La Conscience Morale Dépend Elle De L éducation

pas", nullement à propos du beau, qui ne dépend d'aucun concept determiné la satisfaction qu'il donne étant « libre de tout intérêt » selon Kant. C'est ce caractère désintéressé du plaisir esthétique qui fonde sa prétention à l'universalité. « Car qui a conscience que la satisfaction produite par un objet est exempte d'intérêt ne peut faire autrement qu'estimer que cet objet doit contenir un motif de satisfaction pour tous (…) sans que cette prétention dépende d'une universalité fondée objectivement

|absolu |Se dit d’une chose qui ne dépend de rien d’autre que d’elle-même ; Qui est sans limites, ni restrictions. S’oppose | | |à relatif. | | |Qui possède en soi sa propre raison d’être, indépendamment de toutes conditions. | | |En ce sens

convention comme production imaginaire. Il y a bien là une anthropologie (Spinoza). • Genèse La gloire et l'orgueil ne sont que le résultat des passions primitives (la reproduction de l'espèce n'étant qu'épisodique et sans valeur morale). Pour opérer le passage à l'état civil, l'instinct de conservation comme amour de soi et la pitié comme capacité d'identification plus large à l'altérité sont essentielles : elles sont la condition de la perfectibilité, liée à la raison (qui compare

Interventions et enjeux éthiques Pierre Fortin et Bruno Boulianne 1998, ISBN 2-7605-0957-5 Enjeux de l'éthique professionnelle Tome II • L'expérience québécoise Sous la direction de Georges A. Legault 1997, ISBN 2-7605-0959-1 Les défis éthiques en éducation Sous la direction de Marie-Paule Desaulniers, France Jutras, Pierre Lebuis et Georges A. Legault 1997, ISBN 2-7605-0921-4 Enjeux de l'éthique professionnelle Tome I • Codes et comités d'éthique Sous la direction de Johane Patenaude Georges A. Legault

A) Puis-je découvrir qui je suis par le moyen de ma conscience ? Notions traitées : ~ en priorité : conscience, inconscient, liberté, interprétation ; ~ de manière secondaire : autrui, morale, perception, désir, vérité… 1) La conscience de soi est au fondement de la connaissance sur soi. a) La conscience perceptive comme moyen d’explorer son intériorité. Chaque homme développe au contact avec la réalité la faculté de se représenter non seulement ce qui l’entoure (cette table, cet homme…)

dépasse l’animalité. Il semblerait par ailleurs que l’homme est le seul être vivant à pouvoir donner un sens à sa vie, autrement dit c’est le seul à pouvoir transformer sa vie biologique en vécu, en existence. Il est par exemple le seul à prendre conscience de sa mort et ce depuis longtemps : Neandertal rendait déjà un culte aux morts. Au-delà de la survie qu’est-ce que l’homme cherche en plus qui peut lui conférer une dignité ? Le problème revient alors à se demander : - Quelle est la finalité de

le mot sémitique d’homme, Adam ou fils d’Adam ( béni Adam), reprend l’idée d’une âme à rendre meilleure par la connaissance . La culture est alors formation de l’esprit, éducation intellectuelle, billdung en all. Du coup, on peut distinguer, d’une part la culture personnelle de tel homme qui développe ses qualités intellectuelles et son goût, sans forcément être un savant. D’autre part, la culture

milieu du XVIIIème siècle par des scientifiques qu'ils soient anthropologues, sociologues ou encore psychologues2. Au fil du temps, la culture a successivement désigné3 : - Un tout complexe qui comprend le savoir, la croyance, l'art, le droit, la morale, la coutume et toutes les autres aptitudes acquises par un homme en tant que membre d'une société, (Tylor, 1871) - Le concept clé de l'anthropologie culturelle. Elle comprend des techniques, des objets fabriqués, des procédés de fabrication, des

Le bonheur est-il inaccessible pour l'homme ? Le bonheur est une notion fondamentale liant plusieurs qualités essentielles telles la vertu, la morale et la liberté. C'est aussi tout ce à quoi tend l'homme. Il a besoin d'être en continuel mouvement et d'accéder à des désirs alors que le bonheur n'est accessible qu'à long terme, en travaillant sur son moi et son surmoi. Un paradoxe réside alors entre l'idée d'immobilité et de durabilité et celle du mouvement. Ainsi, la recherche du bonheur influence

tant que personne (1949) 8°-La mère qui nourrit (1949) 9°-Pourquoi les bébés pleurent-ils ? (1944) 10°-Le monde à petites doses (1949) 11°-Le sens moral inné du bébé (1949) 12°-Le sevrage (1949) 13°-Ce qu’une mère sait et ce qu’elle apprend (1950) 14°-Les instincts et les difficultés normales (1950) 2EME