La Différence Engendre La Haine

universels de la personne humaine et de la liberté fondamentale d’autrui. C’est le fait d’accepter le droit des autres d’exister dans leurs différences sans adopter forcément leurs opinions. C’est le respect mutuel que les hommes devraient porter sur les religions, les races, les conceptions différentes. La tolérance est susceptible d’éliminer les différences et de créer la solidarité sans qu’elle cesse pour autant de nourrir l’union et la paix. C’est la meilleure voie qui permette à l’individu

Quel contraste entre la manufacture d’épingles décrite dans la “Richesse des nations” d’Adam Smith et le carreau de la mine dans le Roman “Germinal” d’Emile Zola! Entre les deux situations, que de différences : discipline, rigueur, application et entraide dans un cas, agitation, hostilité et haine dans l’autre. Là s’arrêtent pourtant les dissemblances, en effet, ces deux images prises à 100 ans d’intervalle sont issues du même film: l’homme dans son cadre de travail. Même cause et pourtant effets

problème passe inévitablement par nouer une relation avec l’Autre. Mais si l’ennui est plus le résultat d’un vide relationnel que d’une absence d’occupation, l’agressivité provocatrice devient un moyen logique d’entrer en contact avec l’Autre. Haine et ennui s’entremêlent alors comme leur étymologie. Plus tristesse et sentiment de vide s’associent à l’ennui, plus il est nécessaire d’établir un lien avec les autres, particulièrement sous forme d’agressivité provocatrice. Le provoquer, le faire

la puissance de cette modification de notre rapport à la réalité est inversement proportionnelle à sa durée : une fois notre lecture terminée, nous sommes “ libérés de force ” et rendus à notre monde quotidien. Peut-on concevoir alors que l’art engendre une modification moins circonstancielle, moins épisodique de notre rapport à la réalité ? Ce serait reconnaître que l’art modifie la qualité et la nature même de notre rapport à la réalité. Il faut dans ce cas envisager le terme “ art ” en un sens

morale ; ce diagnostic prépare la voie à une réévaluation de ces valeurs jusqu'ici tenues pour les plus hautes. Les matières principales traitées dans ces trois études sont la nature de la morale contemporaine, la psychologie et l'histoire qui ont engendré les valeurs de cette dernière, leurs conséquences néfastes pour la santé, la signification de la douleur, et un appel à la création de nouvelles valeurs affirmant la vie[3]. Deux questions traversent l'ensemble du livre[6] : comment en est-on

crée un clivage entre les générations. Ainsi, il n’est pas permis dans notre société et surtout « mal vu » pour un adulte, d’entretenir des liens avec des adolescents. Concernant leur conception de la procréation, l’auteur met en lumière des différences de réactions aillant un fondement biologique : « l’abondance des spermatozoïdes est telle que les garçons se moquent pas mal d’une gamète qui survit » tandis que les filles se sentent beaucoup plus investies (p 272). Ce n’est qu’au moment où l’homme

la théologie chrétienne et surtout de Jésus Christ. La Morale pascalienne est amour, amour de Dieu : elle ne cesse de nous dire que domine en l’homme l’amour-propre, dévoiement de l’amour de soi. On comprend que, non sans froideur, Pascal place la haine au centre de nombreuses pensées. Retenons (sans jamais oublier son indissociable contraire, la GRANDEUR) que l’homme - sans dieu- est vain, impuissant, errant, instable et la vérité de sa nature corrompue est l’ENNUI : la modestie de la liasse IV

dont les réponses ne sont claires pour personnes. Pour certains, Dieu n’a pas conçu le mal car le mal ne serait que l’absence de bien donc le mal apparaitrait quand l’homme refuse de suivre la voie du Seigneur. De plus, si l’Homme ne pouvait pas engendrer le mal, il ne serait plus libre. Il serait soit une marionnette de Dieu soit un animal. Mais qu’est-ce que le mal ? Il est extrêmement difficile de lui donner une définition car aucune ne serait vraiment appropriée. La définition la plus simple

fois au visage mais lui rétorque qu’il ne doit pas recommencer. Mme McEachern, qui a toujours été aimable et attentif à lui, est terriblement détesté par Joe car il estime qu’elle veut le faire pleurer. Cependant, il ne semble pas avoir de réelle haine envers son père, alors qu’il le frappe. Le huitième chapitre fait état de la relation que Joe Christmas va entretenir avec la serveuse d’un restaurant particulier. En effet, Bobbie est une prostituée venue de la ville, qui travaille dans le

|Venger ou se venger |vengeur | |Meurtre |- |meurtrier | |Haine |haïr | haineux | |Jalousie |Jalouser |jaloux