La Conscience Victor Hugo

brutale. Encrier contre canon. L’encrier brisera les canons » écrivait Victor Hugo à sa fille Adèle le 26 février 1859, lui présentant les Châtiments1. Selon vous, toute œuvre littéraire est-elle, doit-elle être un « encrier » contre un « canon » ? Vous répondrez à cette question dans un développement composé, prenant appui sur les textes du corpus, sur vos connaissances et sur les œuvres que vous avez lues. A/ selon Victor Hugo, la littérature doit être un « encrier » contre un « canon », elle doit

Logiquement, le lecteur sera entraîné dans cette rêverie, en oubliant sa réalité quotidienne. L’auteur enjolive la réalité. Plusieurs thèmes sont abordés : l’évasion vers d’autres mondes en voyageant, vers d’autres amours, vers une meilleure condition. Victor Hugo, dans « Rêverie », « seul [il] rêve à la fenêtre [de] quelque ville mauresque inouïe ». De même, Baudelaire voit se dérouler « des rivages heureux », « une île paresseuse », « de charmants climats », « un port »… dans « Parfum Exotique ». Il définit

 « Pulsions et imagination » dans Les Contemplations de Victor Hugo « Drive and imagination » in Les Contemplations of Victor Hugo. Auteur : FELLAHI Salma Université Mohammed V Faculté des Lettres et des Sciences Humaines, Rabat – Agdal, Maroc. Ce travail met en exergue l’étroite relation qui existe entre la création littéraire, celle de Victor Hugo, et la théorie psychanalytique. Dans Les Contemplations, comme dans chaque œuvre lyrique, l'écriture est un lieu de mémoire

nuit et sur plusieurs jours.Unité d’action : seule admise par Victor Hugo mais pas respectée par Musset,dans Lorenzaccio, on en a trois : la Marquise de Cibo qui veut convaincre le Ducdu bien fondé de la République, la révolte qui formente des Strozzi et le projetd’assassinat de Lorenzaccio.b.refus de la bienséanceInspiré du drame Shakespearien, présence de sang sur scène, d’assassinats, desuicides comme dans Ruy Blas, Lucrèce Borgia (V. Hugo) Lorenzaccio (A. deMusset).c.refus du moralismeLa fin ne correspond

réfléchir. Elle pousse les lecteurs vers une prise de conscience, elle joue un rôle essentiel dans les débats d'idées, et ouvre l'esprit des lecteurs. Comme en témoigne le texte de Victor Hugo « Le dernier jour d'un condamné », Victor Hugo met tout en œuvre pour susciter une réaction chez le lecteur. Bien que sa thèse ne soit pas clairement exprimée, elle est facilement expliquée grâce aux différents arguments, qui condamnent la peine de mort. Victor Hugo a écrit ce texte pour faire évoluer l'homme et abolir

l’époque classique (1595 ), là où il nous donne une leçon de tolérance, à la suite d’une rencontre avec un enfant différent. Un monstre d’époque classique nous est présenté dans un second texte, « l’homme qui rit, portrait de Gwynplaine » de Victor Hugo texte dans lequel il dénonce la cruauté des hommes face à Gwynplaine enfant à qui on à taillé un sourire perpétuel. Finalement un monstre moderne nous est présenté par Robert Merle dans la mort est mon métier, interrogatoire de Rudolph Lang extrait

la seconde moitié de la vie de l’auteur , et surtout son grand œuvre , les Misérable . 1843, marque un grand tournant dans la vie de victor hugo car sa fille ainé, Léopoldine se noie sans la seine. La douleur de l’écrivain est atroce , il mettra du temps pour pouvoir l’exprimer dans ces poèmes et entre son dernier recueil intitulé «  les rayons «  et le suivant « les ombres », s’écoulent 16ans. C’est dans ce dernier qu’il confit dans des lyriques de son chagrin. Comme il écrit peu après la mort

contemplation du bien que pourrait-être le meilleur de la vie. Par contre, pour Baudelaire, le tragique mène plutôt à l’exploration du mal où se trouve la vie humaine. Les romantiques sont caractérisés par le plus grand écrivain du dix-neuvième siècle, Victor Hugo. Hugo, à tout temps, prend le mal qu’il y a dans la vie, que se soit la politique, la famille ou autre, et le rend bon. Dans Le manteau impérial , il fait un commentaire au sujet de l’état de la vie politique en France. Au temps qu’il écrive, Napoléon

raison est le plus grand cadeau que l’on ait reçu, et il est le plus sous-utilisé. » [David Baird] 19. « Promesse et engagement sont comme les racines qui relient l’arbre à la terre. » [Hervé Desbois] 20. « La rêverie est la vapeur de la pensée. » [Victor Hugo] 21. « La joie est dans tout; il faut savoir l’extraire. » [Georges Bernanos] 22. « Dans tout ce que la nature opère, elle ne fait rien brusquement. » [Lamarck] 23. « Taisez-vous et écoutez le silence. » [Hervé Desbois] 24. « Bonne est l’action

Le roman[modifier | modifier le code]Genèse[modifier | modifier le code]Victor Hugo achève la dernière préface du Dernier Jour d'un condamné en 1832. Quand il découvre dans la Gazette des tribunaux du 19 mars 1832, le compte rendu du procès d'un certain Claude Gueux condamné à mort pour meurtre, il y découvre comme un écho de son plaidoyer contre la peine de mort et décide alors d'en faire un roman. Il retranscrit donc la vie de Claude Gueux dès son entrée dans la prison jusqu'à son exécution en