée de portée générale ajoutée après un développement, mais inséparable de l'argumentation. « Vous avez voulu une république; si vous ne vouliez point ce qui la constitue, elle ensevelirait le peuple

|fin de plusieurs phrases ou de |désespérante et on ne savait déjà plus si | | | |plusieurs segments de phrase; |c'était le jour dehors, ou la nuit. » | | | |synonyme d'épiphore | | | |l'épiphrase

exprimer « le fonctionnement réel de la pensée », « en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de tte préoccupation esthétique ou morale. » Le dedans et le dehors Pas de contradiction entre une poésie vouée à l’exploration du sujet et une poésie orientée vers la saisie du réel Le texte poétique est le lieu où se conjoignent le dedans indiscible de l’auteur et le dehors muet du monde : complicité de la chose et de l’imaginaire. A. Vaillant. « Le poète voit dans la même mesure

continu de la conscience. Notre moi de ce fait présente deux aspects : un moi superficiel qui est composé par l’extériorité, et y retrouve la multiplicité, moi tourné vers les autre, moi de conventions et d’habitudes. Mais la vie véritable n’est pas au dehors, elle est au dedans dans le moi profond, le moi fondamental qui est le sujet authentique de la durée. Au niveau du moi réel, le changement existe l’état pur, il n’est pas une abstraction commode. Par conséquent, puisque la durée n’admet pas