La Construction Du Temple Maconnique

pensée claire et concise, l’utilisation des « sciences » m’aidera dans mon chemin maçonnique, mon chemin vers la lumière vers ma lumière. J’ai effectué ce voyage avec une règle et un levier, la règle représente la droiture, la morale, le respect et le levier symbolisant l’outil qui en s’appuyant sur les arts libéraux va me permettre de sortir de mon quotidien, de m’extirper de mes certitudes, de construire mon temple intérieur. Il est le voyage du "milieu" ( troisième au milieu de cinq), le levier

QUE SAIS-JE ? Histoire de la franc-maçonnerie française ROGER DACHEZ Directeur de la revue d'études maçonniques Renaissance traditionnelle Président de l'institut maçonnique de France Cinquième  édition mise à jour 14e mille   Introduction « Pour le public un Franc-Maçon Sera toujours un vrai problême, Qu’il ne sauroit résoudre à fond, Qu’en devenant maçon lui-même. » [1] Société de pensée, ordre initiatique, association philosophique, communauté fraternelle ou simple réseau politique, la franc-maçonnerie

actuelles sont déjà présentées dans les constitutions d’Anderson de 1723, tel que chant du maître et celui de l’apprenti-entré. Le chant fut pratiqué pour accompagner le rituel. Les chants pour voie seule formaient une large part de la production maçonnique. Ces pièces étaient souvent l’œuvre de compositeurs qui étaient aussi éditeurs, ce qui a permis la diffusion dans les loges. Petit à petit les chants furent accompagnés de musique instrumentale. La musique instrumentale jouait aussi un rôle primordial

la Franc-Maçonnerie dans tout cela me direz-vous ? Force est de constater que nombre de philosophes des « Lumières » étaient Francs-Maçons : Condorcet, Voltaire (initié peu avant sa mort), Montesquieu. Mais leurs idées, portent-elles les idéaux maçonniques dont nous nous réclamons encore aujourd’hui ? Je pose, après ce bref rappel historique, cette question qui me semble être le fond de la problématique posée ce soir. Nous avons vu rapidement les idées véhiculées par ce mouvement philosophique. Que

forcément dans le temple maçonnique, il préside à tous les travaux, au milieu des autres symboles plus ou moins présents. Dans d’autres édifices, religieux ou pas, souvent au-dessus du fronton, partie terminale de l’édifice, exprimant l’achèvement de la construction et l’aboutissement de l’effort, aucune autre pierre ne peut être ajoutée ...................PYRAMIDES L’œil L’œil qui l’orne semble à la fois vaillant, surveillant et bienveillant : il est grand ouvert face à la porte du temple, il regarde

m’exprimer ! Mais après m’être souvenu de mon entrée dans cette loge, de la manière d’on vous m’avez accueilli comme un nouveau maillon parmi vous avec une grande fraternité, d’avoir observer ce symbole sur notre tapis de loge et sur les murs de notre temple, la corde à nœud s’est imposée comme une évidence. Tous d’abord, qu’est ce qu’une corde ? Comment est elle fabriquée et pourquoi peut elle être si solide alors que les éléments qui l’a constitue sont si fragiles ? Le petit Larousse nous indique

peuvent sortir de la ruche, il en sera ainsi jusqu’à leur mort. 6 grades d’ouvrières + la reine, donnent le nombre 7, une valeur maçonnique particulière puisqu’il est rattaché au grade de Maître franc-maçon. La ruche est un atelier, le refuge, dans lequel elles bâtissent, elles sont : la force, la beauté, la sagesse, le courage, le travail sans relâche évoquant la construction d’un savoir sacré, assimilé au miel : trésor doux et sucré qui a la couleur dorée du soleil. Ce lieu de la transformation magique

cette étude, avec pour objectif de trouver la quintessence de la nécessité du travail, par les épisodes suivants : * Les définitions du mot « travail » * Les différentes conceptions du travail à travers les civilisations * La conception maçonnique du travail Définitions du travail Parmi plusieurs définitions, j’ai noté avec intérêt celle de Karl Marx lorsqu’il détermine ce concept en ces termes, et je cite : « Le travail est un effort individuel ou collectif, physique ou intellectuel, conscient

tous mes frères en vos grades et qualités, Le sujet qui m’a été donné de travailler ce midi, devant vous est « Je suis une Pierre Brute ». Je dois bien avouer qu’à son énoncé je me suis dit qu’on été probablement dans le plus pur classicisme maçonnique mais en m’y penchant davantage, je peux bien vous confesser que j’ai éprouvé bien des difficultés à me saisir du sujet. La Pierre certainement, brute probablement mais je suis une Pierre Brute, comment traiter méthodologiquement une énoncé qui

naturelle mais certainement plus parfaite et surtout mieux adaptée à son environnement et apte à devenir un élément du temple, lequel est notre construction commune. La pierre brute, c’est quoi ? c’est qui ? je crois comprendre que c’est d’abord moi … et les autres. Pourquoi tailler cette pierre ? pour lui permettre de prendre sa place et de construire le temple ; d’abord le temple intérieur ensuite celui de notre loge avec mes frères. Une fois que l’on a défini le travail à faire, que les outils