La Coutume Montaigne

décisions tout seul. - les coutumes (plan social) : fragment 46. Les Suisses n’ont pas les mêmes valeurs sociales que nous. Pour les Suisses, différent de la France où la noblesse est très présente. Fragment 39 ; la France se croit un royaume très puissant… relativité des valeurs. Fragment 47 ; la vision de l’homme et les coutumes ne sont pas les même selon si on habite d’un côté ou de l’autre d’une rivière. Les lois se différencient. Relativité des coutumes et des lois selon le pays où on

verrons que parfois il n’est qu’un acteur passif et enfin nous montrerons que le plus souvent le spectateur est parti prenante de la représentation théâtrale. I) Le théâtre a amplement changé au cours du temps et varie selon les régions et les coutumes, une pièce de théâtre japonais kabuki n’a rien à voir avec une représentation d’une pièce de Molière, de même qu’une représentation d’une tragédie à l’époque gréco-romaine avec une représentation contemporaine. Dans l’antiquité elles étaient faîtes

. Il était contre le racisme et l'ethnocentrisme. Ayant vécu parmi les Indiens d'Amazonie , C.L.S analyse ici les causes du rejet des autres , phénomène constant dans l'Histoire . Sa conclusion , qui définit le" barbare " rejoint la penséé de Montaigne . 1ERE PARTIE : LE REJET DE LAUTRE . 1ere paragraphe : Constatation Dans le premier paragraphe L.S va expliquer le sens du mot Barbare et du mot Sauvage . La barbare dans l'antiquité est celui qui ne parle pas notre langue .La sauvage signifie

souci de rentabilité des productions de sucre L’aspect extérieur des esclaves qu’ils ne soient pas à plaindre, qu’ils ne soient pas considérés comme des chrétiens et qu’ils ne soient pas maltraités en fonction de jugement peu logique relevant les coutumes et les pratiques des peuples d’Asie. Le fait que les princes d’Europe n’ont pas fait de traité pour supprimer cette injustice. Ainsi, on trouve des arguments historiques, économiques, esthétiques, théologiques, ethnologiques et sociologiques. A

toutes les pratiques culturelles. C’est ainsi que l’on en arrive au dernier argument, qui n’est autre qu’une citation de Michel de Montaigne dans ses essais Des cannibales , « chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage ». Si bien que respecter les coutumes et les pratiques de chacun n’est pas qu’une chose à faire, puisqu’il faut bel et bien y être convaincu auparavant. En effet, si depuis tout petit on nous raccroche à une

apprentissage leur permettant à vivre ensemble dans un monde qui se caractérise par des différences quelles qu’elles soient. Par cette éducation, les parents transmettent un certain enseignement à leur enfant, celui de leurs croyances religieuses, les coutumes liées à leurs origines, etc. Citons pour exemple : Le Prince Felipe d’Espagne destiné à devenir un jour roi, a eu une toute autre éducation que celle de ses sœurs les infantes Cristina et Elena. Il a reçu une éducation, qui chaque jour, a pour but

et des pères » montre la cruauté du destin humain.     De plus, l’homme est prisonnier des contrariétés et cela s’apparente aux dilemmes tragique. Le divertissement au sens pascalien est beaucoup plus négatif, Pascal semble réfuter la notion de Montaigne et explique dans la partie des Pensées qui s’intitule « Misère de l’homme sans Dieu » que le divertissement est le moyen qui nous détourne de nous-même, qui nous empêche de regarder la réalité en face. Dans le fragment 168-134, il nous dit : « les

gâte tout dès l’enfance. Il stigmatise la soif de possession. L’homme abusé par ses sens et sa raison. La relativité des jugements, des coutumes. Fragment 47, qui développe la 18, et qui synthétise la 56. Au lieu d’être universelle, la loi et la justice sont instables et relatives et fluctues selon les pays, les mœurs, les coutumes. Il y a deux pensées qui le traduisent très bien : « Il demeure au-delà » Fragment 18. « Vérité au deçà des Pyrénées, erreur au-delà ». Fragment 56

L'anthropologue français Lucien Levy-Bruhl (1857-1903) a soutenu le relativisme culturel dans son célèbre ouvrage La Morale et la Science des Moeurs. Selon lui, les codes moraux ne sont que les moeurs et les coutumes d'une société érigées en système. Quatre cent ans plutôt, son compatriote, Michel de Montaigne (1533-1592), soutenait la thèse du relativisme culturel et concluait au scepticisme en matière de morale. L'ethnologue américain Ruth Benedict (1887-1948) défendit la même thèse dans son étude comparative

émaille le récit de termes empruntés à la langue des Indiens, qu’il prend soin de traduire pour ses lecteurs : « Arabotan, c’est-à-dire bois de Brésil », « Mairs et Peros, c’est-à-dire Français et Portugais »… Il mentionne aussi leurs us et coutumes : il précise par exemple le parti que ces Indiens tirent du bois (« pour rougir leurs cordons de coton, plumages et autres choses ») ; il rappelle leurs liens familiaux (ils « aim[ent] et chériss[ent] » leurs « parents » et « enfants »)… Il semble