La Description Balzacienne

(Atale, René), n'étaient à ses yeux que des épisodes au sein d'un vaste ensemble , il pouvait les faire publier à part ou les incorporer à,un ouvrage plus global. Mais ils n'étaient pas constitués d'éléments spécifiquement narratifs : beaucoup de descriptions, d'élans lyriques et d'observations générales. La tentation de l'épopée : Chateaubriand définissait lui-même Atala ds la préface comme une "sorte de poème, moitié descriptif, moitié dramatique.", autrement dit, "épique". Il souhaiter donner

révolution ne peut loger que dans un appartement du 3eme étage et ne peut mettre que 45 francs dans le logement . b) Les textes de Balzac sont très descriptifs, beaucoup de détails sont donnés. (Caractéristique de la description balzacienne). On constate néanmoins que les éléments donnés sont de 2 ordres : le physique proprement dit, et ses vêtements et objets.Il est met en évidence dans cette decriptions une dechance casi- totale de Goriot. Tout d'abord, a 62 ans, il en

dans les années 1950-1960, ont tenté de redéfinir le roman en rompant avec la tradition balzacienne (l’intrigue et la description des personnages). On groupe sous l'expression "nouveau roman" des œuvres publiées en France à partir des années 1950 et qui ont eu en commun un refus du genre romanesque, notamment l'intrigue - qui garantissait la cohérence du récit - et le personnage, grâce à son nom, sa description physique et sa caractérisation psychologique et morale, une rassurante illusion d'identité

de tout ignorer de son personnage. * Le topos du nouveau : l’évocation d’un personnage découvrant, en même temps que le lecteur, le monde de l’histoire, naturalise la présentation de l’univers fictif. * Le topos du dévoilement : la description de l’aube, du lever du jour, permet de dévoiler progressivement et « naturellement » l’espace de l’intrigue. * Le narrateur : statut et fonction . Les quatre statuts possibles * Le narrateur extradiégétique-hétérodiégétique :

Roussel (1963) La conscience malade de Zeno (1954) Joël Bousquet le rêveur (1953) Samuel Beckett, ou la présence sur la scène (1953 et 1957) Un roman qui s’invente lui-même (1954) « Nouveau Roman, homme nouveau » (1961) «  Temps et description dans le récit d’aujourd’hui » (1963) «  Du réalisme à la réalité » (1955 et 1963) Synthèse : Une voie pour le roman futur : Le poids du roman passé pèse sur les romanciers contemporains du moins ceux qui suscitent l’intérêt des lecteurs

les aspects les plus mystérieux de l’individu après l’Ancien régime où le collectif était l’important ainsi que la raison. On ne peut s’isoler même si il y a une fantasmatique de la solitude, de l’isolement, de la mise en retrait. Le grand thème balzacien, si l’on n’est pas écrasé par la société il faut se révolter contre elle et la dominer soi-même, il y a les personnages écrasés et ceux qui se révoltent > la valeur romantique, ce qui envoie aux théories subversives de la fin du siècle. Rastignac

héritée du récit balzacien, de la notion d'intrigue, ou encore du principe de l'omniscience de l'auteur démiurge. De manière générale, les auteurs du Nouveau Roman se retrouvent dans une même critique du Réalisme littéraire. De fait, avec le Nouveau Roman, la littérature entre dans « l'ère du soupçon » - selon le titre d'un essai de Sarraute publié en 1956, ce qui a pour principale conséquence la remise en question de la nécessité du vraisemblable, d'où le rejet de la description et le refus de ce

remarquera aisément les particularités de la « vision balzacienne ». Qu’il s’agisse de la description de Vautrin dans La peau de chagrin, le lecteur est confronté à une présentation minutieuse et typisée. S’inspirant dans le premier cas de la personne de Vidocq, et d’images fortes dans le second comme les décapitations publiques et le mythe de Tantale, et dont les personnages sont représentatifs de toute l’humanité : caractéristique balzacienne. Pensée cette première étape de compréhension de

réalistes, en 1881. Cependant, Flaubert ne va cesser de déplorer cette annexion de son œuvre à la seule « idéologie réaliste ». Étude de mœurs et de la femme Comme l’indique son sous-titre « Mœurs de province », le roman s’inscrit dans la tradition balzacienne de l’étude sociale. Flaubert se plaît à mettre en évidence les tares de son époque : le gros bon sens et l’âpreté du paysan enrichi (père Rouault), la vanité désœuvrée de l’aristocratie terrienne (Rodolphe), la mesquinerie et la bêtise de la petite

deux extraits sont des récits, entremêlés de dialogues. Mais les points communs s’arrêtent là, car les deux narrateurs sont très différents. Certes, tous deux mettent en scène l’individu, ici jeune, pris dans les courants du monde. Le narrateur balzacien, omniscient, peint avec distance une chute toute tragique, le climax noble et terrifiant à la fois d’une longue déliquescence, depuis longtemps attendue ; en somme, il nous représente une « belle mort », mais qui ne sera pas vaine. Le narrateur flaubertien