La Doctrine De Malherbe

sans systémique, par essais-erreurs. Selon Marcel Lebrun86, l'empirisme est à la fois une attitude de l'esprit et une doctrine philosophique. L'attitude empiriste se définit par une attention accrue aux faits tels qu'ils se produisent. Les empiristes refusent l'abstraction des discours et ne veulent s'en tenir qu'à la vérité des faits observables. L'empirisme comme doctrine philosophique résulte d'une radicalisation de cette attitude de l'esprit. Les philosophes empiristes tels Bacon, Hume,

dehors d’elle-même. According to Picon, this « poetry of non-poetry » represents « the last great poetic event » in contemporary literature. He defines such poetry as the inverse of the artfor-art’s sake theory which lurks behind many post-Symbolist doctrines, postulating that this new poetry is more concerned with raw life than with itself. On more than one count Prévert qualifies as a major figure in this current of nonpoetry. His concentration on contemporary social and political topics is a marked

de l'historien, qu'elles sont des créations originales de ce siècle. Rien qui leur soit comparable n'existait chez les Anciens. Cette admirable floraison de la prose française fut précédée de la renaissance de la poésie, de la poésie lyrique avec Malherbe, de la poésie tragique avec Corneille. Mais Racine est très supérieur à Corneille : «La raison en est que Racine, dans tous ses ouvrages, depuis son “Alexandre”, est toujours élégant, toujours correct, toujours vrai ; qu'il parle au cœur ; et que

rubriques permettant de construire le commentaire font nécessairement appel à des catégories d’analyse littéraire. Celles-ci ne se confondent ni avec un simple contenu thématique, ni avec une appréciation psychologique ou morale, encore moins avec une doctrine. Car ce qui importe, c’est de montrer selon quelles procédures se décline ce contenu, se ménage cet effet, s’élabore cette esthétique ou cette construction idéologique ou philosophique. Il convient d’user avec doigté des procédures d’analyse empruntées

intention polémique, le néologisme « fatalisme » (qui serait mieux nommé « déterminisme ») s’applique chez lui à la théorie philosophique du « meilleur des mondes possibles » exposée par Leibniz (1646-1716). Mais le mot fait également référence à la doctrine de la nécessité formulée par Spinoza (1632-1677), qui rejette l’idée de la Providence et du libre arbitre. Les deux philosophes imaginent un monde tout entier (Dieu y compris) régi par une causalité universelle, à laquelle l’homme ne pas mieux

célèbre opéra-comique de Nicolas Isouard, Joconde ou les Coureurs d’aventures(1814). ***** une pantomime de Balisson de Rougemont (1781-1840), parodie de mélodrame, s’intitulait La Femme innocente, malheureuse et persécutée. ****** François de Malherbe (1555-1628), Consolation à Du Périer 54 charmante dans sa simplicité*… »60 La cinquième citation de Vautrin : « ô Richard, ô mon roi ! L’univers t’abandonne** »61 Enfin, la dernière citation de Vautrin : « Dormez, mes chères amours ! Pour

réductionnisme), un recueil d’essais rassemblés en 1969 par A. KOESTLER et J. SMYTHIES : il s’agit pourtant d’un des exposés les plus honnêtes, les plus complets et les plus nuancés des insuffisances théoriques et pratiques du réductionnisme érigé en doctrine. On observera plus loin, cf. chap. 2, p. 31, un comportement assez curieux de J. Monod vis-à-vis de cet ouvrage. Ignorait-il aussi la conclusion un peu antérieure d’A. REGNIER (1966, p. 142) : On ne saurait prétendre refuser au nom de la logique

réductionnisme), un recueil d’essais rassemblés en 1969 par A. KOESTLER et J. SMYTHIES : il s’agit pourtant d’un des exposés les plus honnêtes, les plus complets et les plus nuancés des insuffisances théoriques et pratiques du réductionnisme érigé en doctrine. On observera plus loin, cf. chap. 2, p. 31, un comportement assez curieux de J. Monod vis-à-vis de cet ouvrage. Ignorait-il aussi la conclusion un peu antérieure d’A. REGNIER (1966, p. 142) : On ne saurait prétendre refuser au nom de la logique

aiguës, épingles à cheveux, glissades rapides sur l’aile, accélérations, reprises, nage de requin  » (Les Hirondelles). Du même mouvement, il rêve de boucler une nouvelle Encyclopédie où science et poésie seraient réconciliées  ; où Montaigne, Malherbe, La Fontaine, Pascal, Stendhal, Lautréamont, Rimbaud, ne seraient plus séparés. On peut aimer à la fois Voltaire et Claudel, ce dernier vu, sans révérence, comme « une grosse tortue marine plongeant, à l’autre extrémité de l’Asie, vers sa salade

virevoltes aiguës, épingles à cheveux, glissades rapides sur l’aile, accélérations, reprises, nage de requin » (Les Hirondelles). Du même mouvement, il rêve de boucler une nouvelle Encyclopédie où science et poésie seraient réconciliées ; où Montaigne, Malherbe, La Fontaine, Pascal, Stendhal, Lautréamont, Rimbaud, ne seraient plus séparés. On peut aimer à la fois Voltaire et Claudel, ce dernier vu, sans révérence, comme « une grosse tortue marine plongeant, à l’autre extrémité de l’Asie, vers sa salade