La Conscience Peut Elle Errer

Correction du premier sujet de dissertation : « Faut-il admettre toutes les opinions ? » « Chacun son opinion ! » a-t-on coutume d'entendre au terme d'une discussion ou les interlocuteurs n'arrivent pas à tomber d'accord. Puisqu'on ne peut pas s'accorder sur tout, que chacun a son propre point de vue, il semble normal de devoir accepter par principe toutes les opinions. Cependant certaines opinions ne manquent pas de heurter notre sensibilité ou notre raison, par leur violence et sont insupportables

partir de cette suite d’aphorismes sur le thème principal de la nuit René Char nous invite à penser les notions de conscient et d’inconscient, de pensée diurne et de pensée nocturne tout en nous interrogeant sur la question centrale du séminaire : peut - on penser poétiquement ? Nous allons tenter de cerner les caractéristiques de cette nuit qui est personnifiée tout au long du poème. Une nuit dispensatrice, une nuit inspiratrice Même si la nuit apparaît au vers liminaire comme malmenée

traité le mot « fantastique » comme genre littéraire, mais il ne distingue pas la tendance nouvelle qui vient de naître avec le XIXème siècle des oeuvres passées. Il agrandit le genre qui existait depuis toujours et lui donne le nouveau nom. On ne peut pas dire que Nodier crée la nouvelle conception du genre littéraire. Du fantastique en littérature contribue surtout à faire reconnaître la valeur de la littérature générale de l'imagination. A u XXème siècle, on a trois textes importants pour la

tendres"(sensation visuelle) dont on nous dit qu'elles crèent une palpitation (tactile) et des bruissements (auditive) (l.15 et16). Encore ces rapprochements sont-ils avancés avec précaution : "eût-on dit" ; l'emploi du subjonctif souligne le caractère peut-être illusoire de cette hallucination sensorielle. Cela ne va pas sans évoquer la théorie baudelairienne des "correspondances" en laquelle "les parfums, les couleurs et les sons se répondent". On est ici au terme d'une progression commencée par les

tourment… Un fil de fibre, bien trop fragile Un seul faux pas, l’abysse attire Elle avance telle une âme d’argile Prête à se fendre sans revenir… * Comme une envie de partir Vers un meilleur avenir Comme une envie de s’enfuir Plus rien ne peut m’ retenir Mon corps brûle de douleur J’aim’rais trouver le bonheur Mais quand va venir mon heure ? Laissez moi partir ailleurs.. Mais pourquoi autant de peine Dans cette vie plus humaine Une vie pleine de rengaine Je ne veux plus de migraine…

La position originelle traite donc de citoyens et de politique, ce qui n’empêche pas qu’en tant qu’hommes, « il refusent ce type de détachement par rapport aux inclinaisons qui les constituent et que requiert l’autonomie kantienne » (p.132). On peut donc considérer les constituants sans pour autant les rendre substituables. Or c’est justement cette substituabilité qui est à l’origine de la justification utilitariste du sacrifice. Rawls résout la question du sacrifice grâce aux ‘justes

masque mon amour ; tu n'es pas pur, ta vie n'est que des secondes qui te bouffent à l'intérieur quand à ton espoir, ça fait bien des années qu'il noircit au fond de tes entrailles. Moi, je n'aimais pas sa chambre. Je me sentais malade à l'intérieur. Peut-être qu'en fait j'était constamment malade et que la couleur pure clarifiait mon état d'esprit. Malade de lui, malade d'aimer, accro à un humain qu'on confondrait avec une divinité, accro à une peau si mate et à ses cheveux si foncés, à sa bouche dessinée

l’antique Grèce, son âme descendait au royaume des morts ; elle arrivait en un lieu marécageux, l’Achéron, au milieu duquel circulait un fleuve, le Styx ; elle devrait traverser marécages et fleuve pour accéder aux champs de repos éternel et ne pas errer sans fin dans un monde intermédiaire). Le nom de viatique apparaît donc comme une provision de route qui aide et soutient pour les besoins du voyage, de l’existence. C’est donc le moyen de parvenir. Nous nous attèlerons à examiner ses éléments

Littérature, Camille Mogisse 1°) Pourquoi peut-on qualifier la pièce de ''farce tragique''? Il peut paraître surprenant de qualifier Fin de partie comme une farce puisque les personnages sonyt en attente perpétuelle de la mort et qu'ils ne se fréquentent que dans l'unique but de survivre. Pourtant Samuel Beckett, crée une distanciation ironique qui permet d'allier le comique et le tragique car comme le dit Nell, l'un des personnages, ''Rien n'est plus drôle que le malheur''. En premier temps

temps semble obliger le lecteur à réagir aux événements qui se déroulent sous ses yeux ; le lecteur n’est donc plus un spectateur passif mais  il devient ainsi le témoin actif des scènes auxquelles il assiste. Dans ce recueil de J.M.G Le Clézio on peut aussi trouver du conditionnel pour évoquer les rêves d’une vie meilleure (O voleurs… p232) , (la grande vie… p161). On trouve aussi l’imparfait pour évoquer des tranches de vie des personnages avant le temps d’énonciation (le jeu d’Anne, la grande