La Démocratie Directe Est Elle Possible

discréditer notion de régime, invitent plutôt à en préciser le sens : Démocratie et régimes autoritaires sont deux catégories très hétérogènes qui ne sont pas absolument séparées : plutôt continuum sur lequel se place une multitude de situations intermédiaires (cf : controverses sur l’adhésion de la Turquie) ⇨ Aujourd’hui quelle est la bonne analyse ? qs pas tranchée mais existence d’une distinction tripartite : démocraties/ rég. auto. et régimes totalitaires  avec comme critère de distinction

Séminaire d'Etudes Mondialistes OUAGADOUGOU (Burkina Faso) du 14 au 17 décembre 2009 Communication 4 Le devoir de fraternité ou la démocratie mondiale comme condition d'un avenir possible par Daniel Durand, Citoyen du Monde Il a été convenu que je parle de la démocratie comme condition d'un avenir possible. Un avenir possible, c'est évidemment un développement durable qui l'accompagne. L'idée de développement, c'est l'idée de progrès. Si on ne progresse pas, on régresse. C'est une condition

La théorie de la souveraineté nationale B. La nécessaire remise en cause de cette opposition SECTION 2 – LES MODES D’EXERCICE DE LA SOUVERAINETÉ §1. Les différentes formes de démocratie A. L’utopique démocratie directe B. La démocratie représentative, forme normale de gouvernement C. L’intérêt de la démocratie semi-directe §2. L’élection comme mode normal de participation des gouvernés à l’exercice du pouvoir A. L’extension du pouvoir de suffrage B. Les règles de la concurrence élective CHAPITRE

nation. Il existe aussi des nations sans Etat. On parle aujourd'hui de la crise de l'Etat nation. Beaucoup de particularisme remettent en cause l'Etat. Le territoire Il ne peut pas exister d'Etat sans territoire, par contre l'inverse est possible. Le territoire de l'Etat a plusieurs dimensions, pas seulement terrestre (sols et sous sols), mais s'étend à la portion de mer qui borde les côtes, ainsi qu'a l'espace aérien. Pour que l'Etat existe il faut une population et un territoire localisé

républiques ainsi que le régime de Vichy. Cette multiplicité de régime est bien entendu marquée par une recherche du mode de démocratie « parfait » qui passe en majeure partie par le mode de suffrage . Nous nous intéresserons dans une dissertation sur l’évolution de ce droit de suffrage en France depuis la révolution. Ce suffrage est un des principes de la démocratie, et consiste en la désignation des gouvernants. L’utilisation du suffrage remonte à l’antiquité, ou l’on élisait sur l’Agora

se demander si la démocratie parlementaire n’est pas un modèle historique en fin de parcours. Elle doit en tout cas tracer son chemin entre la volonté des uns d’une participation plus directe des citoyens, et celle d’autres prônant un modèle de gouvernance plus oligarchique. Les difficultés pour le Parlement à trouver sa bonne place, entre « l’hyperprésidentialisation » impulsée par M. Sarkozy, et un certain attentisme du corps électoral, montrent en tout cas que la démocratie est sans doute entrée

Section 3  : L’élection, condition de la démocratie I. Le principe électif. «  Eligere  » signifie «  choisir  ». L’élection correspond à une faculté de choix. L’élection est un mot qui renvoie à des réalités très anciennes (peuple élu dans l’ancien testament, désigné librement par Dieu). Elle se caractérise comme un mode de dévolution du pouvoir, qui suppose un choix, opéré par, et au sein d’un groupe, choix qui est réalisé au moyen de mécanisme approprié. A) La généralisation progressive

Faut-il que le vote soit obligatoire dans une démocratie ? Le vote est une obligation civique en Belgique. L’absentéisme croissant des électeurs nous fait nous poser la question de savoir si son caractère obligatoire doit oui ou non être maintenu dans un état démocratique. Force est de reconnaître que les Belges ont été trop sollicités aux urnes ces dernières années pour souvent arriver aux mêmes schémas politiques (« On prend les mêmes et on recommence … »). Néanmoins, je pense que l’obligation

son invention par les Grecs, la démocratie, qui a été l’objet de critiques acerbes, redevient un idéal politique. La souveraineté du peuple est alors défendue par les penseurs. La démocratie prend cependant une forme différente que celle qu’elle avait connue durant l’Antiquité. Le principe de représentativité vient se greffer à celui de démocratie de manière évidente et nécessaire. En effet, la démocratie directe telle que l’ont connue les athéniens n’est plus possible du fait de la contrainte du grand

juridiques. Par exemple, en 1976, Le Conseil constitutionnel a été saisi de la question de savoir si les représentants de la France au Parlement européen pouvaient être élus au suffrage universel direct, comme le prévoyait une décision du Conseil des Communautés européennes. Il a estimé que c’était possible, en considérant que « seuls peuvent être regardés comme participant à l’exercice de la souveraineté [telle qu’elle est définie à l’article 3 de la Constitution de 1958 : "La souveraineté nationale