La Culture De Masse Efface T Elle Les Différences De Pratiques Culturelles

SEANCE #1-2 – EVOLUTION DE LA SOCIETE DE CONSOMMATION Intro – naissance d’une société de consommation de masse Révolution industrielle fin 19ème Changement -> ouverture de la production de masse Début des grands magasins – Le Bon Marché « lieu de promenade », facilité d’entrée, liberté de la consommation, consommation = distraction Changement dans les transports, la distribution… 1er prix sur les étiquettes, techniques de merchandising, 1ère vente par correspondance NOVATEUR Marque devient

pagination présente ne correspond pas à celle de la revue QUELQUES REFLEXIONS SUR LA PLACE DE LA RELIGION DANS LA SOCIETE MODERNE Neal BLOUGH Des sociologues nous viennent aujourd'hui certaines des analyses les plus fascinantes de l'évolution culturelle, la part du « religieux » comprise. Fascinantes et éclairantes, mais non pas infaillibles – bien entendu. Au premier rang de ces spécialistes, Mme Danièle Hervieu-Léger s'est déjà fait un grand nom. Neal BLOUGH, professeur d'Histoire de l'Eglise

publicité. Elle conduit des recherches sur l’histoire de la publicité et sur les processus d’internationalisation de l’industrie publicitaire. Plan Introduction La publicité dans le village planétaire: le mirage de la standardisation Le poids des différences et les avantages de la diversification Entre la standardisation et la diversification : les théories des réponses flexibles Les perspectives actuelles: du global au « glocal » Conclusion Références bibliographiques INTRODUCTION Les dernières

L'avènement du tourisme de masse Auteur : Saskia Cousin Anthropologue (IUT-Tours/Institut interdisciplinaire d'anthropologie du contemporain/Laboratoire d'anthropologie des institutions et des organisations sociales), et Bertrand Réau, sociologue (Centre européen de sociologie et de science politique/Centre de sociologie européenne/université Paris-I), ont coécrit Sociologie du tourisme, La Découverte, coll. « Repères », 2009. À la fin du XVIIe siècle, Blaise Pascal écrivait que

toute ma gratitude aux personnes qui, par leurs conseils, leur expérience, m’ont apporté un grand soutien tout au long de la réalisation de ce mémoire. Je remercie particulièrement : M. Yves Dupont, pour sa grande disponibilité, son aide tant pratique que théorique et son amical soutien. Tous les participants de l’aventure « Famille Magnifique », pour m’avoir acceptée parmi eux et avoir répondu à mes questions, mais aussi à mes espérances : Viviane Jean , Bruno Lecoq, Stefano Gilardi, les

le temps plus on voit l’individu dépendant de liens étroits (familiaux, claniques, communautaires). Au XVIIIème siècle ces liens ne lui apparaissent plus que comme des moyens qui peuvent être mis au service d’une réussite personnelle. Cela ne peut effacer le fait que « L’homme est non seulement un animal social, mais il ne peut s’individualiser que dans la société. » b. La vie en société est-elle le fondement de notre humanité ? 1. L’individu seul ne peut pas subvenir à ses besoins. L’association avec

catégories d’élèves selon leurs résultats obtenus permet de faire apparaitre au moins deux groupes assez distincts qui se situent aux antipodes et qui offrent des caractères différents de l’ensemble; il y a d’une part les plus faibles avec leurs différences et d’autre part les plus forts qui réussissent aisément leurs activités scolaires et parascolaires. Différents de la vaste majorité des élèves que l’on dénomme la moyenne, ces derniers font l’objet parfois de représentations quelque peu erronées;

la mondialisation et leurs applications à l’échelle humaine. 25 Conclusion Introduction La mondialisation en tant que phénomène d’internationalisation des échanges économiques s’accompagnant d’une forme de généralisation des pratiques culturelles, sociales et politiques est extrêmement débattue et discutée par les politiciens, les économistes ainsi que les philosophes. En effet, certains points de vue développés par différents acteurs de la société sont tellement opposés que

mondialisation peut-elle constituer la seule logique pertinente d’organisation de l’espace mondial ? • La mondialisation est-elle une menace pour la diversité des civilisations ? Ne risque-t-elle pas de mettre fin aux diversités politiques et culturelles ? • Est-elle à l’origine de l’accroissement des inégalités dans le monde ? • L’échelle nationale (des Etats) est-elle dépassée ? I. Mondialisation et interdépendances L’intensité des échanges internationaux conduit à l’interdépendance

existant entre dirigeants et dirigés. L’auteur se porte contre cette négation des différences de situation (fonctions…), d’aspirations et de responsabilité. Des écarts existent, ce que confirment les entretiens réalisés avec de nombreux managers dont le problème vient précisément de cet écart entre le haut et le bas qui rend difficile la mise en place des stratégies décidées par la direction. Cette négation des différences conduit à une dilution de la figure du pouvoir. Pour l’auteur, la figure du pouvoir