La Demande De La Monnaie Chez L Ecole Classique

un Etat, est de sortir de la crise, arriver à des marches qui sont équilibrés. Un marché : Lieu de rencontre entre l’Offre et la Demande. Les économistes distinguent 3 types de marchés : * Modèle qui représente l’économie, en termes de travail. Marché de Travail, Marché de Capitaux, Marché de Biens et Services. Crise : Situation ou l’offre excède la demande ou inverse. Situation problématique car elles ne sont pas optimales. Situation OPTIMALE : Celle du Par étau. Situation ou l’on

(literacy) sous les Tokugawa, 3 Le nouveau paradigme éducatif du début du Meiji 3 L’évolution de l’enseignement de la peinture dans la seconde moitié du 19ème siècle 4 L’apprentissage du hollandais au Japon au début du 19ème siècle 5 D’une école de rangaku à une université moderne : 6 Les lettrés et la réforme éducative en Chine 7 Avis et Critiques :(Source voir ) 9 Annexe 10 Annexe 1 10 Annexe 2 11 Annexe 3 12 Introduction  Cet ouvrage

donner naissance à une école de pensée : l’école libérale. Le libéralisme dit que le marché (mécanisme des prix) est le meilleur endroit ou meilleur mécanisme qui permet d’utiliser les ressources de la plus efficace des manières et pour obtenir la satisfaction maximale des individus. Ce à condition que le mécanisme fonctionne librement. L’auteur qui insiste le plus sur cette question (milieu 18ème siècle) est François QUESNAY (1694-1774). Il est quasi le premier à créer une école libérale appelée la

noblesse est très attachée à l’église, certaine attention à la question sociale, les ouvriers sont vus comme des victimes de la bourgeoisie industrielle La bourgeoisie : les hommes sont plutôt anticléricaux, les femmes sont pratiquantes, Schéma classique : les garçons vont dans des lycées d’état payants et les filles dans des institutions religieuses Les intellectuels : d’un coté une affectation d’esprit fort, de l’autre l’influence de voltaire À l’ENS, la messe était obligatoire Persistance

conditions de l’équilibre d’ensemble - était indépendante de la réflexion sur les comportements individuels. Ceci est en quelque sorte contenu dans la pétition de principe de départ de la pensée keynésienne, puisque celle-ci repose sur l’idée que la demande effective peut ne pas correspondre aux souhaits agrégés des agents économiques : ceux-ci préfèrent évidemment le plein emploi à une conjoncture économique « flasque » et génératrice de chômage ; or cela peut néanmoins arriver ; donc c’est qu’il n’y

constituent cependant pour les Occidentaux le mouvement précurseur de la science économique moderne. Section 1 : La pensée économique préclassique. Nous allons dans un premier temps, nous intéresser aux deux théories qui ont précédé la théorie classique : la théorie mercantiliste et la physiocratie. Pensé éco préclassique => mercantiliste => mercantiliste ibérique, angalis, holl.. => physiocrate § 1.1) Les mercantilistes. Les premiers économistes paraissent avec les différents

ou monarchique. On comprend pourquoi, à l’origine, le libéralisme économique et le libéralisme politique sont étroitement associés dans l’affirmation des libertés et des droits individuels. Le marché, c’est la libre confrontation des offres et des demandes qui permet l’établissement d’un prix d’équilibre, sans intervention consciente de quiconque. Pourtant, très rapidement, le marché va être remis en cause, la “ question sociale ” au XIXe siècle apparaît à nombre de commentateurs comme la conséquence

de relativisme. Mais la façon de construire la théorie éco fait l’objet d’un très large consensus. Section 2 : Un peu d’histoire de la pensée économique Les réflexions sur l’éco sont anciennes. Les grecs réfléchissaient sur la valeur de la monnaie. Saint Thomas d’Aquin sur la légitimité du prêt à intérêt. Les précurseurs : mercantilistes et physiocrates. Le développement des Etats forts au 17s, penseurs s’intéressent aux facteurs qui favorisent la souveraineté du souverain. Penseur : Machiavel

France n’appartient pas aux seuls actionnaires ; elle appartient aussi à l’Etat, puisqu’il lui donne le droit de battre monnaie. Je veux que la Banque soit assez dans les mains de l’Etat et n’y soit pas trop ». (Napoléon 1er, 1806) Où l’on voit que la BC doit être assez éloignée de l’Etat pour que les agents aient confiance dans sa capacité à assurer la valeur de la monnaie… mais proche de celui-ci pour qu’il puisse utiliser l’instrument monétaire en cas de besoin (le droit de seigneuriage pour

croissante de moyens de paiement. L'offre de monnaie est le plus souvent la conséquence d'une offre de crédit par les banques ou d'une monétisation des titres de créance sur les ANF (ménages, entreprises), sur l'Etat ou sur l'extérieur. Déterminée par les comportements respectifs des banques, de la BC et du secteur non bancaire. Cette offre de monnaie repose sur un processus de création monétaire connue par « les crédits font les dépôts ». I. L'offre de monnaie Le pouvoir de transformation des créances