La Dimension Fantastique

aurait cherché a atteindre la maîtrise de l’imitation de la voix humaine après qu’elle a mué. C’est-à-dire la maîtrise de la voix basse »). En effet, la viole est ici un substitue de l’instrument naturel qu’est la voix humaine lui donnant ainsi une dimension quasi-humaine voire même parfois surnaturelle. II- Thématiques de l’œuvre • La portée du lien établi entre viole et voix, musique et perte : une constante tentative indirecte de domination du traumatisme de la mue (« […] Cet homme s’efforce

afin d’informer et d’émouvoir les lecteurs sur la condition des ouvriers dans les bassins miniers ne pousse pas le réalisme à son maximum. Effectivement, Emile Zola, dans cet incipit, par les expressions qu’il utilise nous donne une vision fantastique de l’environnement et du but du voyage du personnage, la fosse. Tout est fait dans la description de l’environnement pour noircir la scène « d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre », « il ne voyait même pas le sol noir » et pour que ce périple

personnage et accentue notre appréhension. -Présentation de l’anomalie au lecteur  lapin en buisson qui a changé de position = situation fantastique où le lecteur ne sait pas si le personnage a des visions ou non. -champ de vision de J. dirigé vers le chien en buisson qui a lui aussi changé de position, désormais menaçante (grognant + crocs) = accentuation du fantastique. -La phrase « grognement silencieux » du chien montre que c’est le personnage qui imagine. -Début de description coupée par une phrase

STUDIA ROMANICA POSNANIENSIA UAM Vol. 27 Poznań 2001 KATARZYNA GADOMSKA Université de Silésie LE FANTASTIQUE CLINIQUE DANS LES RÉCITS DE L’ÉTRANGETÉ PSYCHIQUE DE GUY DE MAUPASSANT A b stra ct. Gadomska Katarzyna, Le fantastique clinique dans les récits de l ’étrangeté psy chique de Guy de Maupassant [Clinic fantastic literature in the short stories of Guy de Maupassant], Studia Romanica Posnaniensia, Adam Mickiewicz University Press, Poznań, vol. XXVII: 2001, pp. 11-23. ISBN 83-232-1039-X

récit : dans un "craquement terrible", un hangar s'écroule, la "pression énorme" du toit effondré brise les charpentes, une "brèche considérable" troue la chambre de la machine. Les adjectifs employés ont ici valeur de superlatifs, et donnent une dimension surhumaine à la catastrophe, décrite ici à travers le prisme grossissant qui est de rigueur dans l'épopée. L'auteur multiplie d'ailleurs les références aux forces de la nature : les "secousses" et les "affaissements souterrains" lui permettent d'évoquer

lui-même issu du grec μαγεία (mageia), « religion des mages perses », « sorcellerie ». A la base la magie est mal vu des grec ou des Romains. Pendant longtemps la magie était taboue avant de devenir à l’époque contemporaine un divertissement. Jadis la dimension du mot magie était tout à fait différent que celle que nous connaissons aujourd’hui. La puissance de ce mot à l’époque était différente. La magie était quelque chose de mal, dangereux, utiliser par des personnes malveillantes en perspective du mal

lamentation) → l.1331 à 1334, il s'agit de convaincre le lecteur, partage de l'indignation car cette métaphore se rapproche de l'histoire de Jean Valjean (chute → d'ailleurs le titre du livre dans lequel apparaît Jean Valjean "la chute"). 2) Le fantastique et le pathétique au service de la dénonciation Nous savons dès le début que le combat du naufragé est perdu d'avance, présent de vérité générale "le navire ne s'arrête pas" (l.1267) Efforts du naufragé qui sont des cris l.1270-71, juxtapositions

spirituelle et philosophique source d’inspiration, miroir des sentiments 3. Le rêve irrationnel· Le besoin d’évasion pousse les artistes à voyager · Ils s’intéresse aux contrées et aux époques lointaines · Le surnaturels et le fantastique inspirent certains auteurs 4. La poésie · Genre romantique par excellence : la poésie lyrique exprime des sensibilités différentes selon les poètes · Elle se diversifie plus tard en devenant plus philosophique et engagée

métamorphose bestiale : Les mineurs n'ont même plus de visage. Il n'y a plus que des mâchoires. Le champ lexical des animaux est bien là "mâchoire", "bête fauve" et "galopait". Il y a une incohérence entre ces derniers mots. Cela introduit une dimension fantastique renforcée par la description du paysage basée sur la monochromie du rouge, la couleur du sang. On a en effet trois allusions au sang dus au coucher du soleil qui signifie la mort d'une classe, la fin des bourgeois. Mais tout ceci est du domaine

l’étude du texte narratif S’interroger sur les mécanismes de lecture Problématique : Qu’est-ce que lire ? Comment le lecteur va-t-il construire du sens ? Perspectives d’étude : - Etude des genres (la nouvelle) et registres (épique et fantastique) - Singularité des textes : lire Lecture Langue Activités de production Textes - « Quand Angèle fut seule » de Pascal Mérigeau - « Le Dragon » de Ray Bradbury - « Le Jeu