La Démocratie Selon Churchill

1. M. Churchill parle à Zurich Il préconise la formation des Etats-Unis d’Europe basée sur la collaboration franco-allemande de notre correspondant particulier Zurich, 19 septembre. Il n’y a qu’un remède, c’est de créer la communauté européenne, et le seul moyen, ce sont les Etats-Unis d’Europe. Le procédé à suivre c’est la rééducation des centaines de milliers d’Européens. M. Churchill rappelle ensuite que certaines choses furent déjà faites: il parle de l’ancienne idée de l’Union européenne

Sacralisation de la nation. Tous les droits humains sont bafoués, les civils sont des barbares. Période d’interrogations intellectuelles (existentialisme). Beaucoup de productions cinématographiques (par exemple en Italie, sur la fin du fascisme). La démocratie devient un modèle. * b) Le Procès De Nuremberg (20 novembre 1945 1er octobre 1946) -Pourquoi ici alors que la ville est détruite ? Raison matérielle : le palais de justice et la prison sont encore intacts. Valeur symbolique : c’est ici

nouveau secrétaire d’Etat américain, Stettinus, y soutient plutôt les partis démocratiques, tandis que Churchill donne sa préférence aux formations conservatrices. Autant d’éléments qui rendent nécessaire un nouveau sommet des trois Grands. Il se tient à Yalta en Crimée, du 4 au 11 février 1945. Les « décisions » qui y sont prises entretiennent depuis lors un véritable mythe. Réunissant Churchill, Roosevelt et Staline, la rencontre de Crimée, au bord de la mer noir, doit amener des échanges de vues

l’occupation allemande et les bombardements ont rendus la situation désastreuse. Le sort de l’Europe est , désormais, entre les mains des 2 grandes puissances (USA et URSS). Lors de la conférence de Yalta (en février 1945), où sont présents Churchill (G.-B.), Roosevelt (E.-U.), Staline (U.R.S.S.) (absence de de Gaulle, la France n’est pas invitée) se dessine une nouvelle carte de l’Europe ; on assiste, alors, à un partage du monde. C’est encore le temps de la Grande Alliance

n’est pas la bienvenue. Cependant, cette signature fait jaser autant en France qu’en Angleterre: une crise politique est sur le point d’éclater. De Gaulle et Churchill (ministre français et anglais qui n’étaient pas présents lors de la signature) affirment qu’au contraire, la guerre n’est pas évitée mais seulement retardée. Les démocraties libérales ont subi un déshonneur en signant, ils n’ont pas respecté les traités précédents et ont même reniés. Enfin, les raisons de ces accorts étaient différentes

....................... A De l’idée européenne à l’aube de sa réalisation, 1945-1957 B De 1957 à 1973, la Communauté économique européenne (CEE) à six C Du Marché commun à la Communauté européenne (1973-1989) Chapitre 2 > Le temps des démocraties populaires (1948-années 1980) ............................................................................................................ A La soviétisation de l’Europe de l’Est : 1945-1953 B Le temps des crises et des stratégies réformistes

nouveau secrétaire d’État américain, Stettinius, y soutient plutôt les partis démocratiques tandis que Churchill donne sa préférence aux formations conservatrices. Autant d’éléments qui rendent nécessaire un nouveau sommet entre les trois Grands. Il se tient à Yalta, en Crimée, du 4 au 11 février 1945. Les « décisions » qui y sont prises entretiennent depuis lors un véritable mythe. Réunissant Churchill, Roosevelt et Staline, la rencontre de Crimée doit amener des échanges de vues sur l’avenir du monde

constitution de deux blocs antagonistes. Chronologie ?  L’expression est formée en 1947 par Bernard Baruch, conseiller du président américain Franklin D. Roosevelt, même si l’idée est apparue dès avant (l’ancien premier ministre britannique Winston Churchill parle en 1946 d’un « rideau de fer qui s’est abattu sur l’Europe »).  L’historien André Fontaine, dans son livre La guerre froide, choisit la date de 1917 (= la révolution russe) pour faire débuter cette « guerre ». On ne peut retenir ici cette

République désigne ce bien commun qui est le QUOI de l'objet du pouvoir. L'article 2 de la Constitution énonce le principe du gouvernement, le QUI du pouvoir : « Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », c'est à dire le Démocratie. La Démocratie est le sujet du pouvoir. Le choix du peuple en temps que sujet du pouvoir signifie que les intérêts de ce bien commun sont mieux gérés par un grand nombre d'individus plutôt que par un seul (un roi) ou une élite (les aristocrates). L'article

l’Allemagne porte un coup grave à la paix parce qu’elle souligne l’incapacité de la SDN à garantir la sécurité, à protéger et souligne la faiblesse croissante des démocraties et à ce point de vue l'ordre occidental est en danger.  II. Les réponses politiques à la criseCet affaiblissement progressif de la démocratie va trouver son expression diplomatique dans la période d’apaisement des années 1934-1938. Car cet affaiblissement va laisser la place aux idéologies autoritaires