La Consommation Ne Dépend T Elle Que Du Revenu

approches théoriques 4 IV. Keynésiens et néoclassiques 5 Chapitre 1.2 : Revenus, inégalités, prélèvements obligatoires, redistribution 7 I. Revenus et distribution des revenus 7 II. Principes de redistribution 9 III. Les principes de la fiscalité 9 IV. Le système fiscal français 10 Chapitre 1.3 : L’arbitrage entre la consommation et l’épargne 14 I. Introduction 14 II. L’analyse keynésienne de la consommation 16 III. Les reformulations keynésiennes 17 IV. L’offensive néo-classique

d’opportunité et résulte d’un arbitrage. Le coût d’opportunité est l’utilité maximale que l’agent pourrait obtenir en affectant le revenu qu’il a décidé d’affecter à une consommation donnée à d’autres usages. Autrement dit, le coût d’opportunité est la valeur de la meilleure décision non réalisée par l’agent suite à sa décision d’affecter ce revenu à une consommation donnée. Au point de choix optimal, la valeur de la meilleure décision non réalisée est inférieure ou égale à l’utilité que l’agent

d’encaisse on parle de demande de monnaie: les individus vont chercher à détenir une partie du revenu en encaisse. Livret A: M2 Encaisse: détenir sur des comptes en banque de la monnaie qui ne soit ni placer ni consommer. Motif de qui explique la demande de monnaie: -transaction: on a besoin de liquide pour des achats présents ou futurs -précaution: on demande de l’argent car on sent une baisse de revenu -spéculation: on va accepter d’avoir des encaisses liquides pour profiter de bonnes affaires

(Annonce du plan) Pour répondre à notre problématique, nous verrons dans une première partie que le marché engendre des profits qui entretiennent la croissance, puis nous analyserons ensuite que le marché et la croissance économique accroissentles revenus et le bien-être des individus. Pl an détai ll é : I Le marché engendre des profits pour générer de l a croissance A Les entreprises sur les marchés font à court terme un surplus- L¶objectif des entreprises est de faire un maximum de

production requiert du temps. Le temps est un facteur de production primaire. * Les ressources productives sont les matières premières. La quantité de production dépend donc de l’abondance de ces matières. * Pour passer des ressources au produit fini, la technologie intervient. La qualité et la quantité de production dépend de l’efficacité de ces technologies. 1) Typologie des biens et services Nomenclature des biens existant en fonction du type d’appropriation : * Privés : susceptible

2010 Thème 1: Ménages et consommation Question 1 : Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? Problématique : En quoi les revenus et les prix sont-ils des déterminants pertinents pour expliquer les comportements du consommateur? Objectifs : A l’issue de ce travail, vous devez être capables de : Définir les notions de consommation, revenu disponible, pouvoir d'achat, épargne. Différencier, en donnant des exemples, les types de revenu ( du travail, du patrimoine

François Kesne, économie agricole. On ne savait pas calculer la production globale, on a commencé au faire ds les 50’. ==> PIB a. PIB, valeur ajouté et revenu Le PIB en valeur (par exemple en euros), en valeur de biens et de services produits dans l’économie durant une période donnée. Le PIB, somme des valeurs ajoutées. La somme des revenus distribués dans l’économie. b. PIB nominal et pib réel La PIB Français était de 1 950 milliards euros en 2008, en 1963 il était de 65 milliards d’euros.

globale est : Z (Y-T, i, G) = C(Y-T, i) + I(Y, i) + G • C(Y-T, i) : la consommation augmente avec le revenu disponible (Y-T : revenu – impôts) et diminue avec le taux d’intérêt i. I(Y, i) : l’investissement dépend non seulement du taux d’intérêt i mais également du revenu (ou production) Y. A court terme, il faut considérer Y comme le volume des ventes courantes et futures que chaque entreprise prévoit. Par conséquent, Y est un revenu anticipé. L’investissement I diminue avec i et augmente avec Y. G :

Z (Y-T, i, G) = C(Y-T, i) + I(Y, i) + G • C(Y-T, i) : la consommation augmente avec le revenu disponible (Y-T : revenu – impôts) et diminue avec le taux d’intérêt i. • I(Y, i) : l’investissement dépend non seulement du taux d’intérêt i mais également du revenu (ou production) Y. A court terme, il faut considérer Y comme le volume des ventes courantes et futures que chaque entreprise prévoit. Par conséquent, Y est un revenu anticipé. L’investissement I diminue avec i et augmente avec

globale est :Z (Y-T, i, G) = C(Y-T, i) + I(Y, i) + GC(Y-T, i) : la consommation augmente avec le revenu disponible (Y-T : revenu – impôts) et diminue avec le taux d’intérêt i. I(Y, i) : l’investissement dépend non seulement du taux d’intérêt i mais également du revenu (ou production) Y. A court terme, il faut considérer Y comme le volume des ventes courantes et futures que chaque entreprise prévoit. Par conséquent, Y est un revenu anticipé. L’investissement I diminue avec i et augmente avec Y.G :