La Condition Ouvrière 1848 1914

ne peuvent participer aux élections. La moitié des citoyens sont des citoyens actifs (4,3 millions). Le solde des richesses est toute fois plus élevé pour les Etats généraux. Le vote est indirect (à 2 degrés). Pour être candidats il y avait des conditions de revenu plus élevé que les électeurs. L’élection de la nouvelle assemblée a lieu le 29 mai et le 5 septembre 1791. Monarchie limitée En face du roi et de ses ministres (pouvoir exécutif), l’assemblée de 745 membres est l’Assemblée nationale

Les premiers néo-classiques s'organisent autour de trois écoles : - l'école de Vienne. Les principaux représentant sont : Carl Menger (1840-1921), E. von Böhm-Bawerk (1851-1914) et F. von Wieser (1851-1926). - l'école marginaliste anglaise. Les mathématiques abstraites vont être à la base de l'économie. Les représentants de cette école sont : Stanley Jevons (1835-1882), F. Y. Edgeworth (1845-1926) et Alfred Marshall (1842-1924) professeur à l'université de Cambridge. Le successeur de Marshall

considérés comme capable de raisonner par eux même, on va instaurer un suffrage à deux niveaux. On va faire élire par les citoyens les grands électeurs, qui eux éliront les députés. Pour pouvoir être un grand électeur, les révolutionnaires créent une condition, celle de payer 50 livres par an, et d’être propriétaires. Cette question de l’accès à l’électorat va être un point de clivage très important sous la révolution avec d’une part les modérés (bourgeois, les Girondins) pensent qu’il faut se méfier

l’arrivée de notre économie actuelle. Nous pouvons suivre chapitre par chapitre son évolution et les difficultés qu’elle a rencontré. Les étapes les plus importantes sont : la révolution industrielle (1750-1850), le triomphe du capitalisme (1850-1914), l’entre deux guerre (1919-1939), les Trentes Glorieuses et enfin nous étudierons la crise contemporaine en perspective. LA REVOLUTION INDUSTRIELLE La révolution industrielle reflète l’évolution des mœurs, ainsi que la maîtrise de l’environnement

Ch1 : Etau juridique. Entre 1965-1975, une décennie, la condition juridique des femmes a considérablement changé. Se sont définitivement cumulés les mutations des droits civils, celles des droits à l’enseignement et au travail, qui ont balayé des incapacités organisées au tout début du XIXème siècle, entre 1804 et 1810, six petites années. La nouvelle société née des grands bouleversements révolutionnaires s’était alors structurée dans l’exclusion des femmes et tout spécialement celle des épouses

opposition aux modèles assurantiels : les cotisations* étant forfaitaires, voire proportionnelles, aux revenus et non établies en fonction du risque propre à l’assuré. Les premières mutuelles se développent avec la révolution industrielle, vers 1820. En 1848, 2 000 sociétés regroupent en France 250 000 sociétaires* qui, avec leur famille, représentent 1,6 million de personnes. En raison de la loi Le Chapelier (1791) qui interdit toute « coalition », le monde du travail n’a pas le droit de s’organiser :

ascension dès la fin du XVIIIème siècle. L’Allemagne n’existe pas encore en tant que telle, elle n’est qu’un conglomérat de petits états et certains recherchent une Allemagne unifiée avec un système libéral et démocratique. Avec la Révolution allemande de 1848, on pense avoir atteint cet objectif, mais c’est finalement un échec. C’est à partir de cet échec que le nationalisme allemand perd ses idéaux libéraux et démocratiques pour se transformer en un nationalisme impérialiste et réactionnaire avec deux

Le deuxième sexe (1949) : «  Les femmes d’aujourd’hui sont en train de détrôner le mythe de la féminité ; elles commencent à affirmer concrètement leur indépendance ; mais ce n’est pas sans peine qu’elles réussissent à vivre intégralement leur condition d’être humain. Elevé par des femmes au sein d’un monde féminin, leur destinée normale est le mariage qui les subordonne encore pratiquement à l’homme ; le prestige viril est encore loin d’être effacé : il repose encore sur des solides bases économiques

ouvrier, Tome I : 1830-1871 (1948) Table des matières Préface de Lucien Febvre Première partie : Chapitre I: Éveil La misère et l’espérance I a) Une vision quotidienne de la misère b) La condition ouvrière dans toute la France La durée du travail. L'insécurité de l'existence ouvrière : les salaires. Le coût de la vie, l'alimentation et la race. Le logement et les ateliers. II III IV Chapitre II : a) Une classe nouvelle La réaction contre la révolution industrielle I

I) B) -Pauvreté nouvelle malgré l’existence d’un travail. -Eventails salaires largement élevés. -Enquêtes multiples montrent que échelle des conditions multiples, ouvriers qualifiés capables de maitriser les techniques de leur métier ainsi que les machines qui demandent un savoir faire ouvriers très recherchés et très bien payés proches des classes moyennes. On les appelle les « Sublimes », un petit patron parisien Poulot (1870) a décrit ce type d’ouvriers auquel il a à faire, types d ‘ouvriers