La Conscience Chez Bergson

...................................................................... 483 > Étude du livre I du Contrat social de Rousseau .................................................................. 505 > Étude de la conférence de Bergson « La Conscience et la Vie » (1911) dans L’Énergie spirituelle ............................................................................................................................................ 531 Sommaire général-PH00 475 © Cned –

des positions sont défendues et défendables. I - L’Art Comme Dévoilement (Bergson) Le philosophe Henri Bergson, dans son livre Le rire développe une théorie de l’art comme dévoilement. Cette théorie extrêmement riche permet d’aborder de nombreuses notions du programme, au-delà de l’art : le langage, la perception, la vérité, la vie, la conscience, la philosophie, la morale et la religion. La thèse de Bergson est que l'homme a posé un voile sur toutes choses, c'est le voile de l'utilité

Les prisonniers se complaisent dans une caverne qu’il pense comme le vrai monde, et ne veulent accorder la possibilité d’une autre vérité que la leur. Le fanatisme s’installe, c'est-à-dire l’adhésion excessive de l’esprit à une idée, sans prendre conscience que celle-ci peut-être remise en question. A travers cette allégorie, on peut se demander si le monde dans lequel nous vivons n’est pas juste illusion, et que tout ce que nous croyons vrai est en réalité faux. L’apparence a une dimension volontaire

LA CONSCIENCE EST T'ELLE UN SIGNE DISTINCTIF ENTRE L'HUMANITE ET L'ANIMALITE Dans l'histoire de l'humanité, l'animal et l'homme ont toujours été considérés comme deux êtres distincts, et dont le rapprochement semblait impossible, notamment sur un point fondamental : la pensée. La pensée qui par définition est la structure de l'être humain, sa construction , son évolution, son imagination. Les différence entre l'homme et l'animal ne se limitent pas cependant à la pensée qui , expression typiquement

portera d’abord sur le rôle de l’artiste. Est-il un illusionniste qui nous éloigne du réel ou est-il au contraire un visionnaire qui nous rapproche du vrai ?   L’artiste est un faussaire, la thèse platonicienne (Manuel Hatier : texte 5) : Il y a chez Platon un divorce entre l'artiste et le philosophe, l'art et la vérité. L'artiste est celui qui copie le monde sensible. Or, dans la philosophie platonicienne, le monde sensible n'est qu'un pâle reflet du monde intelligible (cf. Timé) et donc une dégradation

clivages les plus épidermiques autour de la gaudriole. Pis, nous rions aussi, laissant un instant la lucidité au placard, faisant fi de notre belle conscience morale. Nous nous laissons porter joyeusement par ce mouvement dans lequel le proche se réjouit sur le dos du lointain. Et nous aimons ça. Le plaisir de rire est-il foncièrement malsain ? Bergson l’avait bien affirmé : « (Le rire) a pour fonction d’intimider en humiliant. Il n’y réussirait pas si la nature n’avait laissé à cet effet, dans les

parce qu’il y a une conscience qu’elle existe. La réalité suppose une conscience pour la découvrir. La Réalité ce n’est pas l’homme qui l’a créée mais elle est là et l’homme l’a contemple seulement pour qu’elle existe. Chaque fois que l’on parle de la réalité on parle de la relation entre l’homme et le monde (Sujet et Objet). 1° L’expérience c’est la sensibilité des sens (les 5 sens). 2° Le langage également permet de prendre conscience de la réalité, parler c’est prendre conscience. 3° La Raison (sciences)

l’existence afin de parvenir à la certitude de l’existence de ma pensée. Le cogito en est la 1ère connaissance “je pense, donc je suis”, sans la pensée je ne pourrai douter. Descartes définit et écarte l’âme et le corps, matière et esprit sont chez le philosophe bien distinct. Bien qu’il soit dans la nature de la substance, du corps de penser, Corps = étendue Âme = pensée. La volonté est pour Descartes un pouvoir d’affirmation ou de négation de l’esprit. Pour le philosophe, la conduite

humaine, considérée dans sa finitude. Pour-soi : adjectif : se dit de la manière d'exister de l'être conscient, se représentant lui-même : chez Sartre, se dit de la manière d'exister de l'être conscient ne coïncidant pas avec lui-même. Nom : 1) par opposition à l'être en soi, caractère de l'être qui a conscience de son existence ; 2) existentialisme : chez Sartre, tout particulièrement, manière d'être de l'existant humain, secrétant du néant et ne pouvant coïncider avec lui-même. Temporalité :

personnage : un être de papier ? », p.166-172). 2 le caractère (psychologie, « humeur dominante », dans une conception classique du personnage) ; - un langage, une parlure (cf. Arlequin dans le théâtre de Marivaux, ou les personnages du peuple chez Zola). - Parler de la dissolution du personnage implique dès lors de voir comment ces différents aspects sont soumis, dans un certain nombre d’œuvres de la modernité, à un processus de désagrégation. 2/ Seconde idée que l’on peut retenir à partir