La Conscience Morale Découle De L éducation

instance, Freud nous dit que le Surmoi se développe à partir du Moi. « Le Moi peut donc se cliver » (p82). Ce Surmoi serait une instance morale et judiciaire « … qu’une préparation au jugement et au châtiment… (p84) « … nous devinons ainsi une autre fonction de cette instance doit être ce que nous appelons notre conscience ». Le Surmoi représente le code moral de la personne. Une partie du Moi est en train de se construire avec des interdits, va se détacher et former le Surmoi. Le Surmoi a sa fonction

avez-vous choisie ? Audrey et Anne : Nous avons opté pour la définition d’un dictionnaire de pédagogie, qui désigne l’autonomie comme « la capacité de régler par soi-même sa conduite selon des lois. La conquête de l’autonomie serait donc la prise de conscience des lois et l’intégration de ces lois dans un advenir personnel, dialectique entre contrainte et liberté. »[2] A partir de cette définition, nous avons donc essayé de voir à quels moments de sa vie d’élève l’enfant réussit à acquérir cette autonomie

 « d’enfants maltraités » et « d’enfant en danger » : L’enfant à risque de maltraitance : Ce sont des enfants subissant des conditions de vie susceptibles de mettre en danger leur santé, leur sécurité, leur moralité, leur entretien ou leur éducation, mais n’étant pas pour autant maltraités. En 2004, le nombre d’enfant à risque s’élevait à 76 000 selon l’ODAS ( Observatoire Décentralisé de l’Action Sociale ), soit une augmentation de 16% en 2 ans. L’enfant maltraité : Les enfants

dernières valeurs seules font l'objet de sanctions légales, les transgresser est donc un acte de délinquance. 2. La remise en cause des valeurs Pour qu'une société puisse maintenir durablement ses normes, il faut que ses valeurs s'accordent avec la conscience et les croyances des individus qui la composent, il est nécessaire aussi que les lois et leur application soient approuvés. Max Weber montre ainsi que les comportements humains sont rationnels, l'absence d'adhésion à la norme sociale remet en cause

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . ........ 59 Platon ou « le courage de la vérité »..............62 Kant ou le « prétendu droit de mentir par humanité »................................................73 Nietzsche ou la vérité « au sens extra-moral » .................................................81 Sartre ou « la responsabilité totale »..............88 Extrait de la publication Toute vérité est-elle bonne à dire ? Extrait de la publication La vérité est un idéal ambivalent…

personnage. Don Juan est en effet un libertin, au sens qu’avait ce mot au XVIIème siècle: il revendique sa liberté de conscience, son indépendance vis-à-vis des traditions, de la morale, et de la religion. Son libertinage de mœurs, qui l’amène à mener une vie de débauché (le libertinage tel qu’on le retrouve dans la littérature du XVIIIème siècle et tel qu’on le comprend souvent maintenant), découle en quelque sorte de cette philosophie de vie. Il est donc avant tout un libertin de pensée, qui refuse les dogmes

mais qui s’en rapprochent. Pour ceux qui n’acceptent pas cette idée, le principal problème est la définition d’un seuil entre le normal et le pathologique, et ce seuil dépend beaucoup de la définition que l’on va donner du pathologique et il en a découlé de nombreuses classifications et descriptions quant à ce que peut être un trouble de la personnalité ou ce que peut être une personnalité pathologique. E. Définition selon l’OMS L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a proposé une définition

beau: ce qui procure un plaisir de la sensibilité, une délectation sensible. Cette signification esthétique du therme beau ne doit pas nous faire oublier que le terme de beau a pendant longtemps servi à définir ce qui est admirable d'un points de vue moral: une belle action, une belle conduite. II- L'ART ET LE BEAU: Nous avons vu que la finalité de l'art était le beau. Dans ce chapitre il nous fait donc étudier le beau et le définir. Pour ce faire on va se référer à la philosophie ou à l'esthétique

hiérarchie… o Entre les membres : communauté de finalité, désir de coopérer, communication - Théories des orga : sociologie, économie, psychologie, science de la décision - Types d’orga : o Non marchandes • Publiques : justice, défense, santé, éducation…) : besoin reconnu par la collectivité, non lucrative • Associations : déclarées en préfecture, agréées par un ministère, reconnues d’utilité publique, intermédiaires o Entreprises • Génération de profit, création de valeur (pour le client et

refoulés  Son contenu n'est pas accessible à la conscience. Préconscient : étape intermédiaire entre l'inconscient et le conscient. Siège des opérations mentales. Disponible, accessible et situé dans le registre de la pensée. Conscient : système en relation avec l’intérieur et l’extérieur. Accessible à la pensée, à l’évocation et au ressenti. 2ème topique : ça = pulsion  ne tient pas compte de la réalité. Sur-moi = juge  instance morale qui découle de l’éducation et les interdits parentaux (origine