La Conscience Chez Bergson

Commentaire de texte : Bergson : Le respect d’autrui peut être vu comme l’un des fondements de nos sociétés modernes, le respect est un sentiment non affectif mais moral qui pour la dignité, tout être humain se doit de respecter l’autre car respecter c’est reconnaître en autrui l’humanité. En effet ne pas respecter serait réduire le sujet au statut d’objet, cependant l’Homme, contrairement aux choses, possède un statut de personne qui n’a pas de

siècle, Bergson fait un constat bien étrange : même si les hommes ont la faculté d'agir, fruit de leur conscience, il ne semble qu'extraire de chaque problème, les uniques informations qui le mèneront à la résolution, l'éloignant ainsi de la richesse du réel. Les hommes sont-ils capable d'accéder par leur conscience et leur sens à la réalité ? Sont-ils même conscient d'échapper à une grande partie de ce qu'il contemple ? Enfin quels sont les enjeux de cette ignorance ? Pour ce faire Bergson procède

Henri Bergson (1919) L’énergie spirituelle ESSAIS ET CONFÉRENCES Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée

texte suivant : Bergson, Essai sur les données immédiates de la conscience. Les mots parviennent-ils à représenter les choses avec fidélité ? S'ils sont, par leur fonction de permettre la communication, faits pour donner un sens aux objets, aux sentiments ou aux émotions, parviennent-ils cependant à en exprimer la complexité et la mutabilité ? Peuvent-ils s'adapter aux aléas des sensations ? C'est justement ce problème du rapport du langage à la variabilité du réel qu'aborde Bergson dans ce texte

- 1982 … Les caractères que nous gardons ou par lesquels nous définissons le plan d'immanence ou plan de matière. C'est la même chose. On a vu les raisons pour lesquelles moi ça m'arrangeait de parler de plan d'immanence. C'est la même chose, Bergson lui parle d'un plan de la matière. Alors toujours cette année dans mon besoin d'avoir des schémas [Gilles Deleuze se lève et fait un schéma au tableau] alors mon plan d'immanence : le voilà. On peut, ou on doit, au point où nous en sommes,

pour y parvenir. Pourtant, selon certains philosophes, dont Bergson, il en existe bien d'autres, et en particulier l'art : l'art de la littérature ou encore l'art de la peinture. Ce texte traite de l'art et de sa finalité et nous allons ainsi nous demander quelle est la finalité de l'art. Dans ce texte, Bergson défend la thèse que "l'art sert à nous montrer des choses qui ne frappaient pas explicitement nos sens et notre conscience". Dans un premier temps, nous verrons que l'art nous permet

Chapitre III, Le comique de caractère Quel est l’objet de l'art ? Ce long développement sur l’art est nécessaire, selon Bergson, pour comprendre la place de la comédie (« aux confins de l’art et de la vie ») par rapport aux autres arts. Si la réalité venait frapper directement nos sens et notre conscience, si nous pouvions entrer en communication immédiate avec les choses et avec nous-mêmes, je crois bien que l'art serait inutileL’art a donc comme première fonction de révéler ce que nous ne savons

bonjour Oui il y a trois parties,(la matière,la conscience et et le résultat de la fusion des deux premiers)La matière ne bouge que par les effets de la nature(érosion,volcanisme etc...)La conscience existe mais n'est pas visible,seule elle n'a pas d'action créatrice sinon sur notre comportement,ensuite si on les réuni les deux  alors l'achimie opère,après multiples tentatives au cours des siècles nous avons grâce des pensées constructives maitrisées avons créés

L’expérience de la conscience de soi est-elle une expérience de la liberté ? Il faut exercer sorte de maîtrise de soi qui consiste à ne plus se laisser aller à ses impulsions. Satisfaction, contentement. En faisant une expérience du remord je fais aussi l’expérience du fait que j’aurai pu agir. Expérience du libre arbitre. Descartes : grd théoricien du libre arbitre. « je pense dc je suis » signifie que l’homme est une pensée : je ne suis pas un corps ms une pensée. Je suis une substance

l’on ne pourra jamais dire ? Faut-il donc qu’un écrivain renonce à dire ses moments heureux de peur de les déflorer ? PROPOSITION DE PLAN I. Le langage est comme un voile qui s’interpose entre notre conscience et nous : « la toile habilement tissée de notre moi conventionnel » (Bergson, 113) Saint-Augustin , Confessions : « Qu’est-ce que le temps, si personne ne me le demande, je le sais. Mais si on me le demande et que je veuille l’expliquer, je ne le sais plus. » 1. Parce que les mots