La Délinquance Durkheim

la sociologie Cette apparition de la sociologie intervient à la toute fin du 19ème siècle. Les premiers grands auteurs de la sociologie moderne ont peut les dater des années 1890 avec notamment deux auteurs dont on a déjà parlé : en France, Emile Durkheim et en Allemagne, Max Weber. Ce sont donc les deux grands auteurs qui au niveau européen marquent l’apparition de la sociologie. Pourquoi la sociologie apparait-elle à ce moment-là ? Principalement car dans la plupart des pays européens, y compris

activité sociale, prend conscience de ses crimes. Parallèlement à cet isolement, la volonté d’aboutir à l’amendement du prisonnier est présente. Cependant, cette réforme restera lettre morte pour des raisons de budget et de politique répressive, la délinquance et par conséquent la population carcérale, augmentant de façon considérable. Le second Empire procèdera, de la même façon que le premier Empire, à la renonciation de l’objectif révolutionnaire d’auto-amendement du détenu. Ainsi, il est indéniable

et qui est représentée par l’Etat. Le positivisme sociologique ou juridique Il repose sur le fait de société ou fait social. Un des précurseurs en est Montesquieu avec le positivisme historique. On trouve ici deux auteurs majeurs : Durkheim et Duguit. Durkheim a mit en avant l’importance du fait social. Selon lui, il y a dans la société une sorte de conscience collective qui justifierai le droit c'est-à-dire que la règle de droit est un révélateur de la solidarité sociale. Le second auteur Duguit

courant des années 1980-90, pour endiguer les problèmes grandissants de l’économie au noir et de la fraude fiscale1. Ainsi, la recherche, les activités de répression et la mise en place d’instances locales et internationales pour lutter contre la délinquance financière se sont multipliées. La création du Centre d'analyse des opérations et déclarations financières du Canada, l’Autorité des marchés financiers du Québec et la création d’unités 1 Au Canada, les termes fraude et évasion fiscale sont

particulier ne se croit plus un, mais parti de l'unité et ne soit plus sensible que dans le tout. » L'institution doit permettre d'intégrer les individus dans un système contractuel et donc dans le contrat social. Pour Durkheim les institutions sont des objets sociaux. Durkheim dit que les institutions sont des faits sociaux, des manières de faire, de penser et d'agir. Ce sont des contraintes extérieures exercées sur les individus et elles ont une existence propre. «  Les institutions sont toutes

discipline. Bentham : image de la prison US : bâtiment circulaire avc tour au centre, de sorte que détenu sache qu’à chaque instant il peut être vu autodiscipline. Le pouvoir vient ici de la surveillance. Prévention situationnelle : prévention délinquance par aménagement urbain. De plus en plus de prévention sur l’environnement. Caméras de surveillance, réduire zones mal éclairées, etc. De moins en moins de crimes de sang. De plus en plus de fraude. Sté de discipline dont la prison est

que la loi l’impose. Ex: spontanément, on roule a droite. A partir de là la sanction est éventuel, accident. Durkheim a dégagé le concept d’anomie (absence de règles) il explique que certaines violation de la règle de droit ont pour origine l’anomie, il faut pour qu’elle soit respecter qu’elle soit intériorisé, qu’on lui ai appris: si on veux lutter contre certaines formes de délinquances, il faut étudier le droit. A coté de la spontané, il y a la dimension des sentiments, l’idée est que ce sont

quel point ces techniques là sont des thérapeutiques contre l’isolement et la solitude. L’illusion permet de passer des mauvais moments avant de rejoindre la IRté. Il faut se demander pq tant de personnes vivent ds la solitude. B. Internet et délinquance Ce savoir global a une contre partie. L’internet n’échappe pas à l’éco et l’éco n’échappe pas aux monopoles. Ces techniques ont un versant problématique : * une forme de régression qui donne l’illusion que l’on a accès au savoir global et

arrivent à commettre pareils méfaits. Ce n’est qu’un constat amenant à considérer les violences sous le seul angle du passage à l’acte ou de la transgression réprimée de normes établies, limitant ainsi son acception à la définition sociologique du crime (Durkheim, 1895). C’est en effet dans l’enchaînement successif de faits plus ou moins dérisoires (vols d’insignes ou d’emblèmes, insultes et provocations) qu’il faut aller chercher la genèse d’événements beaucoup plus dramatiques et inquiétants. Les violences

auxquels peut s’ajouter un quatrième : le producteur de la représentation lorsque celui-ci est distinct de l’utilisateur. Une représentation peut exister à l’intérieur même de l’utilisateur ; il s’agit alors d’une représentation mentale»[17]. Emile Durkheim, lui parle de représentations collectives vers 1897, pour se référer aux caractéristiques de la pensée sociale et les distinguer de celle de la pensée individuelle. Moscovici a utilisé le terme de « représentations sociales » dans une tentative