La Conscience Morale

La conscience est-elle culturel ou naturel ? La conscience humaine, est la faculté a l'être humain de pouvoir penser. Avoir une conscience c'est être consient de sois, que l'on existe. Se rendre compte des autres, donc des choses qui l'entoure plus globalement du monde dans lequel nous vivons. La nature signifie la naissance, ce qui existe en dehors du monde humanisé, son opposé est donc la culture. L'homme est une créature de la nature, un être vivant. Alors ne pouvons nous pas parler

méritant de dominer tous les autres (Aristote). Alain s'inscrit dans une perspective dualiste héritée de Descartes. Pour lui, la conscience est cette force qui nous permet de nous opposer aux impulsions du corps, et c'est d'ailleurs dans la mesure où il possède ce pouvoir indépendant du corps que l'homme peut être dit habité par une âme, un esprit. Ainsi, la conscience n'est pas seulement la capacité de nous relier à nous-mêmes et aux choses, comme le veut la définition traditionnelle; car nous n'appréhendons

Prendre conscience de soi est-ce devenir étranger à soi ? Marie BELLANCA, Lycée Jacob Holtzer, mars 2012 La conscience est un élément fondamental de l’appareil psychique de l’homme, au sens où elle permet à l’être humain de se penser, de se connaître et d’appréhender les faits ou les événements qui l’entourent. Mais la prise de conscience de soi peut conduire le sujet à se voir autrement, soit dans la différence qu’il constate entre ce qu’il fut et ce qu’il devient, soit dans les nouvelles projections

LA CONNAISSANCE DOIT-ELLE EVITER LES PREJUGES ? Oui car connaissance = conscience (donc elle peut éviter les préjugés) mais pas dans tous les cas car trop de conscience = assurance du dogmatisme (douter de rien) => préjugés Etymologiquement, le terme « préjugé » se décompose d’abord par le préfixe pré- définissant une chose comme étant préalablement établie, immédiate, comme un fait couru d’avance, puis par –jugé, qui se traduit en grec par « krinein » que l’on retrouve dans la langue

est source d’angoisse chez l’homme. Par conséquent nous regrettons continuellement notre passé et appréhendons le futur. Ainsi il nous oblige à faire face à notre finitude et rend notre existence absurde, vide de sens. Le désespoir ou état de la conscience qui juge une situation désespérée, sans issue, soit parce que tout est perdu parce que l'avenir est fermé, un désespoir donc tragique s’empare ainsi de nous. Cela s’oppose avec le préfixe dé à espoir, le désespoir c’est pour ainsi dire la perte

enfant = règle morale. Ce ne sont pas des contraintes étatiques, on ne peut pas être puni pour cela. En revanche, si on joue au foot, il y a des règles. Si un joueur cause un dommage à un autre joueur à la suite d’une faute alors il peut y avoir une assignation en justice. Section 1 : La règle de droit et les autres règles non juridiques. 1) Les critères de distinction entre les règles de droit et les règles non juridique. A) La source des règles. La règle morale et la règle religieuse

Le plaisir peut-il être considéré comme un principe de morale ? Le sujet soulève la question principale du principe de morale. Cela signifie une référence, une ligne directrice que les individus adoptent tout au long de leur vie au nom d’un bien, opposé à un mal, qu’ils se fixent. Par exemple se fixer « l’égalité » comme principe de morale consiste à agir chaque jour dans ce but afin d’atteindre un certain bien qui constitue pour nous un équilibre. Pour le sujet proposé, il s’agit donc, en d’autres

rattacher le devoir à la conscience : morale / psychologique. L’animal ne peut pas être un être de devoir. Le devoir repose sur un sentiment naturel. Qu’est ce qui m’empêche de faire du mal à autrui ? Pourquoi je ne fais pas de mal à tout être sensible ? Rousseau dit que c’est la pitié qui empêche cela, donc si je souffre quand un autre être souffre, je ne le fais pas souffrir pour que je ne ressente pas de la souffrance moi-même. Texte (2) La pitié à l’origine de notre sens moral Etat de nature

INTRO "La conscience morale n'est pas quelque chose que l'on soit susceptible d'acquérir, et il n'y a pas de devoir ordonnant de se procurer cette conscience; mais tout homme, en tant qu'être moral, possède en lui, originairement, une telle conscience." Cette citation d’Emmanuel Kant, extraite des Fondements de la métaphysique des mœurs nous invite à penser qu’imposer des limites, juger de ce qui est bien ou mal sont des processus que chacun détient depuis toujours, et donc depuis la naissance

b). La "conscience animale" est-elle comparable à celle de l'homme ? * L'éthologie remet en question l'opposition traditionnelle entre la conscience humaine et la vie instinctive de l'animal. * L'observation du comportement animal met en lumière une forme de subjectivité. * Certains animaux sont considérés comme d'authentiques sujets. * L'intelligence animale est différente de celle de l'homme et irréductible à celle d'une machine. * L'éthologie ne prétend pas établir des