La Double Inconstance

Dom Juan est un libre penseur, un « épouseur à toutes mains », « grand seigneur méchant homme ». (Scène 1) C’est alors qu’entre en scène Dom Juan, qui confie à son valet qu’intéressé par la seule conquête, il ne peut s’attacher à aucune femme (inconstance de l’amour) et que, tels les grands conquérants, il rêve de succès sans cesse renouvelés. Lassé de Done Elvire, il envisage désormais une nouvelle « entreprise amoureuse » ; il s’agit d’enlever une femme au cours d’une promenade en mer avec son

élèves qui se demandent souvent « ce que cela veut dire ». C’est pourquoi sa lecture est intéressante (pour préparer l’étude de Jacques le Fataliste par exemple) mais demande des éclaircissements. MARIVAUX, Le Jeu de l’amour et du hasard ; La Double Inconstance ; L’Île des esclaves. Cette dernière pièce permet de croiser avec l’argumentation et le mouvement littéraire. MOLIERE, L’Ecole des femmes ; Tartuffe ; Le Misanthrope ; Dom Juan. Cette dernière est une pièce « canonique » que les élèves apprécient

confrontation avec une nouvelle production ambigüe nécessite une ouverture vers d’autres modes d’analyse (ex : facteur d’échelle pourvoyeur de dissonance chez les Big Buildings, nouveau rapport au contexte, ou nouvelle ambigüité malgré la disparition du double projet dedans dehors dans les projets de milieu) De l’ambigüité en Architecture, Robert Venturi, 1966 Vers une Architecture, Le Corbusier, 1923 S,M,L,XL, O.M.A Rem Koolhaas et Bruce Mau, 1994 Chefs-d’œuvre, Livio Vacchini L’architecture

en chercher les clefs, et lire ces descriptions hérocisés comme des anaphores. 2° Traitement MDLF : Donne un grand rôle et les regroupe en galeries, comme l’usage en était répandu dans les Mémoires. = emprunt d’une double perspective esthétique et morale ; leur donne une fonction explicative. L’ens des portraits tient lieu d’une scène d’exposition ; présence du souverain = prudence et réserve. La cour de Valois dénote l’admiration qui se mêle à la nostalgie

l’épouse, soit elle le tue. Iphigénie (1674) Agamemnon, chef des Grecs, doit sacrifier sa fille : s’y résoudra-t-il ? Phèdre(1677) Phèdre est amoureuse de son beau-fils: l’horreur du péché,redoublé par le supplice de la jalousie. *Marivaux : La Double inconstance (1723) Arlequin et Sylvia s’aiment d’amour tendre : qu’importe que le Prince cherche à séduire Sylvia. L’Île des esclaves (1725). Un maître et son valet débarquent sur une île où les valets commandent. La Seconde surprise de l’amour (1727)

pensée philosophique de Diderot est centrée autour d'un thème privilégié, le corps : pour lui, la matière est un flux perpétuel, non dirigé par une volonté divine, mais soumis aux passions régulées par un grand sens moral. Cette optique matérialiste se double d'une critique religieuse qui reste cependant ambiguë puisque, tout au long de sa vie, Diderot oscille entre théisme et athéisme. BIOGRAPHIE MARIVAUX 1. Le théâtre de Marivaux Marivaux naquit à Paris en 1688 mais sa jeunesse et son éducation nous

règles classiques, ainsi elle refuse la règle des trois unités, est écrite en prose, se finit mal ce qui est contraire au code de la comédie et mélange les registres. De plus, le héros est plutôt un représentant du mouvement baroque, de par son inconstance et ses tromperies, son jeu avec les apparences et sa capacité d’illusionner ceux qui l’entourent. Nous allons voir que la première scène de l’acte I est bien une scène d’exposition mais qu’elle propose également une vision de la philosophie qui

règles classiques, ainsi elle refuse la règle des trois unités, est écrite en prose, se finit mal ce qui est contraire au code de la comédie et mélange les registres. De plus, le héros est plutôt un représentant du mouvement baroque, de par son inconstance et ses tromperies, son jeu avec les apparences et sa capacité d’illusionner ceux qui l’entourent. Nous allons voir que la première scène de l’acte I est bien une scène d’exposition mais qu’elle propose également une vision de la philosophie qui

règles classiques, ainsi elle refuse la règle des trois unités, est écrite en prose, se finit mal ce qui est contraire au code de la comédie et mélange les registres. De plus, le héros est plutôt un représentant du mouvement baroque, de par son inconstance et ses tromperies, son jeu avec les apparences et sa capacité d’illusionner ceux qui l’entourent. Nous allons voir que la première scène de l’acte I est bien une scène d’exposition mais qu’elle propose également unevision de la philosophie qui sous-tend

pour suggérer les autres. - occasion de rajouter des éléments au décor déjà « chargé » (le mot relaie « surchargé » quelques paragraphes plus haut) : « cadres ovales » ; « console » ; « plafond peint » ; « lourdes tentures ». -L’incertitude, l’ « inconstance » lumineuse semble troubler l’énonciation, la focalisation : « Il y avait peut-être » ; « On eût dit » : touche à l’interprétation incertaine du « tableau », ses évocations miroitantes. « On eût pu saisir » plus difficile à comprendre : la focalisation