La Démocratie Représentative Une Contradiction

évoque aussi la bataille de Salamine en -480. Deuxième fondateur de l’histoire c’est Thucydide. Il est l’auteur de l’histoire des guerres du Péloponnèse. Il retrace dans son livre 20 ans de cette guerre. (Sparte/Athènes) Athènes citée qui incarne la démocratie contre Sparte qui représente l’oligarchie. A partir de cette époque il y a toute une tradition des historiens qui vont faire l’histoire d’un Etat, d’une citée. Ex : les historiens de Rome : Polybe -202 -120 c’est un grec qui se met au service

Guerres, démocraties et totalitarisme L’EUROPE EN 1850 ET 1914 : ETATS, REGIMES POLITIQUES ET REVENDICATIONS DES NATIONALISMES. Introduction : Voir carte : Europe en 1914 – progrès de la démocratie/ les régimes politiques Nation : C’est un ensemble de personne qui partage un même passé et qui ont la volonté de vivre ensemble(Renan). C’est un Etat délimité par des frontières précises. Entre 1850 et 1914 en Europe, il y a à l’Ouest des états-nations anciens et au centre des plus récents (Allemagne=

est la monarchie gouvernement d'un groupe qui est le régime aristocratique gouvernement du plus grand nombre qu'il n'appelle pas démocratie mais République Chacun de ces régimes a une forme altérée ou corrompue : la forme altérée de la monarchie c'est la tyrannie, celle de l'aristocratie est l'oligarchie et enfin celle de la République c'est la démocratie (tyrannie des pauvres sur les riches). Cette classification a beaucoup influencé l'appréciation que l'on a des régimes politiques et

encore, le principe de la démocratie politique et le principe de la démocratie économique et sociale vont s’affronter dans une tension dialectique que les États entretiennent par ailleurs assez volontiers dans le cadre des organisations internationales.57 La démocratie politique évoque la loi du nombre dans les organisations internationales. Elle consiste à tenir compte de la majorité des États dans la distribution des privilèges fonctionnels. Au contraire, la démocratie économique se fonde sur

n’a jamais connu de transmission du pouvoir à la fin d’un mandat normal. En dix décennies, le pays n’a jamais pu instaurer une culture de l’alternance paisible, « substitut non violent à la révolution » et qui « caractérise aujourd’hui les démocraties qui fonctionnent » 5. Il y a certes eu des départs du pouvoir dans des conditions paisibles à la suite d’une défaite électorale, mais les scrutins correspondants ont été organisés par des Transitions, qui, elles-mêmes, ont été générées par

de principe au contrôle: 1° C'est la nature de la loi qui fait obstacle à ce qu'on puisse contrôler, la loi est ce qui exprime la volonté générale, contrôler la Loi, c'est contrôler l'expression de la volonté des citoyens, donc négation de la démocratie, car c'est remettre en cause soit sur fond, soit sur forme, ce que citoyens ont voulu. Mais pourtant, Constitution également de la volonté des citoyens. 2° A propos de l'organe à même de règlementer les Lois. Loi ne peut être contrôlée par les

apparaît donc comme un "construit" historique qui devra en conséquence être acquis et transmis pour survivre et se développer. Ainsi, la citoyenneté est-elle un idéal universel qui serait par là inné dans tout homme ? Certes non, si on rappelle que la démocratie avec laquelle elle est en étroite relation n'est généralisée ni dans l'espace aujourd'hui (moins de la moitié des Etats du monde actuel), ni dans le temps. En effet, elle a connu des éclipses parfois très longues (plus de mille ans entre son "invention"

est devenu un théâtre d'ordres et de désordres1. Rien n'est plus figé, tout bouge. A chaque facteur d'espoir et d'optimisme répond un motif d'inquiétude. Les peuples semblent être saisis d'une série de fièvres somme toute justifiée : enraciner la démocratie pluraliste, mettre fin à la pénurie, accéder à l'abondance... Les rêves impérialistes paraît bel et bien morts de leur belle mort: il s'agit dorénavant de vivre ensemble grâce aux interdépendances économiques, grâce à la mondialisation. Toutefois

démarche à partir de résultats surprenants nous a conduit à une approche plus formalisée et, partant, à des paradoxes formalisés, comme le théorème d’Arrow ou celui de Gibbard-Satterthwaite. Plus que des surprises, ces paradoxes sont plutôt des contradictions logiques entre certaines propriétés, d’où le nom qu’on leur donne parfois de théorème d’impossibilité. Ces paradoxes théoriques se présentent le plus souvent sous la forme : sous les hypothèses X et Y, tel mode de scrutin (techniquement, « règle

champ de compétence du parlement. => La fonction exécutive n'a jamais été aussi importante. C'est une tendance générale constaté dans de nombreux États. (unitaire, parlementaire...) 3) fonction juridictionnelle Historiquement il existe une contradiction entre 2 positions: Le Juge a été considéré extrêmement importante, dans le passage de l'État de nature à la société civile. (Locke) Dans l'État de nature s'il y a conflit entre 2 personnes, il y a loi du plus fort. Le juge permet de trancher le