La Contre Réforme Catholique

ces changements, deux prêtres imposent des idées nouvelles : Luther à l'origine du mouvement luthérien et Calvin pour le calvinisme. Martin LUTHER est un moine allemand qui critiques les indulgences, l'enrichissement et les pratiques de l'Eglise catholique. Dans les 95 thèses, il reproche à l'Eglise l'achat de la foi par les fidèles pour réduir leur temps au purgatoire et accéder plus rapidement au paradis.Il définit ainsi les dogmes du protestantisme et dresse les bases d'une nouvelle religion. Ces

pressaient dans les Églises pour avoir une place au paradis . A cet instant la le spirituel est au plus haut niveau qui existaient auparavant ,les empereurs eux de leurs côtés avait perdu tout pouvoir et nous sommes donc dans une théocraties (catholiques).Dans ce cas on voit bien que nous avons des liens économiques et pouvoirs qui les unirent . Urbain II (1042 – 1099) (né à Chatillon-sur-Marne vers 1042 - mort à Rome le 20 juillet 1099)Ce moine clunisien devint pape en 1088. Il réunit à

est né le 13 décembre 1553 a Pau et est assassiné le 14 mai 1610 à Paris. Il fut baptisé dans la religion catholique le 6 mars 554 dans la chapelle de Pau mais sa mère Jeanne d'Albret fidèle à l'esprit du calvinisme (porté par Jean Calvin c'est une doctrine théologique protestante et une approche différente de la vie chrétienne). l'instruit dans cette morale selon les préceptes de la reforme. Durant la première guerre de religion il sera mis sous la protection de Renée de France et sera éduqué par

de rage, Marie envoi ses partisans à l’assaut du trône, et parvient à faire tomber Jeanne Grey après 9 jours de couronnement… Marie Tudor prend alors possession du trône, et devient reine d’Angleterre. Elle y dispense une politique profondément catholique, et renverse les alliances originelles en servant les intérêts de l’Espagne. Durant son règne, Marie Tudor ne cesse d’entretenir des relations des plus tendues avec sa demie-soeur Élisabeth, et l’accuse rapidement d’être l’auteur d’un complot visant

qui est presque plus forte qu’avant la guerre. Les cultures peu productives vont être abandonnées. Nouvelle culture apparaissent. Diversification des cultures et productivité : le 2e paradoxe de la guerre. Révoltes paysannes : les Jacqueries : contre la misère et les impôts. Echec mais a aidé à l’émergence d’une nouvelle classe sociale : celle des petits propriétaires La reprise à la fin du XVème siècle : Les cultures :La renaissance est à la fin de la guerre de 100 ans et avec la diversification

l’Eglise catholique romaine fut fortement remise en cause dans ses croyances et ses principes par différents théologiens, tels Martin Luther et Jean Calvin. De nombreuses contestations apparurent alors, critiquant les dogmes en place, le comportement inacceptable du clergé ou encore son faste et son pouvoir politique, lui qui aurait dû être au contraire proche des plus humbles et loin des tentations du pouvoir. Toutes ces remises en cause aboutirent à une scission de l’Eglise catholique romaine et

que J-C est né par la Vierge Marie, pour dire que J-C est mort sur la croix, pour dire que J-C a été ressué au 3ème jour de sa mort, pour dire qu’il y a le Paradis, pour dire qu’il y a la Trinité ( Père, Fils et Saint-d’Esprit) et que l’ Eglise « catholique » est universelle et l’Eglise «  apostolique » appartient à l’apôtre Pierre. Le chrétien pense qu’il existe deux mondes dans l’au-delà : l’Enfer et le Paradis. Pour mériter le paradis, le chrétien doit pratiquer la charité, obéir à l’Eglise, aller

capacité d’analyse à sensibilité et imagination.  Scientisme : -> science = religion. Pourra tout expliquer. • Foi catholique dénoncée comme naïveté, obscurantisme. 2è moitié XIXème siècle : intellectuels se détachent de la religion. • Protestantisme libéral : cherche à faire synthèse foi religieuse/science. Puis judaïsme libéral qui cherche à réduire superstition et réformer les rites. • Sociétés de libre pensée (=1880) : associations locales pour enterrement civil. Devenues associations

pape tente de renforcer son pouvoir face aux grands souverains européens • Le pouvoir pontifical (de la papauté) est en concurrence avec celui des grands souverains. Ces derniers ne contestent pas le rôle de chef spirituel du pape et de l'Église catholique, chargée du dogme (ce en quoi il faut croire) et des rituels sacrés. • En revanche, ils veulent garder un rôle dans la nomination des évêques : des personnages importants dans une Europe où la religion est au centre de la vie de la population.

porté sur l’archiduc régnant de Vienne. Or l’empereur Matthias Ier n’a pas de descendance. Pour assurer la succession à son cousin Ferdinand de Habsbourg, il lui transmet la couronne de Bohême en 1617. Malheureusement, le nouveau souverain est un catholique zélé qui a été éduqué par les Jésuites et veut voir revenir son pays dans le giron de Rome. Dès 1618, des incidents survenus entre l’archevêque de Prague et les Luthériens amènent le Conseil des Défenseurs de la Foi à convoquer une diète ; le roi