La Création De Richesse

le choix, face à la concurrence internationale, entre des stratégies de production et de commercialisation bien différentes. Pour produire un maximum de richesses, certaines vont opter pour une production proche du marché visé, d’autres vont préférer délocaliser pour baisser les coûts de production. Quelle est la stratégie de création de richesses de zara et d’apple et comment vont-ils réagir face à la concurrence internationale ? zara est une entreprise de prêt-à-porter, elle a été fondée en 1975

et les entreprises n’investissement pas. L’investissement ne peut donc repartir que si les anticipations des entreprises sont positives. Keynes préconise donc des mesures de relance qui sont : Redonner confiance aux consommateurs. Répartir les richesses afin que les agents économiques, qui ont la propension moyenne à consommer la plus élevée (c’est-à-dire les catégories sociales les plus défavorisées), de dépenser pour mieux relancer la machine économique. Baisser les taux d’intérêts pour stimuler

mercantiliste donne lieu à des recommandations de politique publique : - Développement des industries modernes et de produits de qualité (manufactures royales de Colbert) - Incitations à l’exportation et création de barrière tarifaires pour limiter l’achat de produits étrangers. - Favoriser le commerce et les systèmes de transports de marchandises. - Soutien de l’agriculture nationale et des producteurs nationaux

demeurent importante. En effet, les pays du nords, et surtout les poles de la Triade détiennent près de 72% des richesses pour seulement 17% de la population mondiale. L'IDH y est très élevé, et par conséquent les conditions de vies sont aisé.Les pays du Sud, sont, au contraire, beaucoup moins riches. Avec près de 83% de la population mondiale, ils détiennent seulement 28% des richesses. L'IDH est faible, notamment en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud et à Haiti. Cependant, depuis quelques annés

négatives associées à la production parce qu’elles sont des coûts ou des recettes non évalués, sans contrepartie monétaire. De même, les richesses naturelles, qui sont un patrimoine, un stock, ne sont pas incluses et les prélèvements sur les ressources naturelles ou historiques (baisse de ces ressources) sont considérés comme des créations de richesses (productions marchandes d’énergies, de matières premières…), tandis que leur dégradation, du fait de la pollution notamment, n’est pas comptabilisée

susceptibles d'accroître la richesse du Prince (les questions économiques ne sont pas clairement distinguées des questions politiques). Le mercantilisme apparaît comme une alliance entre les intérêts de l'État et du capital, il représente une première émancipation par rapport au carcan moral de l'Église. La volonté de puissance économique et militaire peut se combiner avec une doctrine populationniste comme le rappelle la célèbre phrase de Jean Bodin: « Il n'est de richesse et de force que d'hommes

parc Martin Luther-King. De plus le site est traversé par un chemin de fer. B. * Sa taille par rapport à son emplacement (50 Ha au cœur du XVII°) * Il relie les quartiers, il tisse des liens entre Paris et la banlieue (Clichy ) (création de pont, passerelles, cheminements) * Il deviendra emblématique (plusieurs influences : Monceau (bourgeois) – Epinettes (populaire) ) * Programme très varié : Il y a des logements pour tous (étudiants, classe populaire, retraités, classe

un bien de consommation, ni un bien de production mais seulement, un intermédiaire ou encore un véhicule chargé de transporter la charge réelle. À l’image de la métaphore d’Adam Smith, la monnaie n’est qu’une grande roue chargée de déplacer les richesses réelles. C’est pourquoi, la monnaie ne doit pas devenir l’objet de l’échange en soi. Ce principe se retrouve chez Platon, Aristote ou encore Saint-Thomas qui voient dans l’intérêt, une altération de l’échange. A ce titre, Platon assimile l’intérêt

économistes anglais et français du 18e et 19e siècle. On date le début de ce courant à 1776 avec la parution de la « Richesse des nations » d’Adam Smith. Dans un contexte de révolution industrielle, les auteurs classiques analysent les phénomènes économiques et recherchent les lois universelles de l’économie. Leurs préoccupations sont notamment la nature de la richesse, sa création et sa répartition, la monnaie, la valeur, les prix et la croissance. Ils sont également partisans du libéralisme : l’intervention

DW ▪ 50 Le PIB remis en cause comme indicateur de richesse nationale. Avons-nous besoin de nouveaux indicateurs pertinents pour mesurer la richesse et le bien-être : le produit national net ou le bonheur intérieur brut ? Dans un papier récent Paul Krugman prix Nobel d’économie, spécialiste des questions de commerce international a publié un article dont le titre éloquent « Le Viagra et la richesse nationale » symbolise la problématique ambiguë d’un produit, le Viagra, qui donne du bonheur aux utilisateurs/consommateurs