La Délinquance Et Le Milieu Scolaire

d’Ethnosociologie de l’Université de Cocody- Abidjan Prof. KOUAKOU N’GUESSAN François : Professeur Titulaire de Sociologie, UFR Communication, Milieu et société, Département de Sociologie et d’Anthropologie, Université de Bouaké Prof. KOUDOU Opadou : Maître de conférences en psychopathologie sociale,

 sociologue français ( 1930­2002 ) : socialisation différentielle selon le  milieu d'origine : les enfants des catégories sociales dominantes réussissent plus  scolairement que ceux des catégories sociales défavorisées : langage châtié,  enseignement de la culture plus présente dans les milieux favorisés ( bibliothèque etc )  / culture des milieux défavorisés ne correspond pas avec le milieu scolaire.= peut  engendrer des conflits dans la famille car culture demandé à l'école qui est différente  du milieu d'origine ( habitus selon Bourdieu )

(1963), La délinquance des jeunes en groupe de Henri Michard et Jacques Sélosse (1963) ou encore Les bandes d'adolescents de Philippe Robert et Pierre Lascoumes (1974). Mais la situation s'est dégradée de façon continue depuis la fin des années 1970. Et cette tendance se poursuit dans beaucoup de quartiers, comme en témoignent les rapports annuels de l'Observatoire des zones urbaines sensibles (ONZUS). Pour expliquer ce phénomène, on peut retenir deux causes majeures : l'échec scolaire tout d'abord

d’inégalités que l’école n’avait pas pour mission de réduire. Les années 1960-70-80 se sont en revanche traduites par un phénomène de massification scolaire, c’est-à-dire par le fait qu’on permette à un nombre croissant d’individus de poursuivre des études au-delà du CM2. La massification s’est donc traduite par la possibilité croissante pour les enfants de milieux populaires d’aller au collège, puis au lycée, puis à l’université. 1975 est une date importante puisqu’elle crée le collège unique: tous les

Troubles anxieux. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Complication sociale: * ------------------------------------------------- Délinquance, prison, agressivité. * ------------------------------------------------- Inactifs. * ------------------------------------------------- Indépendance. -------------------------------------------------

1 DELINQUANCE ET TOXICOMANIE Marie Danièle Barré, Denis Richard, Jean-Louis Senon RESUME La relation entre toxicomanie et délinquance est l’objet de nombreuses controverses depuis des années ainsi que d’une littérature abondante. La causalité, réversible, des deux comportements a abouti à des positions très contrastées sur le plan méthodologique et des résultats des études existantes. L’objectif de ce dossier est d’en dresser un tableau introductif. En France les statistiques proviennent

Production écrite : Le texte argumentatif 10 La violence à l'école Les enquêtes et les sondages d'opinion montrent que « les actes de violence » sont en vigueur au sein des établissements scolaires. Mais, les causes de ces actes divergent d'un milieu à l'autre, ce qui obsède incessamment l'esprit des gens qui veillent sur le domaine éducatif, les incitant ainsi à rechercher des solutions susceptibles d'éradiquer cette calamité. D’abord, la démission des parents dans l’éducation des enfants aggravée

Prévention de la délinquance A. Historique Le droit des mineurs apparaît comme un droit nouveau même si la distinction entre l’adulte et l’enfant connaît une longue histoire. Le droit actuel qui a trouvé ses fondements dans le droit pénal des mineurs succéda celui de discernement pour aboutir à l’éducabilité qui forme l’antichambre de notre droit des mineurs. Du droit romain jusqu’à l’ancien régime, l’enfant est considéré comme un adulte en miniature ayant un régime marqué par l’atténuation

Introduction Le problème de la délinquance juvénile est majeur. Il se manifeste avec une préférence marquée dans la population adolescente et avec chronicité chez les jeunes délinquants. Le terme d’adolescent se réfère à la période entre douze et dix-huit ans. Focaliser l’entier du sujet à l’adolescence est justifiable par le simple fait que la participation et la fréquence de la quasi-totalité des crimes atteignent leurs sommets au cours de cette période (les exceptions étant le meurtre

de promouvoir une offre diversifiée pour la prévention de la délinquance par la mise en place de nouveaux modes de régulation des conflits (actions de médiation), de prévenir les violences scolaires et d’éduquer à la citoyenneté, de soutenir les familles, de faire de la prévention dans les transports et de prévenir les conduites addictives. La lutte contre la délinquance et le sentiment d’insécurité porte prioritairement sur la délinquance de voie publique, en coordonnant territorialement les actions