La Douleur Marguerite Duras

ludovico ». Ce traitement consiste à regarder pendant de très longues séances des films d’ultra violence. Sans le savoir Alex est drogué avant les projections, ce qui le rend malade. Son subconscient associe étroitement la violence et l’intense douleur qu’il subit. 3 Stanley KUBRICK, né a New York en 1928 et mort à Londres en 1999 est un réalisateur, mais aussi directeur de photographie, producteur, scénariste ou encore monteur. Ses treize long-métrages en quarante-six ans de carrière l’imposent

d'avoir toujours quelque chose à attendre." [ Didier van Cauwelaert ] "Le meilleur moyen de s'endormir est de s'imaginer qu'il est l'heure de se lever." [ Groucho Marx ] "Dans le monde, il n'est pas défendu d'avoir l'air franc mais de l'être." [ Marguerite Grepon ] "Le hasard dans certains cas, c'est la volonté des autres." [ Alfred Capus ] "Savoir où l'on veut aller, c'est très bien ; mais il faut encore montrer qu'on y va." [ Emile Zola ] "Avez-vous remarqué comme on est bête, quand on est beaucoup

d'avoir toujours quelque chose à attendre." [ Didier van Cauwelaert ] "Le meilleur moyen de s'endormir est de s'imaginer qu'il est l'heure de se lever." [ Groucho Marx ] "Dans le monde, il n'est pas défendu d'avoir l'air franc mais de l'être." [ Marguerite Grepon ] "Le hasard dans certains cas, c'est la volonté des autres." [ Alfred Capus ] "Savoir où l'on veut aller, c'est très bien ; mais il faut encore montrer qu'on y va." [ Emile Zola ] "Avez-vous remarqué comme on est bête, quand on est beaucoup

(de 1587 à 1712)», thèse de doctorat, 1995, 455 p. Dir. : Françoise Siguret. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1995 v.033; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1995 v.033; Microfiches; CÉTUQ. Bolduc, Diane, «Analyses narratives ponctuelles de L’œuvre au noir de Marguerite Yourcenar», mémoire de maîtrise, 1996, vi, 122 p. Dir. : Jeanne Goldin. Cote : UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1996 v.034; Microfilm; CÉTUQ. Bolduc, Henri-Louis, «Les soirées canadiennes et le mouvement littéraire de 1860», mémoire de maîtrise, 1955, v, 106

collections. Un écran noir. Et la voix de Marguerite Duras : “On appelle mains négatives les mains trouvées sur les parois des cavernes magdaléniennes”. Et puis la place de la Bastille, au lever du jour. Une place bleutée. Quelques lumières, quelques phares, le rouge d’un feu tricolore. Il n’y a pas encore l’opéra. Mais la gare, vidée, depuis bientôt dix ans. Et puis le travelling continue, sans doute boulevard Richard Lenoir, et la voix de Marguerite Duras reprend. Ce n’est sûrement pas par hasard

......................54 2-2-3. Apprentissage et transformation................................................................59 2-3. Le complexe de "la Petite Tailleuse chinoise"..............................................66 3-1-1. Chine, ma douleur .....................................................................................66 3-1-2. Sauveur absolu ..........................................................................................69 3-1-3. Le complexe de D(a)i................

témoigne d’une progression temporelle : Roland commence par porter l’olifant à ses lèvres et par sonner « à plein souffle » ; une seule phrase rapporte l’action (133). Il n’est plus ensuite fait mention que des efforts fournis ; l’apparition de la douleur et des troubles physiques témoigne que ces efforts ont duré. La description (deux phrases) prend de l’ampleur (134). Enfin, le passage du présent (« par la bouche jaillit le sang clair, de son cerveau la tempe se rompt ») au passé simple (« Le

procédés d’insertion, mélangeant présent et passé sans établir de frontière. 5.3.5. Bibliographie sélective (1960). Un événement cinématographique : Hiroshima mon amour. Paris : Etudes cinématographiques. n°2. p.201-209. CARLIER, C. (1994). Marguerite Duras, Alain Resnais, Hiroshima mon amour. Paris : Presses Universitaires de France. COLPI, H. (1960). Musique d’Hiroshima. Paris : Cahiers du cinéma. n°103. p.1-14. DOMARCHI, J., DONIOL-VALCROZE, J., GODARD, J.-L., KAST, P., RIVETTE, J., ROHMER, E

avec un personnage naïf au triste visage, spécialisé dans la pantomime. ● Laurel et Hardy, travaillèrent ensemble à partir de 1927: Laurel, dit Stan, long visage pleurnichard, silhouette maigrichonne et embarrassée, apparaissait comme le souffre-douleur d'Ollie, le gros et rond Hardy, jovial, dominateur et, par bêtise, fauteur de catastrophes. Ce couple légendaire – Laurel était l'inventeur des gags alors que Hardy était le « cerveau » du tandem – illustra la dialectique comique du gros et du maigre

l’horreur : « Vous ne pouvez pas comprendre », ils ne font qu’exprimer cette idée subtile pour l’intellect, mais qu’une souffrance inouïe leur a rendue évidente. Il n’y a pas de communication possible sans communauté sensible. La douleur n’est pas la mesure de toutes les douleurs, un homme n’est donc pas – et en tout cas jamais a priori : « tout un homme, fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n’importe qui » 3 . Les mots ne sont que des mots, la culture livresque n’est pas le vécu