La Cour Du Lion Figures De Style

« Les animaux malades de la peste »: Lecture analytique linéaire | Introduction: Découpage:différents actes d'un petit drame v. 1 à 14: Le Tableau de la peste v. 15 à 33: Le discours du lion v. 34 à 48: Le discours du renard v. 49 à la fin: Le discours de l'âne et la condamnation Remq: la plus grande partie de la fable est donc organisée autour de discours directs Problèmatique: comment la variété des discours et des registres sert la satire

vénitien au style gothique. Il servait comme résidence officielle pour les Doges qui dirigeaient la ville à l’époque. Sur chacune des façades, on n’y trouve une grande loggia. Chapiteaux sculptées des motifs différents. A l’entrée du palais, on peut voir les sculptures représentant : L’ivresse de Noé La Chute D’Adam et Eve Le Jugement de Salomon Toutes bâtis par Antonio Rizzo en1476 au XVIème siècle, sauf le jugement de Salomon qui a était réalisé en 1430. Dans la cour, à l’entrée

sont... « Une ample comédie à cent actes divers Et dont la scène est l’univers » (Le Bûcheron et Mercure, V, I) REPÈRES sur le burlesque Burlesque : vient de l’italien burlesco, « comique, plaisant ». Ce terme désigne, en France, au XVIIe, un style reposant sur le contraste des tons. Le poète fait parler des héros tragiques ou épiques comme des personnages de comédie. Dans « Les Animaux... », un sujet grave (la peste), évoqué avec une amplification épique qui rappelle les épopées et les tragédies

Les obsèques de la Lionne Mise en situation -17e siècle, sous le règne de Louis XIV, le régime est une monarchie absolue de droit divin. Jean de La Fontaine (1621-1695) écrit 2 recueils de 6 livres chacun, le seconde livre dont il est ici question, parait entre 1678 et 1695. -Les Obsèques de la Lionne viennent de ce livre, et sont inspirés d’une fable d’Abstémius, du recueil d’une centaine de fables Hécatomythion, écrits vers la fin du 14e siècle, sous la renaissance : « Le Lion irrité contre le

qualificatif proposition relative c du nom. Les paroles ( style directe indirect...). | La fable est un récit cour, en vers,a visée argumentative (l'auteur cherche a persuader). Comment le récit est construit ; comment l'auteur arrive a persuader de son opinion. Comment on étudie une fable ? I« l'art » du récit. Il s'agite de « plaire et d’instruire » (placere et docere). le récit est cour. Le choix d’animaux. * le lion : → roi et sa puissance. Ses paroles reflètent sa personnalité

ritique du pouvoir politique :$ On oppose la force (Le Lion) et la faiblesse (l'Âne) à la ruse (le Renard). Le Lion n'est critiqué à aucun moment, cependant tous les verbes d'action montrent la maniére dont il mange, représentant la brutalité : « dévorer » (vers 26), « manger » (vers 28, plus correct). Un bon roi est capable de se sacrifier pour son peuple dont le jugement est sûr et qui est souhaité par ses courtisans Renard = Courtisans, présentés comme futés ainsi que comme maître de la

d’Ephèse et Belphégor) ainsi que deux récits mythologiques (Philémon et Baucis et Les filles de Minée). - diversité des tons : alors que la morale de la fable ésopique n’avait ni prétention ni statut littéraire, LF en fait un exercice de style éblouissant. Chez lui, point de monotonie, grâce notamment à la diversité des registres : épique, dramatique, comique, burlesque, héroï-comique… 3 Renouvellement des personnages - Une présence humaine plus marquée et des animaux de plus

est ici un poème : * Emploi de l’alexandrin * Emploi de l’octosyllabe * Retour de sonorités en fin de vers par le jeu de rimes * Type de rimes diversifiées : rimes suivies, embrassées, croisées * Jeu sur les sonorités * Figures de style : oxymore en fin de poème La fable si elle appartient au classicisme relève aussi de son époque et notamment de sa culture : On relève des : * Références mythologiques * Références religieuses * Références au pouvoir en place :

1. Le lion. a. Prééminence du lion. * On peut reconnaître dans la description faite du lion la personne du roi. Comme nous l’indique l’auteur au vers 15 le lion est au centre : « le lion tint conseil » * si l’on observe la répartition de la parole, c’est à dire les passages au discours direct on voit bien que le lion domine : il est le premier à prendre la parole et 19 vers lui sont consacrés. b. Maîtrise du langage. * Par sa maîtrise du langage, on voit bien que le lion est de haut

Les obsèques de la lionne  LA SATIRE A. La satire explicite ~ Elle est contenue dans les âmes. LF emploie de l’ironie lorsqu’il dit :« messieurs les courtisans » alors qu’il les compare à des animaux, ce qui les critique. De plus, « triste/gais » est une antithèse, ainsi que « prêts à tout, à tout indifférents ». Ces deux figures de style symbolisent la critique de l’auteur : les courtisans n’ont pas de personnalité. L’antithèse entre être et "parêtre" souligne leur hypocrisie. Ce sont des pantins