La Complexification De La Repartition Des Competences

objectifs au moyen de la satisfaction du client, mais il ne s’agit pas pour elle de s’adapter à toutes les demandes. Certaines ne sont pas solvables ou constituent des particularismes non rentables, d’autres ne coïncident pas avec les ressources et compétences de l’entreprise ou avec ses priorités, certains produits sont concevables mais techniquement non réalisables. De nombreuses contraintes (techniques, financières, culturelles, sociales, légales…) limitent donc, de fait, une conception naïve du marketing

rajouter la crise des idéologies politiques des années 80. Le 20ème siècle est le tombeau des grandes idéologies. Exemple : le communisme, fascisme, libéralisme. On a un désenchantement. Les leaders politiques ont été amenés à mettre en avant leurs compétences techniques que leur appartenance partisanes au niveau local principalement. Au niveau local les arguments pour entrainer l’adhésion sont rarement l’idéologie. Débat où l’on met en avant la gestion plus que l’adhésion partisane. Absence d’étiquette

politique américain mais il nʼest pas rigidifié comme celui de lʼAllemagne. Il y a eu une tendance à un accroissement des compétences de lʼUnion voir même audelà du texte original. Aux EU, le niveau fédéral jouit dʼune compétence dʼattribution : ces compétences sont énumérées limitativement et exhaustivement à lʼarticle 1 section 8 de la C. Cette liste est composée de compétences classiques qui sont celles dʼun E fédéral principalement concernant les droits de douane, la défense commune, le droit de

rénovation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 5. Tout bouge puisque tout se tient : un système, neuf chantiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 6. Des structures héritées aux compétences émergentes : entrées plurielles et complémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

interdépendants qui découlent de la façon dont l’activité est gérée et doivent alors être intégrés aux processus de gestion. • L’environnement de contrôle : les individus (leurs qualités individuelles, et surtout leur intégrité, leur éthique, leur compétence) et l’environnement dans lequel ils opèrent sont l’essence même de toute organisation. Ils en constituent le socle et le moteur ; • L’évaluation des risques : l’entreprise doit être consciente des risques et les maîtriser. Elle doit

sa transformation. L’analyse systémique conserve l’idée selon laquelle la société serait le produit des interactions entre des individus cherchant la satisfaction de leurs besoins personnels. Mais ici la notion politique désigne le processus de répartition des ressources et des avantages entre ces derniers. Processus qui se matérialisent dans des décisions faisant autorité. Dans ces conditions, la politique désigne l’ensemble d’activités visant à influencer ces décisions. Ces activités se présentent

constitution, discours très important en ce qu’il présente l’interprétation du père de la constitution à l’époque. Le conseil d’Etat examine le projet, et a surtout tenté d’améliorer la rédaction juridique de la constitution, notamment la répartition des compétences législatives entre Parlement et gouvernement. L’avis du conseil d’Etat est grosso modo : « oué c’est pas mal mais peut mieux faire, surtout niveau rédaction. » Le 3 septembre, le projet est adopté par le conseil des ministres, et le 4

qu’entretiennent le droit et la politique. Il y a une sorte d’influence dans les deux sens, la politique c’est l’expression et l’action du pouvoir certain qui considère que la politique est subordonnée au droit ( par exemple c’est le droit qui détermine les compétences de l’états cf le droit constitutionnel), on peut apposer a cette vision qu’en pratique le pouvoir dispose d’une grande liberté d’action. D’autres personnes considèrent au contraire que le droit est un instrument de la politique parmi tant d’autres

modification de la matière. Cette matière a évolué vers une vision plus large que celle du droit commercial d'autrefois. De même la notion de commerce n'est plus l'apanage des commerçants. Le droit qui s’applique aux seuls commerçants se limite à la compétence du tribunal de commerce et à certaines règles qui dérogent en matière de contribution commerciale. La transmission d'une entreprise répond à des règles communes tant patrimoniales, comptables, fiscales, sociales, sociétaires, qu'il s'agisse d'une

est rompu, définitivement, puisque la monnaie n’est plus seulement une référence extérieure, un instrument de mesure, mais la contrepartie de l’échange. Au terme de ce premier processus de complexification, elle aurait ainsi conquis ses trois rôles primordiaux. Ce n’est pas tout. Parallèlement à sa complexification, la monnaie s’est dématérialisée au fil du temps. Des monnaies marchandises initiales, on est passé aux monnaies métalliques, émises uniquement par le prince seul susceptible d’attester