La Dispute Didascalie

commentaire). Problématique : En quoi cette scène illustre-t-elle particulièrement le titre de la pièce ? Structure du texte : Premier mouvement l. 1 à 9. La rencontre. Deuxième mouvement l. 10. L’aparté de Silvia Troisième mouvement l. 11-21. La dispute Quatrième mouvement l. 21-29. Arlequin séducteur Cinquième mouvement l. 30. Le deuxième aparté de Silvia Premier mouvement l. 1 à 9. La rencontre - C’est Arlequin, le valet de Dorante déguisé, qui s’exprime en premier, il interpelle son faux

Le Théâtre Le théâtre est fait pour être dit et représenté. Il se compose de deux ensemble distincts: le dialogue et les didascalies. La ou les premières scènes correspondent à l'exposition: il s'agit de présenter, d'exposer au public les principaux ressorts qui vont permettre à l'intrigue de se mettre en place. L'intrigue est l'ensemble des événements qui forment le nœud de la pièce. La ou les dernières scènes correspondent au dénouement: le conflit est résolu, l'obstacle supprimé et le spectateur

La dispute – MARIVAUX - (1744) INTRODUCTION - La société : Très inégalitaire et majoritairement illettrée, elle change cependant en profondeur, profitant d’une paix durable et d’une relative prospérité. Ce peuple qui bouge se heurte à des institutions très figées et sans parler, pour le public bourgeois et aristocratique de Marivaux, d’esprit prérévolutionnaire (il est beaucoup trop tôt), on peut évoquer un goût pour la nouveauté, l’utopie, la remise en cause des anciennes valeurs, l’expérimentation

Plan I Un cadre qui échappe sans cesse II Une situation des personnages instable III Le théâtre de l'absurde : miroir de notre condition Développement I Un cadre qui échappe sans cesse a) Un cadre indéfini ► La nudité du décor (didascalies) A l’extérieur → vague Arbre → symbole non identifiable → Vide, désolé (= perdu) ► Présentation contradictoires des lieux Opposition entre la désignation des lieux et qualifications « riants », « délicieux » → Ironie (?) = pas de

Perdez-vous la tête ? ", l. 43 ; " Comment ? ", l. 48, etc.). Elles reflètent l'étonnement, le besoin d'explication et finalement l'incompréhension qui s'installe entre les deux personnages. •L'agitation physique de Jean, perceptible dans les didascalies, représente concrètement sa nervosité " Jean entre dans la chambre ", " allant et venant dans la pièce, entrant dans la salle de bains, et sortant ", " l'interrompant, et allant et venant ", etc. Ici, l'emploi fréquent du participe présent marque

cet extrait, on se rend compte que Léon porte beaucoup d’intérêt au travail, tandis que Jean, lui, est plus axé sur le changement, et ses réunions communistes qu’il entretient tous les vendredis à six heures et demie. Tout d’abord, à la didascalie de la ligne 17, Léon « soupire », ce qui montre qu’il est exaspéré que Jean préfère aller à cette réunion plutôt que de travailler à l’atelier, ce qui démontre deux points de vue différents. L’exaspération de Léon est aussi montré plus loin grâce

d’origine grecque. De cette manière, il souhaite montrer qu’il connait des gens. II. Le comique A. Le comique de gestes et de situation « Long temps » prévu mais le metteur en scène rajoute des éléments comme lorsqu’il met ses lunettes. Les didascalies sont humoristiques car un « tableau blanc avec des liserés blancs » reste une œuvre blanche. La précision des « liserés » est aussi inutile que drôle. Elle permet aussi de montrer combien Marc se moque de Serge. B. Le comique de mots / du dialogue

suite à l’absence de didascalie prennent une grande liberté d’interprétation, la pièce est faite de long monologue entrecoupée de scènes dialoguer, personne ne réussit à communiquer c’est comme si la parole est une fuite qui traduit le malaise entre les personnages. II la crise personnelle et la crise familiale sont complété avec la crise du langage Louis décide de retourner à Paris car il prend de plus en plus conscience de sa mort cette décision entraîne une nouvelle dispute Qui permettra à Antoine

aucun remède — (elle sort une petite glace, revient de face) - hé oui – (elle s'inspecte les dents dans la glace) - pauvre cher Willie. 1. Pompier : de mauvais goût. QUESTIONS [6 pts] 1. Dites quels types d'indications sont donnés par les didascalies dans ces trois textes. [3 pts] 2. Montrez l’importance des objets et du décor dans ces trois scènes. Justifiez votre réponse. [3 pts] TRAVAIL D'ÉCRITURE [I4 pts] Commentaire Vous commenterez le texte de Beaumarchais. Vous montrerez qu’il

appuyant sur le texte. (1,5point) 6. a. Autour de quel mot la dispute éclate-t-elle ? b. Comment est-il mis en relief ? (0.5 point) 7. Lignes 5 à 9: a. Quel type de phrase Louise utilise-t-elle principalement ? b. Quelle intention du personnage cela traduit-il ? (1 point) 8. Lignes 15 à 27 : a. Relevez deux expressions qui traduisent les sentiments de Jean-Claude. b. Dans une réponse rédigée, nommez ces sentiments. (1,5point) Une dispute qui s’envenime (5,5 points) 9. « JEAN-CLAUDE. - Ta sœur m'a