La Commercialité De La Vie Civile

y a des choses qu’on ne peut pas contraindre. Si le débiteur ne fourni pas un service personnel, on ne pourra pas l’y contraindre. (ex : un médecin à soigner). Le mot de dette est synonyme d’engagement, je m’engage. Art 2284, et art 2285 du Code civil. Règle impérative à laquelle nous ne pouvons pas déroger. Le patrimoine est donc l’ensemble des biens saisissables puisque seuls eux peuvent être appréhendés par le créancier. Or, il existe des biens insaisissables. Il est donc erroné de dire que

droit particulier qui répond à des besoins particuliers. Ces besoins sont ceux du monde des affaires (rapidité, efficacité, discrétion). Il s’agit d’un droit en évolution, qui se distingue du droit civil mais qui tient tout ce même des liens étroits avec ce droit parce que le droit commercial et le droit civil s’influencent mutuellement. Il ne faut oublier aussi l’influence des sciences économiques dans la compréhension du droit commercial (délit d’initié : faire des opérations en bourse grâce à des

Droit des affaires 2 Titre 1 : L’activité économique. On distingue les actes commerces des actes civils. Chapitre 1 : L'activité commerciale. Section 1: les actes de commerce. I- Classification des actes de commerce. Ce sont les articles L110-1 et L110-2 du code de commerce qui dressent une liste des actes de commerce. C'est la pratique qui les distingue de 3 sortes. A) Actes de commerce par nature. Un certains nombres sont considérés comme actes de commerce lorsqu'ils sont accomplis

1 Notion de droit des affaires Définition : Droit des affaires : ensemble de règles juridiques applicables aux acteurs, aux activités et aux structures du monde des affaires. Droit des affaires et droit civil Notion De Droit Des Affaires 1. Droit des affaires et droit civil 2. Droit des affaires et droit commercial Le droit des affaires est une branche du droit privé en ce qu'il règle principalement les rapports entre les personnes privées (commerçants, associés, concurrents, sociétés

existe-il un droit spécifique pour le commerce ? Le droit civil étant le droit commun, il a vocation à s’appliquer aux relations entre commerçants. Si besoin après application de ce premier, on applique le droit commercial. Ex : Cas de la vente, application du droit civil (texte général : capacité, consentement, objet, cause) puis le code de commerce va rajouter d’autres dispositions. La place la plus importante appartient au droit civil puis le droit commercial est plus pointu et spécifique (prévu

réalisation d’une convention. Le droit des affaires c’est la règlementation des différentes composantes de la vie économique, ses cadres juridiques, ses agents, les B et S quoi en sont l’objet, les activités économiques, production, distribution, consommation. • Il s’agit d’un vaste sujet.   B. Situations voisines à ne pas confondre  • Droit des affaires - droit civil Le droit civil a été conçu de manière formaliste et conservateur. Il est attaché à la conservation des biens plutôt qu’à

une sorte de clause sous-entendue. L’usage peut s’appliquer dans le silence des parties. Ce n’est le cas quand les parties l’écartent expressément. L’usage de fait a un usage supplétif de volonté, usage défini pas l’article 1160 du Code Civil. En matière commerciale, le prix s’entend hors taxe. Cet usage ne s’applique pas quand le contrat est conclu par des commerçants (Com – 9 janvier 2001). L’usage ne peut lier que des commerçant de même spécialité. Il ne s’applique pas aux

protégés : Les majeurs en curatelle doit être conseillé ou assisté dans les actes de la vie civile. Normalement, ce majeur ne peut plus exercer de profession commerciale. S’il n’a plus la possibilité d’exercer seul tous les actes de la vie civile, il doit en être de même, a fortiori, pour les actes nécessaires à une activité commerciale. Par exception, le juge peut, en application de l’article 471 du Code civil, étendre la capacité du majeur protégé et lui permettre de demeurer, voire de devenir commerçant

4 étages ; Toutefois les prohibitions qui fixent ce texte n’édictent qu’une simple incompatibilité, qui ne remet nullement en cause la validité des actes de commerce entrepris en violation de leurs prescriptions et qui vont donc conserver leur commercialité. Donc se référant à l’article 3 alinéa 1 de l’AUDCG qui dit : « L’acte de commerce par nature est celui par lequel une personne s’entremet dans la circulation des biens qu’elle produit ou achète ou par lequel elle fournit des prestations de service

 I) Les définitions du droit commercial : Le droit commercial est l'ensemble des règles spécifiques qui s'opposent au droit civil. Il va exister des obligations commerciales et des obligations civiles dont le régime est différent. Quel est le critère de spécificité du droit commercial ? A) Une conception étroite du droit commercial : Cette conception est apparue au XVIIème siècle et existe encore aujourd'hui. Deux approches de cette conception existent : - une première approche est