La Délinquance Durkheim

belles actrices, classement des humoristes, classement des grandes écoles, classement de la popularité des hommes politiques, classement des entreprises respectant le mieux l’environnement, classement des villes françaises avec le plus de délinquance, classement des villes françaises où investir, classement des voitures citadines, classement des téléviseurs HD, classement des hôpitaux français… Cette lubie du classement et de la comparaison pousse à la performance et à la recherche de la

à l’égard de son enfant : « libertin, paresseux » ou « tombé dans des conduites capables d’exposer l’honneur et la tranquillité de la famille (E.BADINTER – L’amour en plus). >>>> ORIGINE DES MESURES COERCITIVES / toute forme de rebellion ou de délinquance = ici on protège la famille (pas encore la société) 2) Le seul domaine d’intervention de la puissance publique est alors celui des orphelins, des enfants abandonnés ou des enfants vagabonds. (in : dictionnaire des politiques sociales – « les enjeux

dans les annees 1970, les changements sociaux rapides ´ ´ ´ ´ qu’ont connu les peuples autochtones auparavant opprimes ont destabilise la vie communautaire ´ ´ ´ et familiale. Cette instabilite perdure depuis lors, avec des taux de criminalite, de delinquance et ´ ´ ´ d’emprisonnement, de violence et d’accidents, d’alcoolisme et de toxicomanie eleves, et un taux ´ ´ d’homicides dix fois superieur a celui de l’ensemble de la population. ´ ` ` Au debut du XIXeme siecle, l’arrivee des premiers etrangers

vocation dès le plus jeune âge. De la même façon, dans le même état d’esprit, un autre policier avoue sans la moindre gêne : « Ce n’est pas par vocation que je suis devenu flic. C’est par nécessité, pour la sécurité ou 14 15 Fernand Cathala : « Délinquances et enquêtes policières ». Editions du Champ de Mars, 1987. P.276 Commissaire Leclerc. « De l’antigang à la criminelle ». Editions Plon, 2000. p. 9. 16 Michel Alexandre. « Lettres à un jeune flic ». Editions Balland. p.11. 17 Jean-Pierre Clémençon

les principaux attributs de l'habitant urbain, et se cristallisent dans la figure de l'étranger. » En France SIMMEL a été connu assez tard. Son « Individualisme sociologique ». se situerait à l'opposé de la sociologie universelle, en particulier Durkheim, où l'on cherche les lois et les règles générales qui s'imposent aux actions. En revanche, influence de SIMMEL aux États-Unis, par exemple, dans les représentants de « l'interactionnisme symbolique ». C/C générale L'un des apports les plus importants

s’agit là d’une violation de règles communes instituées pour réguler les relations entre les membres d’une société. C’est un acte qui traduit chez l’individu le sentiment de refus de réagir favorablement au respect de la loi. Le Sociologue Emile Durkheim considère le crime comme un acte heurtant les états forts de la conscience sociale. Pour Stéphanie Levasseur et Boulot le crime est «  l’action ou l’omission d’un individu qui, en raison du trouble qu’elle cause à l’ordre social est frappé par la

qu’elles correspondent à un certain idéal moral très fort de solidarité familiale. Par exception, le non paiement d’une dette alimentaire (faute civile) est également une infraction pénale. Il s'agit du délit « d’abandon matériel de famille ». Durkheim disait des crimes qu’ils sont les comportements qui heurtent « les états forts de la conscience sociale ». Les infractions évoluent donc dans le temps, selon l’évolution de cette « conscience sociale ». Ainsi aujourd’hui, n’existe plus l’infraction

rapport au champ d’application. Puisque le droit pénal applique des peines, sanction la plus grave, le comportement sanctionné doit être d’une particulière gravité. Le droit pénal est donc le droit qui s’applique aux comportements les plus graves. Durkheim (définition sociologique) : « l’infraction blesse les états fort de la conscience commune. » Conséquence : Que se passe-t-il quand le législateur sanctionne des comportements pas si graves ? Il a tort, ce ne sont pas de véritables infractions

l’ordre politique à travers l’étude des institutions. Cela renvoie à se concentrer sur l’Etat. Cependant, l'Etat est une notion difficile à étudier véritablement. Il est donc plus complexe d’envisager une autre société sans Etat. Dans la logique de Durkheim, il faut rompre avec le sens commun, c’est à dire écarter l'Etat afin d’en comprendre les logiques. L’Etat n’est pas seulement une institution, c’est aussi une manière de penser le monde. Essayer de comprendre sociologiquement l'Etat implique ainsi

pose des q° sur la société, se demande comment l’ordre social fonctionne, comment les lois font pour organiser l’ordre. La socio se pose aussi des q° sur le désordre. Déviance, idée d’écart à une norme ; mais la déviance est différente de la « délinquance » qui juge l’homme en lui-même. La sociologie évite les jugements de valeur, elle veut savoir comment les choses se passent ; pas si elles sont bien ou mal. La sociologie nait de la volonté de comprendre le social et d’agir dessus. Elle est née