La Double énonciation

Plus particulièrement, il faut relever les éléments suivants : Quel est le genre de la pièce (comédie, tragédie, tragi-comédie ?) L’énonciation : qui parle ? (pronoms de la 1°, 3° pers…) A qui ? (tirade, monologue, dialogue) ? La double énonciation (que sait le public que les personnages présents ne savent pas ? Cela peut-il créer un effet d’attente comique / tragique ? Les didascalies (quels renseignements nous donnent-elles sur les personnages, sur l’action) ? Où en est l’intrigue

reproches à Camille. Avec cette double énonciation, on peut dire qu’il y a un théâtre dans le théâtre. Ensuite, on a un discours propre au jeu avec un témoin caché. Dans son discours, Perdican fait paraître Rosette comme un « objet » car il s’adresse à elle avec des phrases injonctives comme « lève-toi », « tu m’aimeras mieux », ou encore « Ecoute ! » Perdican la domine complètement. De plus, les objets qui sont donnés en gage : la bague et la chaîne en or sont des objets doubles ; cela renvoie aux fiançailles

l’acte I et pour lui relater la métamorphose de M. Bœuf (acte II, tableau 1) La scène se déroule dans la chambre de Jean I. Les procédés dramaturgiques de la métamorphose 1. L’utilisation de l’espace Cette scène de métamorphose s’inscrit dans un double espace La chambre de Jean, espace visible par les spectateurs, et la salle de bain, située hors de la scène, qui est le lieu de la transformation proprement dite. Les allées et venues de Jean de la salle de bain à sa chambre permettent d’une part

mariage) et l’enfant naturel. Le libre choix du nom par les parents: la conquête de la liberté, dans l’art 311 21 les parents on 4 choix. A la naissance on peut donner le nom du père, mère, père-mère ou mère-père. A la naissance il faut que le double lien de filiation soit fait pour que les parents face le choix, dans le mariage cela va être automatique. Si on a qu’un seul lien de filiation c’est celui-ci qui donne son nom. Il y a ensuite une certaines nombre d’exception: les entrave à la liberté

tribulations (=aventures) d'un grand seigneur libertin et de son valet. → En quoi cette scène d’exposition inscrit-elle d’emblée la pièce dans un registre à la fois comique et polémique ? І- Une exposition atypique? On assiste à une double énonciation, en fait tous les informations sont destinés au publique plus qu'au valet lui-même. A) Une intrigue surprenante : → Le rôle informatif de la scène d'exposition (intrigue etc.) n'est pas correctement rempli. Au début, elle présente un éloge

subtiles dissertations sentimentales de ses personnages ne sont jamais éloignées d'une réflexion amère sur l'ambiguïté et la violence des relations sociales. Membre de l’Académie française, il est l’auteur de La surprise de L’Amour (1722), de La double Inconstance, du Jeu de l’Amour et du Hasard (1730), de Les Fausses Confidences (1737). Par l'emploi éminemment théâtral des thèmes du déguisement et du jeu, son œuvre dramatique semble être dans le droit fil de la tradition italienne et espagnole

communication, fait partie d`un processus plus complexe de communication qui a une visée précise, un certain but, tout en traduisant l`intention de l`énonciateur. Pour pouvoir mieux comprendre le message textuel, on doit savoir le contexte de son énonciation, mais aussi son cotexte. Le mot contexte vient du latin contextus = assemblage qui renvoie au contexere = tisser avec et qui, selon le dictionnaire Le Petit Robert signifie, d`une manière générale, «  ensemble du texte qui entoure

Distinguer la fiction de la narration La fiction plonge le lecteur dans un univers imaginaire. Elle peut produire un effet de réel (roman réaliste) ou un univers surréel (roman fantastique) La narration = séries de techniques narratives (point de vue, énonciation, etc.) + des choix d’écriture (temps, registre, figures de style, etc.) 4. Caractériser l’intrigue Dans le roman traditionnel, l’intrigue est progressive : situation initiale, obstacle, péripéties, dénouement. Dans le nouveau roman, l’intrigue

Déterminer la part de la double énonciation ( Les paroles échangées dans les dialogues ont pour destinataire premier le ou les personnages qui sont sur scène. Cependant le propre du théâtre consiste en la présence du public, destinataire second, c'est comme si le spectateur plongé dans le noir, surprenait la parole qu'échangent les personnages) Les rapports entre les différents personnages afin d'identifier -Le rôle des didascalies ( présentes ou absentes) -le double jeu -les récepteurs divers

de Molière ,Amphitryon : «  oui, moi : non pas le moi d'ici , mais le moi du logis, qui frappe comme quatre » face a la phrase imprécise de Sosie son maitre ne peux que rien comprendre puisque sont valet et le seul il ne croit pas a son histoire de double. Dans le second extrait : «  La Marmite , Paute » il s'agit d'un père qui s'explique avec une jeune homme pas rapport a un vol alors que Lycomides parle d'un viol tel que le prouve ce passage : «  Parce que cette action qui vous inquiète ,qui vous