La Dimension Fantastique

l’étude du texte narratif • S’interroger sur les mécanismes de lecture Problématique : Qu’est-ce que lire ? Comment le lecteur va-t-il construire du sens ? Perspectives d’étude : - Etude des genres (la nouvelle) et registres (épique et fantastique) - Singularité des textes : lire | Lecture | Langue | Activités de production | |Textes

littérature de l'étrange qui se développe à la fin du 18ème siècle contre l'omniprésence de la raison. Dans cette analyse, je souhaiterais montrer que Le diable amoureux, de par son énigme et sa signification problématique, coïncide avec la naissance du fantastique qui va s'opposer à l'esprit traditionnel, mais je souhaiterais également démontrer que l'oeuvre, de par l'élégance du style, le goût du badinage et le désir de plaire et de convaincre, est une synthése des genres à la mode au 18ème siècle. Le

Enfin, la dimension argumentative incontestable de ce roman féministe et qui interroge le terme même de la folie fournit un autre axe d’analyse. La problématique pourrait être : comment ce récit exploite-t-il le cadre de la Salpêtrière au XIXe siècle pour proposer une réflexion féministe contemporaine ?2Plan de la séquence I. Un roman documentaire sur la Salpêtrière au XIXe siècle ? 1. La Salpêtrière et le bal des folles 2. Charcot 3. Jane Avril 4. Le don d’Eugénie : l’irruption du fantastique ? II

décadence, Sabbat, démons ». Ces deux dizains font preuve d’un mélange des registres et d’ atmosphères. Dans le premier dizain l’atmosphère est solennelle : «ces lieux sacrés », paisible : « éloignés du monde ». Dans le deuxième dizain le registre est fantastique : « les sorciers, l’heure du sabbat, les démons ». Le registre fait preuve aussi d’une vitalité rieuse : « malicieux ébats» Dans les troisième, quatrième et cinquième dizains le poète fait sentir la force des éléments naturels. Dans la troisième

bourgeoise, de la société moderne, dégoût pour un présent qui n'a plus de passé ni encore d'avenir, à la fois plein de semblants de ruines et d'espoirs incertains. L'infini et le néant La contemplation de la nature prend dans l'âme romantique une dimension métaphysique qui la confronte à l'infini. Mais c'est aussi une vision intérieure, un résultat de la sensibilité qui est senti plutôt qu'il n'est vu, car l'infini touche d'abord l'âme plutôt que les sens et s'apparente à une conviction intime qui

écrivant à travers un style fantastique. Dans Le Colonel Chabert, Balzac écrit :"Le visage pâle, livide, et en lame de couteau, s'il est permis d'utiliser cette expression vulgaire, semblait mort" et "cette physionomie cadavéreuse". Balzac compare le colonel à un mort-vivant, ajoutant une touche excitante au récit. On trouve une instance similaire dans Pierre et Jean, dans lequel Maupassant compare deux phares a "deux cyclopes monstrueux et jumeaux". La encore, le fantastique transcende le réalisme et

démontre étape par étape un immense poème néoplatonicien, l’amour perdu de sa femme Giulia, avec un temple dédié a sa mort. Il montre les diverses étapes de l’évolution de l’homme en donnant vie a une immense scène théâtrale composée d`animaux fantastiques sculptés en pierre. La plupart du jardin était construit en 1564, les statues furent rajoutées en 1570 et le travail continua jusqu’à la mort de Orsini en janvier 1585. Pour l’aider a construire ce jardin, Orsini fait appel aux architectes de jardins

toiles, sur un tronc d'arbre qui de loin paraît marron on peut observer en s'approchant des touches de rose, d'orange, de bleu, de jaune et de vert. Ce sont probablement des effets de lumière ou de réverbération de l'eau, qui donne un coté presque fantastique à ce tronc d'arbre. Et Monet peint ce tronc d'arbre non pas de la couleur qu'il devrait être mais tel que la lumière le donne à voir. Il essaye de rendre la lumière complètement par des rehauts colorés. Il est à noter que Monet est atteint d'une

définition, celui qui vit au dépend d’une structure qui l’accueil et peut la perturber. En ce sens, le parasite transgresse l’hospitalité. Cependant, il présente une variante dans le genre fantastique comme il est le cas de Beloved. Le parasite, en effet, apparaît comme une figure énigmatique et le genre fantastique, introduit une incertitude sur ce dernier. Dans le roman de Toni Morisson, trois personnages, sont présentés en tant que parasite. Tout d’abord le bébé fantôme, puis Paul D et enfin Beloved

preuve d’une extrême animalité. L’œuvre de Zola est donc déstabilisante, dans la mesure où ses portraits reflètent une réalité crue, voire choquante pour le lecteur. Même si Zola est un grand naturaliste, ses descriptions acquièrent finalement une dimension symbolique, par ce qu’ils évoquent, car il est aussi question de sensations. L’auteur perd alors sa neutralité. En effet, l’influence du milieu sur les personnages est mise en valeur par une symbolique des paysages. Notamment, le décor de la scène