La Consommation Ne Dépend T Elle Que Du Revenu

Consommation et groupes sociaux La crise économique mondiale qui touche la France depuis bientôt deux ans maintenant à de graves répercussions sur le pouvoir d’achat des français qui témoignent leur mécontentement ; pourtant tous n’en sont pas autant victimes, notamment les ménages les plus riches qui peuvent encore profiter du bouclier fiscal en vigueur. La consommation, désignée comme la valeur des biens et services acquis pour la satisfaction directe des besoins individuels, est en lien

Presse magazine économique mensuel * capital  311 000 ex/Mois * l’expansion 138 000 ex/Mois * l'entreprise 76 000 ex/Mois * alternative éco 105 000 ex/Mois Le budget de l’Etat : Cahuzac (chargé du budget de l’Etat) dépend du ministre d’économie et des finances (Pierre Moscovici) Avant le budget, il y a des lois de programmations des finances publiques. Entre Janvier et Juin : préparation du budget pour l’année suivante. C’est une étape administrative, en effet

CONSOMMATION ET EPARGNE Patrick VILLIEU (professeur de sciences économiques à Tours), La Découverte, repères (n° 215), 1997 C = consommation, S = épargne, I = investissement INTRODUCTION La formation de la C et de l’S oppose les partisans d’une approche par la demande (keynésiens) à ceux d’une approche par l’offre (classiques et néo-classiques). La baisse de la consommation depuis 1990 appelle à un réexamen de ses déterminants. Politique économique : Faut-il tenter de relancer la C ou inciter

TD 8 – la consommation A- définition de la consommation Consommer consiste, pour un ménage, à dépenser don argent pour acheter des biens. Destinée à satisfaire la plupart des besoins, la consommation représente avec la production et la répartition, l’une des principales opérations économiques. Mais la consommation correspond aussi à un phénomène social. La consommation est une opération économique consistant dans l’utilisation immédiate de bien ou de services qui seront détruits dans

biens ou même des deux, c’est-à-dire, dans le graphique, en se déplaçant vers le Nord-Est. On peut voir cela dans le graphique 1 : Partant du point A, et tenant constante la quantité consommée du bien x, un passage à B (une augmentation de la consommation de y) procure un niveau d’utilité plus élevé (une courbe d’indifférence plus éloignée de l’origine). Atteindre un niveau d’utilité plus élevé en consommant davantage est synonyme d’une utilité marginale positive : chaque unité supplémentaire procure

Conséquence : il faut qu’il y est un mécanisme de récompense sinon elle va être sous produite. 2) Les biens publics ou collectifs Définition : Ne pas confondre bien commun (il y a rivalité) et bien public (on les définis par 2 propriétés : dont la consommation est indivisible ; il y a non rivalité). Conséquence : le financement privé va être impossible car l’homoéconomicus adopte la Stratégie du cavalier libre appeler aussi la stratégie du passager clandestin. 3) Les justifications microéconomiques

est un modèle ancien, son élaboration a commencé dès le 19è siècle. Il est dominant jusque dans les années 30. Après c’est le modèle keynésien qui a prit l’ascendant. MARSHALL et PIGOU sont notamment 2 principaux auteurs classiques. Le modèle est revenu en force à la fin des années 50 avec les monétaristes (FRIEDMAN). Dans les années 70, on voit apparaître les nouveaux classiques (BARRO, SARGENT, LUCAS, WALLACE), ils y ont ajouté un certain nombre de raffinement. Le modèle classique, défendu aujourd’hui

Rémunérations = W + B + Impôt et Taxes La valeur ajoutée, calculé comme étant la différence entre production et consommation intermédiaire et partagée entre : - Les Wriés qui ont fournis le L nécessaire (= sous forme de W) - Les actionnaires qui on fournis du K - L’État qui prélève les impôts pour financer les dépenses La valeur ajoutée est aussi répartie entre consommation Finale – Investissement – Exportation. La somme des VA constitue le PIB. 2. Le PIB Définition : c’est l’agrégat éco

économique. La consommation quant à elle, est, avec l’épargne, une variable économique clef. Aussi, si l’on considère que l’une est, économiquement, le contraire de l’autre, l’arbitrage entre les deux devient délicat. Une question se pose alors ; celle du niveau d’épargne qui permettrait, au niveau macroéconomique, de réaliser un optimum. Les économistes ont eu recours à des fonctions économiques pour analyser plus précisément les comportements en matière d’épargne et de consommation. L'investissement

i. Du comportement des acheteurs et des vendeurs : hypothèse sur le but poursuivi, sur le titre de rationalité, sur la sensibilité de l’offre et de la demande par rapport aux variations de prix. (notion d’élasticité…) ii. Du revenu des acheteurs et des possibilités de production des offreurs. iii. De la structure du marché : la manière dont le marché fonctionne et définit les quantités échangées et le prix des marchés du nombre d’acheteur et de vendeur présent sur